
Est-ce que tous vos efforts en dehors de la grâce ont été futiles ?
JE SUIS. Faites-Moi confiance.



Publié par Myriamir le 9 août 2016
https://myriamir.wordpress.com/2016/08/09/message-de-jesus-du-journal-de-pelianito-du-4-aout-2016restez-dans-ma-grace-a-travers-les-sacrements-et-priez-pour-etre-delivres-de-la-peur-et-de-la-tentation/
Il est rapporté qu’une jeune demoiselle de Franche-Comté, nommée Angélique, avait beaucoup d’esprit, mais était fort mondaine. Ayant entendu un prédicateur prêcher contre le luxe et la vanité dans les habits, elle vint se confesser à ce prédicateur.
Celui-ci lui fit si bien comprendre combien elle était coupable et pouvait perdre d’âmes, que, dès le lendemain, elle quitta toutes ses vanités, et se vêtit d’une manière très simple et chrétienne.
Sa mère qui était comme la plupart de ces pauvres aveugles, qui semblent n’avoir des enfants que pour les jeter dans les enfers en les remplissant de vanité, la reprit de ce qu’elle ne s’habillait plus comme autrefois. « Ma mère, lui répondit-elle, le prédicateur à qui j’ai été me confesser me l’a défendu. » Sa pauvre mère, aveuglée par la colère, va trouver le confesseur, et lui demande s’il était vrai qu’il eût défendu à sa fille de s’habiller selon la belle mode.
« Je ne sais point, lui dit le confesseur, ce que j’ai dit à votre fille ; mais, il vous suffit de savoir que Dieu défend de s’habiller selon la mode, lorsque cette mode n’est pas selon Dieu, lorsqu’elle est criminelle et dangereuse pour les âmes. » –
« Mon Père, qu’appelez-vous donc mode criminelle et dangereuse ? » — « C’est, par exemple, de porter des habits trop ouverts, ou qui font trop sentir la forme du corps ; de porter des vêtements trop riches et plus coûteux que nos moyens ne nous le permettent. » Il lui montra ensuite tous les dangers de ces modes, et tous les mauvais exemples qu’elles donnaient.
– « Mon Père, lui dit cette femme, si mon confesseur m’en avait dit autant que vous, jamais je n’aurais donné la permission à ma fille de porter toutes ces vanités, et moi-même j’aurais été plus sage ; cependant mon confesseur est un homme bien savant ; or, que m’importe qu’il soit savant, s’il me laisse vivre à ma liberté, et en danger de me perdre pour l’éternité. » Lorsqu’elle fut de retour, elle dit à sa fille : « Bénissez le bon Dieu d’avoir trouvé un tel confesseur, et suivez ses avis. »
Cette jeune demoiselle eut dans la suite de terribles combats à soutenir de la part de ses autres compagnes, qui la raillaient et la tournaient en ridicule. Mais le plus rude assaut qu’elle eut à soutenir, lui vint de la part de certaines personnes qui entreprirent de la faire changer de sentiment. « Pourquoi, lui dirent-elles, ne vous habillez-vous pas comme les autres ? » – « Je ne suis pas obligée de faire comme les autres, répondit Angélique, je m’habille comme celles qui font bien, et non comme celles qui font mal. » – « Eh quoi ! faisons-nous mal de nous habiller comme vous voyez ? » – « Oui, sans doute, vous faites mal, parce que vous scandalisez ceux qui vous regardent. » –
« Pour moi, dit l’une d’entre elles, je n’ai point de mauvaise intention ; je m’habille à ma façon, tant pis pour ceux qui s’en scandalisent. » – « Tant pis pour vous aussi, reprit Angélique, puisque vous en êtes l’occasion ; si nous devons craindre de pécher nous-mêmes, nous devons aussi craindre de faire pécher les autres. » –
«Quoi qu’il en soit de vos bonnes raisons, répondit une autre, si vous ne vous habillez plus comme nous, vos amies vous quitteront, et vous n’oserez plus paraître dans les belles compagnies et dans les bals. » – « J’aime mieux, leur répondit Angélique, la compagnie de ma chère mère, de mes sœurs et de quelques filles sages, que toutes ces belles compagnies et ces bals. (…).
