Ma fille a prise cette photo de chez-elle le matin du 19 Décembre 2014, elle n’avait jamais rien vu de semblable dans le ciel et aucune retouche n’a été faite sur cette photo, pour le moins inusitée….On voit bien que le Ciel nous parle, mais qu’est-ce qu’il dit ?? S’il y a quelqu’un qui a une idée de ce que cela pourrait être, merci de me contacter afin de m’informer!
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Mystérieuse Photo du Ciel à Val D’Or- Abitibi-Québec-Canada…le 19 Décembre 2014*
Publié par Myriamir le 20 décembre 2014
https://myriamir.wordpress.com/2014/12/20/mysterieuse-photo-du-ciel-a-val-dor-abitibi-quebec-canada-le-19-decembre-2014/
Quelques extraits * Du Mystère de l’Incarnation et de la Noël selon Maria Valtorta*…(6) + *Important enseignement pour les époux (couples)*
142- Marie dit :
« Si ma présence avait sanctifié le Baptiste, elle n’avait pas enlevé pour Élisabeth la condamnation venue d’Ève. « Tu auras des fils dans la douleur » avait dit l’Éternel. Moi seule, sans tache et sans union humaine, ai été exempte de la douleur de l’enfantement.
La tristesse et la douleur sont les fruits de la faute. Moi qui étais la « Sans faute », je devais connaître pourtant la douleur et la tristesse parce que j’étais la Corédemptrice. Mais je ne connus pas le déchirement de l’enfantement. Non. Je n’ai pas connu cette souffrance.
Mais, crois-moi, ma fille, qu’il n’y a jamais eu et qu’il n’y aura jamais tourment d’enfantement semblable à mon enfantement de Martyre d’une Maternité spirituelle accomplie sur le plus dur des lits : celui de ma croix, au pied du gibet de mon Fils qui mourait.
Quelle est la mère qui est contrainte à générer de telle façon, et à mêler le tourment de ses entrailles qui se déchiraient en entendant le râle de sa Créature agonisante au déchirement intérieur pour avoir à surmonter l’horreur de devoir dire: « Je vous aime.
« Laisse-moi mettre les mains sur ton sein ». Oh ! si dans votre souffrance vous me demandiez toujours cela !
Je suis l’Éternelle Porteuse de Jésus. Il réside en mon sein, comme tu l’as vu l’an passé, comme une Hostie en l’ostensoir. Qui vient à moi, le trouve. Qui s’appuie sur moi, le touche. Qui s’adresse à moi, Lui parle.
Je suis son Vêtement. Il est mon Âme. Encore plus, plus uni maintenant qu’il ne le fut pendant les neuf mois qu’il se développait en mon sein, mon Fils est uni à moi, sa Maman. Et toute douleur se calme et toute espérance fleurit et toute grâce coule pour qui vient à moi et pose sa tête sur mon sein.
Je prie pour vous. Rappelez-le. La béatitude d’être au Ciel, vivant dans le rayonnement de Dieu, ne me fait pas oublier mes fils qui souffrent sur la terre. Et je prie. Le Ciel entier prie, car le Ciel aime. Le Ciel c’est la charité vivante.
Et la Charité a pitié de vous. Mais, s’il n’y avait que moi, ce serait déjà une prière suffisante pour les besoins de qui espère en Dieu, puisque je ne cesse de prier pour vous tous : saints et dépravés, pour donner aux saints la joie, pour donner aux méchants le repentir qui sauve.
Venez, venez, ô fils de ma douleur. Je vous attends au pied de la Croix pour vous faire grâce. »
146- Marie dit :
« À qui reconnaît sa faute et s’en repent et s’accuse humblement d’un cœur sincère, Dieu pardonne. Il ne pardonne pas seulement : Il récompense. Oh ! mon Seigneur, comme Il est bon envers qui est humble et sincère !
Envers celui qui croit en Lui et se fie à Lui ! Désencombrez votre esprit de tout ce qui l’encombre et le rend inerte. Disposez-le à accueillir la Lumière. Comme un phare dans les ténèbres, Elle vous est un guide et un saint réconfort.
Amitié avec Dieu, béatitude de ceux qui lui sont fidèles, richesse que rien n’égale, qui te possède n’est jamais seul et ne ressent pas l’amertume de le désespoir. Tu ne supprime pas la douleur, ô sainte amitié, car la douleur a été le destin d’un Dieu incarné et elle peut être le destin de l’homme.
Mais tu rends cette douleur douce en son amertume, tu y mélanges une clarté et une caresse qui, comme une touche céleste, soulèvent la croix.
