Seigneur, à partir de ta blessure d’amour, une veine divine te relie aux créatures, une veine qui consume notre sang humain.
Par elle, nous participons de plus en plus à ta blessure et à ta vie, ce qui a pour effet d’agrandir cette veine et de nous transformer en d’autres Christ.
Ainsi, tu peux dire à ton Père :
»Je suis dans le Ciel, mais il y a d’autres Christ sur la terre : ils sont blessés de ma propre blessure, ils pleurent, souffrent et prient comme moi.
À cause d’eux, ne devons-nous pas déverser notre Miséricorde sur la terre ? » De plus ô Jésus, tu nous affirmes que seulement les créatures qui vivent dans ta volonté prennent part à ta blessure et participeront dans le Ciel à la gloire de ton Humanité.
Accordes nous l’inestimable cadeau de toujours vivre dans ta volonté.
Amen. Fiat.
(cf.Tome 11, 11 nov 1915) Page : 62