Au reste, Mesdames, si vous pensez de la sorte, vous ne pensez pas en chrétiennes, et il est honteux que, dans une religion aussi sainte qu’est la nôtre, l’on s’y permette de tels abus contre la modestie. » Après tous ces discours, une personne de la compagnie dit: « En vérité, il est honteux qu’une jeune fille de dix-huit ans nous fasse la leçon : son exemple sera un jour notre condamnation.
Que nous sommes aveugles de tant faire de choses pour plaire au monde, qui, dans la suite, se moque de nous ! » Angélique persévéra toujours dans ses bons sentiments, malgré tout ce qu’on pût lui dire. Eh bien, M.F., qui vous empêcherait de faire ce que faisait cette jeune comtesse ? Elle s’est sanctifiée en vivant dans le monde, mais en ne vivant pas pour le monde. Oh ! que cet exemple sera un sujet de condamnation pour un grand nombre de chrétiens au jour du jugement !
Publié par Myriamir le 9 août 2016
https://myriamir.wordpress.com/2016/08/09/extrait-sermon-du-saint-cure-dars-sur-la-modestie-dans-le-vetement/
Lorsque Jésus a dit au bon larron: «Aujourd’hui même, tu seras avec moi au Paradis», il l’a prononcé. Alors, est-ce qu’il a dit cela au bon larron? Il a dit cela au bon larron: âme et chair. Puisque le bon larron a entendu, avec ses oreilles, avec sa chair, il a regardé son Jésus d’Amour, il a sorti des paroles: « Souviens-toi de moi », c’est avec sa chair! C’est un acte de vie! Il a pensé avant de prononcer: « Lui, il n’a rien fait de mal, alors que moi et mon compagnon, nous le méritons »; alors, sa pensée, il l’a exprimée. Il a accepté, il était attaché: « Nous le méritons« ; il était condamné à mourir sur la croix, mais il a eu un sentiment d’amour, un regret, et Dieu, Jésus, a dit ces paroles, des paroles d’amour: «Tu seras avec moi aujourd’hui même…»
Ce que nous comprenons, c’est que la chair a été purifiée. Est-ce que notre chair a été purifiée? (R: Oui.) Alors, nous n’avons plus de marques en nous, nous ‘n’avons plus de marques’ en nous. Ces marques, c’est le venin de Satan et ce venin est parti, il est sorti de nous. Mais notre chair est faible, notre chair se souvient. Pourquoi? Parce que Satan et ses acolytes ne cessent pas de nous tenter. Et à cause de notre amour, – nous avons un amour, mais il est conditionnel, il n’est plus inconditionnel – nous avons connu la tache originelle.
Donc, nous avons choisi la connaissance du bien et la connaissance du mal. Cette fameuse connaissance du mal, nous l’avons encore en nous, elle n’est pas sortie de nous. Cette connaissance devra sortir de nous. Elle sortira de nous, savez-vous quand? Quand toute chair saura qu’il n’y a qu’une chair et que cette chair est créée pour adorer Dieu, pour servir Dieu, pour contempler Dieu. Voilà ce que nous devons comprendre.
Tant qu’il y aura un frère, une sœur, sur la terre, qui ne comprendra pas qu’il n’y a qu’une seule chair, nous serons toujours avec notre amour conditionnel: notre amour conditionnel qui a une mesure d’amour.