Et, quand la Bonté Divine vous donne une grâce, usez du bienfait reçu pour rendre gloire à Dieu. Ne soyez pas des fous qui, d’un objet utile se font une arme nuisible ou comme des prodigues qui transforment leur richesse en misère.
C’est trop le douleur que vous me donnez, ô fils, derrière le visage de qui je vois apparaître l’Ennemi, celui qui se rue contre mon Jésus. Trop de douleur ! Je voudrais être pour tous la Source de la Grâce. Mais trop d’entre vous ne veulent pas de la Grâce. Vous demandez « grâces » mais avec une âme qui ne possède pas la Grâce. Et comment la Grâce peut-elle vous secourir si vous en êtes les ennemis ?
Important enseignement
pour les couples !!
162- Marie dit :
« Je n’ajoute pas beaucoup, car mes paroles sont déjà un enseignement.
J’attire pourtant l’attention des épouses sur un point. Trop d’unions se défont par la faute des femmes qui n’ont pas cet amour qui est tout : gentillesse, pitié, attention affectueuse, réconfort pour le mari. Sur l’homme ne pèse pas la souffrance physique qui pèse lourdement sur la femme.
163- Mais sur lui pèsent toutes les préoccupations morales : nécessité du travail, décisions à prendre, responsabilité devant les pouvoirs constitués et devant sa propre famille… Oh ! Que de choses ne pèsent-elles pas sur l’homme ! Et combien il a besoin lui aussi de réconfort !
Et bien, l’égoïsme est tel qu’au mari fatigué, découragé, méconnu, préoccupé, la femme ajoute le poids de ses plaintes inutiles et parfois injustes. Tout cela parce qu’elle est égoïste. Elle n’aime pas.
Aimer ce n’est pas chercher sa propre satisfaction sensible ou intéressée. Aimer c’est satisfaire celui qu’on aime en dépassant la sensibilité et l’intérêt, c’est donner à son esprit l’aide dont il a besoin pour pouvoir tenir ses ailes ouvertes dans les cieux de l’espérance et de la paix.
Autre point sur lequel j’attire votre attention. J’en ai déjà parlé, mais j’insiste : la confiance en Dieu. La confiance résume en elle les vertus théologales. Qui a confiance, cela veut dire qu’il a la foi. Avoir confiance suppose qu’on espère.
Avoir confiance, c’est faire preuve d’amour. Aimer une personne, espérer et croire en elle, c’est là la confiance. Autrement, non. Dieu mérite une telle confiance qui doit être la nôtre. Si nous l’accordons à de pauvres hommes capables de n’y pas correspondre, pourquoi la refuser à Dieu qui ne nous manque jamais ?
La confiance est aussi humilité. L’orgueilleux dit : « Je me suffis à moi-même. Je ne me fie pas à celui-ci parce que c’est un incapable, un menteur, un prétentieux… ». L’humble dit : « Je me fie à lui. Pourquoi ne m’y fierai-je pas ? Pourquoi devrai-je penser que je suis meilleur que lui ? ». Et avec plus de raison encore, il parle ainsi de Dieu :
« Pourquoi dois-je me défier de Celui qui est bon ? Pourquoi dois-je penser que je puis me suffire à moi-même ? » Dieu se donne à celui qui est humble, mais s’éloigne de l’orgueilleux.
La confiance est aussi obéissance. Et Dieu aime l’obéissant. L’obéissance signifie que nous nous reconnaissons pour ses fils et que nous reconnaissons Dieu pour notre Père. Et un père ne peut qu’aimer lorsqu’il est un vrai père. Dieu est notre vrai Père et un Père parfait.
Le troisième point que je veux que vous méditiez, se base toujours sur la confiance. Aucun évènement ne peut survenir sans la permission de Dieu. Es-tu donc un puissant ? Tu l’es parce que Dieu l’a permis. Es-tu soumis à l’autorité ? Tu l’es parce que Dieu l’a permis.
« Cherche donc, ô puissant, à ne pas faire de ta puissance un mal. Ce serait toujours « ton mal » même si, pour commencer, c’était le mal des autres. Parce que si Dieu permet, il ne permet pas tout, et si tu dépasses les bornes, il te frappe et te brise. De ton côté, toi qui est simple sujet, cherche à faire, de cette condition qui est la tienne, un aimant qui attire sur toit la protection céleste.
Et ne maudis jamais. Laisses-en à Dieu le soin. C’est à Lui, Seigneur de tous les hommes, qu’il appartient de bénir et de maudire ses créatures.
« Va en paix ».
Publié par Myriamir le 20 décembre 2014
https://myriamir.wordpress.com/2014/12/20/quelques-extraits-du-mystere-de-lincarnation-et-de-la-noel-selon-maria-valtorta6-important-enseignement-pour-les-couples/