Un puissant séisme de magnitude 7,9 a touché ce samedi le Népal, à l’heure du déjeuner. La secousse a été ressentie en Inde également. Le bilan est probablement très lourd, il s’élève à plusieurs centaines de morts. Plusieurs icônes du patrimoine architectural ont été détruites.
Des secouristes tentent de sortir des victimes des décombres au carré Durbar. Photo : Niranjan Shrestha
Le plus fort séisme en 80 ans au Népal a frappé Katmandou et le centre du pays, faisant des centaines de morts. L’Inde, le Bangladesh et le Tibet ont également été touchés.
Les autorités népalaises ont confirmé jusqu’ici 1341 décès, dont au moins 300 dans la capitale et 634 dans la vallée de Katmandou, la région la plus peuplée du pays. De nombreuses autres personnes ont par ailleurs été blessées dans la catastrophe.
« Pratiquement tout le pays est touché. »
La route brisée par le séisme
Le tremblement a déclenché des avalanches meurtrières sur le mont Everest. Le camp de base de l’Everest, sur le versant népalais, a été en partie enseveli par une coulée de neige et une équipe de sauveteurs de l’armée indienne a retrouvé les corps de 18 personnes sur les pentes.
Des blessés affluent devant l’hôpital de Katmandou après le séisme de magnitude 7,9. Photo : Niranjan Shrestha
Nous sommes tous appelés à être solidaire..c’est Dieu qui nous le demande…nos prières ne tombent pas dans le vide, Dieu s’en sert pour donner du courage, de la force à tous ceux qui sont dans l’épreuve en ce moment douloureux…Ils ont besoin de notre Amour et nos prières..
« Chers enfants, je suis avec vous aujourd’hui encore afin de vous conduire vers le salut. Votre âme est inquiète car l’esprit est faible et lassé de toutes les choses du monde. Vous, petits enfants, priez l’Esprit Saint afin qu’il vous transforme et vous remplisse de sa force de foi et d’espérance, pour que vous soyez fermes dans ce combat contre le mal. Je suis avec vous et j’intercède pour vous auprès de mon Fils Jésus. Merci d’avoir répondu à mon appel.»
Merci Grace, nos prières ont été entendues, La miséricorde de Dieu est grande...Serge Atlaoui a obtenu un sursis alors que Le président n’a jamais voulu reculer, nul doute que Jésus et Marie ont été touchés par nos prières.
Pour autant il ne s’agit que d’un sursis, n’abandonnons pas nos prières continuons à demander au Seigneur d’épargner Serge, et prions pour le Salut des âmes des personnes qui vont être exécutées que Dieu dans sa grande miséricorde leur pardonne leurs péchés et les accueil dans son Royaume. Qu’il pardonne aussi aux personnes qui ont ordonné ces exécutions…
Notre frère Jean de Roquefort a eu l’idée d’unir les demandes de prières que nous recevront conjointement sur son site : http://jeanderoquefort.free.fr/
Et ici sur Myriamir, afin de les présentées chaque jour à la Sainte Messe !
Voici ce qu’il a écrit sur son site :
N’hésitez pas à me laisser vos intentions de prières sur mon mail de contact pour l’instant, qui seront présentées chaque jour durant la célébration de la Sainte Messe, avant que je ne puisse créer une page spécifique à cet effet, en lien avec le site de notre amie myriamir
« Merci de prier pour notre frère en Christ, Gilbert qui est atteint d’un syndrome de bipolarité depuis son enfance. Il a besoin de vos prières pour être délivré ainsi que toute l’humanité qui gît sous l’esclavage du mauvais à cause de son péché.
Soyez bénis. Dieu vous aime infiniment. Très bientôt vous le verrez et votre joie sera parfaite.
Que l’Immaculée vous bénisse vous garde et vous protège au Nom de l’Éternel qui vient par Son Verbe dans la puissance de Sa Divine Gloire faire toutes choses nouvelles ».
Votre serviteur et esclave dans l’Amour du Père et du Fils.
Le poème entier écrit par la « petite » sainte Thérèse
« Du Tout-Puissant j’ai revêtu les armes Sa main divine a daigné me parer Rien désormais ne me cause d’alarmes De son amour qui peut me séparer ? A ses côtés, m’élançant dans l’arène Je ne craindrai ni le fer ni le feu Mes ennemis sauront que je suis reine Que je suis l’épouse d’un Dieu !
O mon Jésus, je garderai l’armure. Que je revêts sous tes yeux adorés Jusqu’au soir de la vie, ma plus belle parure Seront mes Vœux sacrés !
Ô Pauvreté, mon premier sacrifice Jusqu’à la mort tu me suivras partout Car je le sais, pour courir dans la lice L’Athlète doit se détacher de tout Goûtez, mondains, le remords et la peine Ces fruits amers de votre vanité. Joyeusement, moi je cueille en l’arène Les palmes de la Pauvreté. Jésus a dit : » C’est par la violence Que l’on ravit le royaume des Cieux. « Eh bien ! la Pauvreté me servira de Lance De Casque glorieux.
La Chasteté me rend la sœur des anges De ces Esprits purs et victorieux. J’espère un jour voler en leurs phalanges Mais dans l’exil je dois lutter comme eux. Je dois lutter sans repos et sans trêve Pour mon Époux le Seigneur des seigneurs La Chasteté c’est le céleste Glaive Qui peut lui conquérir les cœurs La Chasteté c’est mon arme invincible Mes ennemis par elle sont vaincus Par elle je deviens, ô bonheur indicible ! L’Épouse de Jésus.
L’ange orgueilleux au sein de la lumière S’est écrié : « Je n’obéirai pas ! » Moi je m’écrie dans la nuit de la terre « Je veux toujours obéir ici-bas »
Je sens en moi naître une sainte audace
De tout l’enfer je brave la fureur
L’Obéissance est ma forte Cuirasse
Et le Bouclier de mon cœur
Dieu des Années, je ne veux d’autres gloires
Que de soumettre en tout ma volonté
Puisque l’Obéissant redira ses victoires
Toute l’Éternité.
Si du Guerrier j’ai les armes puissantes
Si je l’imite et lutte vaillamment
Comme la Vierge aux grâces ravissantes
Je veux aussi chanter en combattant
Tu fais vibrer de ta lyre les cordes
Et cette lyre, ô Jésus, c’est mon cœur
Alors je puis de tes Miséricordes
Chanter la force et la douceur
En souriant je brave la mitraille
Et dans tes bras, ô mon Époux Divin
En chantant je mourrai sur le champ de bataille
Les Armes à la main !… »
Sainte Thérèse écrit ensuite :
« Je vous ai fait sourire, mon cher petit Frère, en chantant « mes Armes » , eh bien ! je vais vous faire sourire encore en vous disant que j’ai, dans mon enfance, rêvé de combattre sur les champs de bataille.
Lorsque je commençais à apprendre l’histoire de France, le récit des exploits de Jeanne d’Arc me ravissait ; je sentais en mon cœur le désir et le courage de l’imiter, il me semblait que le Seigneur me destinait aussi à de grandes choses. Je ne me trompais pas, mais au lieu de voix du Cie m’invitant au combat, j’entendis au fond de mon âme une voix plus douce, plus forte encore, celle de l’époux des vierges qui m’appelait à d’autres exploits, à des conquêtes plus glorieuses et dans la solitude du Carmel j’ai compris que ma mission n’était pas de faire couronner un roi mortel mais de faire aimer le Roi du Ciel, de lui soumettre le royaume des cœurs. »