Chacun de nous n’avons pas tous la même mesure; cela, c’est à cause de notre ‘je t’aime’. Lorsque Dieu dit: «Va, accomplis ta mission», alors là, nous, nous avons vu ce que nous devions être pour Dieu: un amour qui voulait s’accomplir, un amour qui se sentait fort, un amour obéissant, un amour abandonné devant le Vouloir de Dieu. Alors, c’est notre ‘je t’aime‘ que nous avons laissé entre les mains de Dieu, et Dieu, lui, a vu ce que nous accomplirions sur la terre, a vu ce que nous serions sur la terre, avant même que nous soyons sur la terre, n’oublions pas. Lorsque nous avons donné notre ‘je t’aime’ à Dieu, nous étions où? Nous étions en Dieu, nous étions en la Matière Parfaite.
Nous étions l’amour, nous étions en Dieu: en Dieu, nous étions avec notre ‘je t’aime’ en la Matière Incréée, la Matière Parfaite. Dieu savait ce que nous allions faire avec notre chair: nos actes de vie, avant même que nous les accomplissions. Dieu savait ce que nous étions pour accepter d’accomplir avec ses grâces.
Ses grâces nourrissent notre âme. Est-ce que ses grâces sont conditionnelles ou inconditionnelles? On est tous d’accord, ses grâces sont inconditionnelles. Notre âme, est-ce qu’elle aime notre Dieu inconditionnellement? Oui, mais oui! Mais le Saint-Esprit nous dit qu’elle sait qu’elle souffrira à cause de notre amour conditionnel. Et elle est prête, elle, à s’accomplir, elle est prête par amour pour la chair qui lui a été donnée. Elle aime notre chair, notre âme; inconditionnellement, notre âme aime notre chair, pourquoi? Parce qu’elle se laisse nourrir par les grâces qui sont de l’Amour Inconditionnel.
Elle est belle notre âme, elle est tout ouïe pour notre Dieu, elle est toute lumière pour notre Dieu, elle est toute présence pour notre Dieu, elle est tout abandon pour notre Dieu. Elle a soif continuellement d’amour, et cet amour ne peut pas venir de nous, cet amour vient de Dieu parce que c’est inconditionnel. Elle ne met pas de conditions à ce qu’elle est: aucune condition, mais notre chair, oui. Alors, Dieu a vu ce que nous étions pour faire avec les grâces que notre âme reçoit et que notre âme comble notre chair.
Nous allons tomber souvent dans la connaissance du mal à cause de notre manque de foi. Combien d’entre nous avons lu les paroles de notre Jésus d’Amour, et combien avons-nous compris qu’on manquait de foi?
Lorsque Jésus guérissait: «ta foi t’a guéri», combien de fois nous avons entendu cela? Et que sommes-nous? Nous sommes tous des enfants malades. Nous recevons Jésus: il nous donne son Corps à manger, il nous donne son Sang à boire, c’est notre chair qui reçoit tout de notre Dieu, et on a le cancer, on a un rhume, on a une grippe, on a la varicelle.
On est toujours malades, malades de jalousie, d’envie, de jugement. Oui, nous sommes malades alors que nous devrions être guéris totalement. Mais nous savons que nous manquons de foi et nous voulons; parfois, nous voulons tellement que nous passons notre vouloir avant le Vouloir de Dieu.
Nous ne voyons pas ce que Dieu voit. Lui, il sait que nous vivons avec quelque chose: nous vivons avec l’ombre de nos péchés. L’ombre de nos péchés nous poursuit toujours et toujours. L’ombre de nos péchés nous rappelle ce que nous avons fait, nous rappelle que nous manquons de foi envers l’Acte de Vie de notre Dieu. L’Acte de Vie de notre Dieu, c’est sa mort sur la Croix. Cet acte est vivant, ce n’est pas un acte mort, c’est un acte vivant. Sa mort, c’est son Sang qui coule sur nous; sa mort, c’est sa Chair qui s’ouvre pour nous et qui se donne en nourriture. Continuellement Jésus nous donne. C’est un Acte de Vie si puissant qu’il nous dit: «Il faut mourir pour vivre.»
Alors, Jésus nous dit: «Regardez vos actes de vie que j’ai purifiés. Ce sont vos péchés purifiés que je vous demande de regarder, vos péchés pardonnés que je vous demande d’accepter, vos péchés qui vous ont fait souffrir que je vous demande d’accompagner vos péchés rebelles qui ont été amenés à l’obéissance, vos péchés noirs qui sont devenus des péchés de lumière, car ces péchés sont couverts par le Précieux Sang de Jésus. Ces péchés sont amour, ils ont été portés par Jésus, l’Amour Inconditionnel. Jésus les a acceptés, Jésus a laissé couler la Volonté de son Père sur nos péchés impurs: la miséricorde de Dieu le Père. Il nous a envoyé son Fils pour qu’on goûte à sa miséricorde: «Ouvre ton cœur. Ouvre ta chair. Laisse couler ton Précieux Sang qui est mon Sang.»
Le Père ne se sépare pas du Fils. Est-ce que le Sang de Jésus, Dieu le Père ne l’a pas connu? Dieu le Père, c’est notre Père: Dieu le Père Invisible. Jésus a dit: «Celui qui me regarde, regarde mon Père, voit mon Père, il est en présence de mon Père.» Alors, lorsque Jésus a laissé couler son Sang, la miséricorde de Dieu le Père se faisait sentir sur notre chair, car nous étions en Jésus.
Dieu a tout purifié. Nous avons en notre chair la miséricorde de Dieu le Père, nous avons en notre chair le Sang de Jésus. Nos actes de vie impurs ont été connus par Jésus et lorsque son Sang a coulé, c’est pour nous, pour qu’on aime ce que lui aimait avant nous. Il nous a aimés, il a aimé notre chair. Notre chair impure, il l’a aimée, Jésus. Il ne s’est pas séparé de qui nous étions. Lui, la Chair Incarnée, a pris en sa Chair notre chair créée, et il a aimé notre chair. Il a aimé notre chair alors qu’elle contenait la marque de Satan.
Cette marque (l’instrument montre le dessin qui a l’aspect d’une fleur et dont l’intérieur de chaque pétale a des lignes noires recouvertes de rouge), savez-vous de qui nous la tenons? «Je te marque, et tu n’oublieras pas que je suis Dieu. Là où tu iras, celui qui lèvera la main sur toi, je le punirai.» Nous avons ces marques en nous. Mais elles ont été voulues pour qu’on se rappelle que Dieu nous protège, que Dieu nous aime, que Dieu nous accepte, que Dieu nous envoie son Fils, que Dieu nous veut devant sa lumière, que Dieu nous fait pénétrer sa miséricorde toujours et toujours. «N’oublie pas que cette marque, c’est toi qui l’as voulue, mais n’oublie pas que je te protégerai, que je ne m’éloignerai jamais de toi, même si toi tu t’éloignes de moi. Mon regard te suivra partout bien que tu vas détourner ton regard de moi. Bien que tes paroles te trahiront, moi, je mettrai des paroles en toi, je te ferai rappeler que je t’aime, et tu crieras vers moi. Tu diras: « Aie pitié de moi, ne détourne pas ton regard de moi. J’ai mérité ce que je vis aujourd’hui: je vis mes conséquences. Souviens-toi de ce que tu m’as dit: «Je te regarderai.» Alors, mon Dieu, aime ton enfant. Souviens-toi de ce que tu as fait pour moi. »»
Ces paroles, nous les avons en nous puisque nous crions toujours vers Dieu, et c’est Dieu qui nous fait crier pour qu’on se souvienne toujours et toujours qu’il est dans notre vie, qu’il ne nous regarde pas comme des étrangers. Il nous aime.
Alors, nous devons comprendre ce que notre Seigneur a fait pour nous. Il a envoyé son Fils pour que nous puissions aimer cette marque (le dessin qui a l’aspect d’une fleur) qui nous rappelle que nous sommes enfants de Dieu, sauvés par Dieu, protégés par Dieu. Ne fuyons pas loin de son regard. Aimons qui nous sommes: des enfants purifiés. Croyons en ce que nous sommes. Oui, aimons, aimons nos actes qui sont purifiés.
Nos actes de vie sont purifiés. Qu’ils soient amour ou qu’ils soient sans amour, ils ne sont plus sans amour, ils sont tous des actes d’amour; alors, aimons nos péchés purifiés, aimons nos actes de vie purifiés. Ne nous arrêtons pas sur ‘pécher‘: pécher, c’est action; pécher, c’est pensée; pécher, c’est regard, c’est sentiment. Nous sommes vivants. N’a-t-il pas choisi des pécheurs? Nous devons faire ce que nous avons à faire.
«Pêche pour être vrai, va chercher tes enfants. Pêche pour être une réalité pour être devant tes frères et tes sœurs. Pêche parce que tu aimes, ne va pas vers le mal. Fuis ceux qui vont t’entraîner de peur que tu prennes exemple sur eux. Sois vrai, tu es purifié. N’aie pas honte de ce que j’ai fait pour toi. Sois un acte dans mon Acte. Je me suis présenté comme étant le Pécheur, le Scélérat, parce que j’ai aimé la miséricorde de mon Père, je n’ai pas aimé le mal. Je ne séparerai pas ton acte de toi-même, car l’acte que tu fais appartient à ta chair, l’acte que tu fais appartient à la vie.
J’ai arraché de toi la mort: la mort n’est plus en toi. Comporte-toi comme un enfant vivant: aime qui tu es, cesse de te juger, cesse de t’abattre, cesse de te combattre. Tu crois plus au mal lorsque tu ne te regardes pas comme étant pécheur: tu détournes ton regard de ma miséricorde. Tu ne sais pas que je t’aime? Aime-toi tel que tu es. Je vais te montrer ce que l’Autre fait dans ta vie. Satan ne veut pas que tu croies que ton acte de vie sans amour ne contient plus: ‘ma marque, mon péché’. Non, Satan ne veut pas qu’on croie en cela. Il va tout faire pour qu’on n’entre pas dans la Purification de notre chair accomplie.
Il va nous aveugler, il va nous faire aimer l’ombre de nos péchés. Oui, lorsque nous acceptons de mentir, c’est que nous écoutons le tentateur qui nous fait souvenir que nous avons menti. Nous ne sommes pas capables de dire: ‘Je refuse cette tentation. Je te donne cause: le mal qui s’acharne contre moi, cette peur qui se colle à moi.’ Alors, nous devons donner cause à Jésus, nous devons donner choix à Jésus. Nous sommes enfants libres par le Précieux Sang de Jésus.
Alors, nous devons refuser d’entrer dans ce choix, nous devons dire: Jésus, je te donne conséquences, car lorsque je fais un mauvais choix, je vais goûter à ma conséquence, et là, je vais encore croire que Jésus ne m’a pas purifié.
‘Je vais vivre continuellement avec l’ombre de mes péchés et je vais continuer à offenser mon Dieu. Je ne croirai pas que mon Dieu, la Miséricorde, a envoyé son Fils mourir sur la Croix pour déverser son Sang afin d’envoyer à la mort la mort: le mal. Non, je n’y croirai pas! Pourquoi? Parce que je vis avec l’ombre de mes péchés. Il faut que je croie en ce que Jésus a accompli, il faut que je croie aux grâces de la purification, il faut que je sois vrai. J’empoisonne ma vie et j’empoisonne la vie de mes frères et de mes sœurs. Cette ombre qui me suit, je la ressens dans ma chair, elle me fait rappeler mon péché, et ma chair devient une mauvaise nourriture.’
Nous avons entendu, hier, que nous sommes des toutes petites hosties en l’Hostie. Nous sommes tout petits. Nous qui avons une chair, nous prenons la Chair de Jésus que lui-même donne et notre chair devient une chair d’amour. Mais que faisons-nous? Nous écoutons la peur et nous retournons toujours dans l’ombre de nos péchés, et cela nourrit nos frères, nos sœurs. Continuellement nous nous nourrissons et ça revient, ça revient, ça revient, ça revient et ça revient toujours. C’est ce que nous faisons. Notre nourriture alimentée par la peur qui nous fait accroire que nous sommes en présence de nos péchés, cela est faux. Nous sommes vivants, nous sommes purifiés, nous ne sommes pas morts. La mort a été arrachée de notre vie. Nous sommes vivants.
Nous devons ne plus avoir peur, nous devons envoyer cela loin de nous. Lorsqu’un d’entre nous nous parle de ce qu’il est: ‘Mon frère est comme ci, ma sœur est comme ça’, eh bien, c’est ce qu’il est: un enfant qui n’a pas profité des grâces de la purification. Et la peur, nous la ressentons, nous la ressentons parce que ce qu’il est nous le devenons. Il ne croit pas en la purification de la chair, il ne profite pas des grâces: je n’en profite pas. Nous, il faut s’éloigner, non pas ne plus l’aimer, mais: ‘Je n’accepte pas, je refuse, je te donne cause, choix et conséquences, Jésus. Je l’aime. Je vais le nourrir avec mon amour.’ Mais si je reste tout près de ce qu’il veut me faire goûter: à sa nourriture, sa nourriture m’atteindra, et j’atteindrai la nourriture de mes frères, de mes sœurs, et encore cette nourriture fera en sorte de me nourrir, et je nourrirai mon frère, ma sœur.
Cette nourriture va s’entretenir: une nourriture sans amour, une nourriture qui affecte ma chair et qui me rend faible, qui m’empêche de vivre les grâces de la purification. Cela se fait depuis si longtemps et si longtemps.
Jésus est venu, il est mort sur la Croix, il a accompli. Et aujourd’hui nous vivons encore dans la peur, nous vivons avec l’ombre de ce qui n’est plus parce que nous n’avons pas compris l’Acte de Vie de notre Dieu. Mais aujourd’hui nous sommes ensemble parce que, oui, nous comprenons; oui, lorsque Jésus s’est donné, nous l’avons accepté; oui, lorsque Satan dit: « Vous n’avez rien compris de l’Acte de votre Dieu », eh bien, on va lui dire non. On va lui dire: ‘Oui, je comprends; oui, je m’accomplis; oui, je donne; oui, je vais m’éloigner de tes pièges; oui, je ne serai plus un piège pour moi-même, je ne serai plus un piège pour mes frères et mes sœurs, je vais entrer dans ce que Jésus, en ce moment même, nous fait vivre: nous fait vivre les grâces de la purification.’
Lorsqu’en 2001, Jésus me parla de la purification de la chair, j’ai cru que c’était beaucoup trop grand pour moi. Plus il me faisait comprendre ce qu’était la purification de la chair et plus je disais: « Seigneur, envoie d’autres comme moi de par le monde. C’est trop grand pour une personne. Il faut que tu instruises d’autres enfants pour que nous soyons plusieurs à faire ce que tu nous demandes: répéter, répéter, répéter et répéter et répéter et répéter! » Il y a plus de 900 rencontres comme celle d’aujourd’hui, plus de 900 rencontres à part des autres que nous avons eues lors des rencontres, dans les vacances chrétiennes. Le nombre est si grand!
Mais ce n’est qu’en 2000…, la fin de 2012 que j’ai compris, lorsqu’il m’a fait comprendre que j’avais une anomalie. Cette anomalie devait être dans ma chair pour que je la vive. Cette anomalie, c’est le mal que ma chair a continué à nourrir. Ma chair avait des anomalies. Une anomalie s’est multipliée, s’est multipliée, s’est multipliée, est devenue si grosse: une masse, une masse violente qui m’a fait plier en deux, et je l’ai ressentie dans ma chair. Et le Seigneur m’a fait vivre cette masse afin que je puisse aimer ma chair: la chair plus que tout ce que j’avais voulu dans ma vie.
Oui, j’ai voulu avoir une famille, aimer ma famille. Je disais que j’étais la personne la plus égoïste du monde, car je disais: « Je vais aimer mes enfants, je vais les aimer avec toutes mes tripes, et un jour ils vont m’aimer. » Mais c’était avec mon amour personnel. Je devais aimer tous les enfants de Dieu d’un amour si fort, si fort, si fort que, là, on s’aimerait. Mais je ne l’avais pas compris. Il fallait que j’y goûte. J’ai demandé à mon mari, celui que Dieu m’avait donné: « Aime-moi. » Je suppliais qu’il m’aime et je disais: « Nous allons nous aimer, nous allons nous aimer. » Et là, j’ai oublié que je devais crier vers Dieu: « Donne-moi ton amour, celui que j’ai besoin pour que je puisse m’aimer, moi, et là, cet amour sortira gratuitement pour celui que tu m’as confié. » Mais je ne l’avais pas compris, je ne l’avais pas compris. Je regardais mes enfants souffrir et je priais, je priais et je priais, et là, j’ai compris que je devais prier pour tous ceux qui avaient la même souffrance que mes enfants. Je devais les aimer autant que j’aime mes enfants. Autant il fallait que je passe par là pour que je puisse comprendre qu’il n’y a qu’une seule chair.
Alors, cette anomalie, il fallait la connaître. Voilà pourquoi j’ai passé par plusieurs enfants de Dieu qui connaissent la maladie. Ce cancer, c’est Dieu qui l’a pris en sa Chair. «Ce cancer, il a dit c’est moi qui l’ai porté, pas toi. Toi, tu as une anomalie, moi, je porte le cancer.»
Car encore aujourd’hui notre Seigneur porte ce que nous n’avons pas compris. Alors, tranquillement j’ai appris, j’ai appris et j’ai appris. Tout le long de cet état de noirceur, il fallait que j’entre dans la lumière, que je comprenne.
Lorsque je suis entrée dans cette machine, cette machine qui a comme fonction de détecter des cellules cancéreuses, eh bien: ‘Merci, Seigneur, de m’avoir aimée. Merci, Seigneur, de m’avoir appris, pendant 2001 à 2012, que je devais aimer, que je devais aimer avec ma mesure d’amour.‘ Parce que j’ai entendu mon Jésus d’Amour: «M’aimes-tu, ma fille? Avance, ma fille!» Alors, je disais oui, et lorsque j’avançais, j’entendais la Noirceur, cette Noirceur: « Je vais t’envahir, t’envahir » et ça me couvrait, ça me couvrait. Et là, je disais: « Oui, Seigneur. » Et j’aimais, j’aimais mes frères et mes sœurs. C’était plus puissant que la Noirceur. Et là, j’entendais la voix de Jésus: «M’aimes-tu, ma fille? Avance, ma fille. Avance.» Et là, j’ai entendu les blasphèmes contre moi: « Ma chienne, je te détruirai. Toi, je te hais. Je vais te faire ressentir ce que j’ai déposé en toi. Je vais te faire goûter à mes blasphèmes. » Et cela me couvrait, cela me couvrait.
Et là, j’aimais, j’aimais, j’aimais mes frères et mes sœurs tels qu’ils étaient. Ma souffrance, je l’avais dans ma chair et j’avançais. J’acceptais, et là, j’entendais Jésus: «M’aimes-tu, ma fille? Avance.»
Je savais que je devais connaître ce que ma chair contenait; alors, j’avançais et j’avançais. Il y eut ces jets de feu et je sentais ma chair brûler réellement comme si on avait ouvert une torche, et ça me frappait toujours, et j’avançais parce que j’aimais. J’ai compris qu’il fallait que j’aime, et je le faisais par amour. Et là, Jésus continuait. J’ai ressenti des lames, des lames de rasoir. J’ai tombé, mais toute ma chair était déchirée. Je ne pouvais plus marcher sur mes pieds parce que ça faisait trop mal et j’avançais, j’avançais par amour. Ces clous! Tout ce que j’ai ressenti! Ces épées! Tout ça, je l’ai ressenti, mais c’était par amour, par amour et par amour. Et Jésus, toujours, il voulait que j’avance. «Avance, ma fille.» Alors, j’ai avancé.
Et lorsque cela fut terminé, j’ai sorti de cette machine, et on m’attendait dans la salle d’attente: mon frère et ma sœur.
Une odeur de roses, une odeur de roses! J’avais été accompagnée de Maman Marie. Et là, j’ai entendu, j’ai entendu la victoire: ‘Nous sommes avec toi, nous sommes victorieux.’ Savez-vous qui c’était? Toutes mes cellules: chacun des enfants créés était en ma chair, et j’ai entendu chacun des enfants créés dire que nous étions ensemble victorieux du mal.
Alors, je l’ai vécu et le résultat a été que je n’avais plus d’anomalie. Voyez-vous? On est victorieux! On n’a pas à craindre. La purification de la chair, c’est pour nous puisque j’ai entendu ce que vous m’avez dit, ce que mes frères, vos frères, mes sœurs, vos sœurs ont dit. Eh bien, c’est accompli.
Nous sommes ensemble. Il faut cesser de se laisser prendre au piège de la peur qui veut qu’on vive avec l’ombre de nos péchés. Il faut que cela s’arrête pour qu’on cesse de se nourrir avec ce qui n’est plus. Le péché n’est plus. Alors, il faut se débarrasser de cette ombre, il faut marcher dans la lumière.
Oui, il y aura des combats, beaucoup! Et vous, ici, en France, vous en connaissez beaucoup, beaucoup et beaucoup. Alors, il faut que vous vous leviez debout, croire que les grâces de la purification se vivent aujourd’hui comme elles se sont vécues hier. Nous avons eu de belles rencontres depuis que nous sommes ici et cela a débuté depuis 2015. Mangeons cette nourriture qui vient de nous.
En ce moment même, notre cœur s’ouvre et nous entendons notre cœur. C’est ce que le Saint-Esprit fait avec nous en ce moment même. Croyons et soyons des convertis. Soyons des enfants prêts à évangéliser avec le cœur et le cœur se trouve en vous, pas dehors. Tout va se passer par l’intérieur, car vos paroles, ils les connaissent, ils y ont goûté; vos gestes, ils les connaissent, ils les ont vus. Nous parlons de nos enfants, de nos petits-enfants, de ceux que nous aimons à la maison, de nos voisins. Nous parlons de tout cela. Eux autres ils ont connu. Alors, il faut faire ce que nous avons à faire: nous accomplir.
Nous allons encore offenser la miséricorde de Dieu, mais nous allons nous relever. La confession, le sacrement de la Réconciliation, eh bien, il n’est pas pour le voisin, il est pour nous afin que le voisin puisse être nourri, et là, ils iront lorsqu’ils accepteront les grâces de la purification selon ce que nous nous accepterons d’accomplir.
C’est l’œuvre de Dieu, ce n’est pas notre œuvre. La Purification de la chair, Jésus l’a accomplie. Alors Jésus se charge, avec Maman Marie, de nous faire entrer dans leurs cœurs pour qu’on puisse vivre les grâces de la purification de la chair.
Alors, le Seigneur vient de dire: «Prenez un repos, maintenant.» Merci, Seigneur. Amen.
Publié par Myriamir le 9 août 2016
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