*De Merveilleuses Apparitions*Qu’est-ce que Les Âmes du Purgatoire ont à nous dire ? Partie (2)


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DES ÂMES DU PURGATOIRE:

5e APPARITION

Le vénérable Stanislas de Kostka, dominicain polonais, vit apparaître une âme du purgatoire toute enveloppée de flammes très brûlantes et poussant des cris très lamentables. La violence du feu qui la transperçait paraissait telle, que le bon serviteur de Dieu ne put s’empêcher de lui demander quelque comparaison, qui pût lui en faire connaître la force.

“ Tu me demandes une comparaison, répondit-elle, sache que le feu de la terre le plus ardent, est un doux zéphir auprès des ardeurs qui me dévorent ”; et en disant ces mots, elle lui fit tomber sur la main une goutte des sueurs que lui tirait la chaleur des flammes. Cette goutte lui fut si douloureuse, qu’il poussa un cri déchirant, qui réveilla tous ses confrères endormis, et, ne pouvant supporter cette douleur, il tomba à terre sans connaissance, où le trouvèrent les religieux, qui étaient accourus à sa chambre.

Ils eurent beaucoup de peine à le ramener à lui, par l’emploi des remèdes les plus énergiques. Quand on lui demanda la cause de ses cris, il montra sur sa main, la plaie produite par la goutte de sueur, dont il souffrit toute sa vie. Or, si une seule goutte de cette sueur fut si terrible, qu’est-ce donc que d’être plongé tout entier dans le feu si atroce du purgatoire? Apprenons de là avec quel soin nous devons l’éviter, et combien nous devons soulager ceux qui y sont plongés, par toutes sortes de bonnes oeuvres, surtout par des messes et des communions.

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6e APPARITION

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Celui qui a été dur pour les pauvres ne trouve pas de miséricorde après sa mort. Celui qui s’est livré au vice impur et qui ne s’est point repenti se voit condamné au feu, sans aucun adoucissement. Nous nous préparons nous mêmes notre avenir. L’Empereur d’Allemagne, Othon IV, avait été le généreux bienfaiteur des communautés religieuses ; aussi, après sa mort, reçut-il un grand soulagement des prières et mortifications des religieux.

Il était mort dans une grande réputation de piété, qu’il avait eue toute sa vie, et chacun le croyait au ciel. Un matin, il se fit voir à l’une de ses tantes, supérieure d’un couvent, pour réclamer le secours de ses prières. Elle entendit, tout à coup, frapper à sa porte, qui s’ouvrit d’elle-même, et voici l’empereur qui s’avance dans l’attitude d’un suppliant. “ Je suis, lui dit-il, passé à l’autre vie et je souffre horriblement dans le purgatoire.

Avertissez les monastères, afin qu’ils me viennent en aide ; qu’on récite, en ma faveur, un grand nombre de fois le De Profundis, le Pater, Ave. Ces prières me purifieront. J’ai fait du bien aux ordres religieux, et Dieu veut me délivrer par eux.”— Avertis par la religieuse, les monastères accomplirent en hâte ce que le défunt avait demandé. Peu de jours après, l’âme apparut de nouveau au même lieu ; mais quelle différence!

Une telle lumière brillait en elle, une gloire si admirable l’environnait, que les yeux en étaient éblouis. Il exprima sa gratitude dans les termes les plus touchants et avec mille bénédictions, puis il s’envola au paradis. Si des gens aussi pieux vont ainsi souffrir dans les feux du purgatoire, que va-t-il en être de nous? Redoublons de piété, recourons souvent aux sacrements, évitons le péché, prions pour les défunts, afin qu’ils nous viennent en aide quand nous aurons si besoin d’eux.

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7e et 8e Apparition

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 Les mérites de l’obéissance sont très efficaces pour délivrer les âmes du purgatoire. S. Jean Climaque dit que celui qui obéit est certain de plaire à Dieu et d’être traité avec bonté à son tribunal. La Bienheureuse Êmélie, dominicaine, prieure du couvent de Sainte-Marguerite, à Verceil, faisait l’impossible pour convaincre ses religieuses du mérite de l’obéissance.

La règle défendait de boire entre les repas sans permission. Une soeur, nommée Cécile, étant un jour très altérée, se vit refuser la permission de boire. Elle offrit ce dur sacrifice à Dieu, en union avec la grande soif de Notre-Seigneur sur la croix. Elle mourut peu de temps après. Il y avait trois jours qu’elle était ensevelie, lorsqu’elle apparut toute resplendissante à la soeur Ëmélie. Elle lui raconta que, devant souffrir pour avoir été trop attachée à ses parents, elle avait promptement été délivrée, en récompense de la soif qu’elle avait soufferte par obéissance.

A mon troisième jour de purgatoire, dit-elle, mon ange gardien est venu verser sur les flammes, le peu d’eau dont je m’étais privée et les a complètement éteintes, pour me conduire en paradis, avec lui. ” La bienheureuse Émélie avait aussi une religieuse, appelée Marie-Isabelle, qui éprouvait du dégoût pour les exercices de piété, à l’église, et leur préférait les amusements ; elle était toujours sortie la première de la chapelle.

Or, la bienheureuse l’arrêta, un jour, à la porte, et lui demanda pourquoi elle était si pressée de s’éloigner du très Saint-Sacrement. La religieuse avoua bonnement qu’elle s’y ennuyait trop. “ C’est très bien, lui dit la prieure ; mais si vous n’êtes pas capable de demeurer commodément assise, à chanter l’office divin, comment ferez-vous pour rester dans les tourments du feu du purgatoire ?

Pour vous éviter cette terrible punition de l’autre vie, je vous ordonne de ne sortir de l’église que la dernière. ” La soeur se soumit avec grande simplicité. Dieu bénit cette obéissance en lui ôtant le dégoût et l’ennui dont elle se plaignait; elle éprouva, au contraire, une grande joie à prier et à rester à  l’église après toutes les autres. Ce n’est pas tout, elle obtint encore, à cause de cette obéissance, que toutes les heures, ainsi passées à prier dans la chapelle, seraient diminuées sur la durée de son purgatoire.

Sans doute que ce fut la bienheureuse Ëmélie qui lui obtint ces faveurs ; car ses prières étaient si efficaces, qu’elles obtinrent que les trois jours que son propre père devait passer en purgatoire, fussent changés en trois heures seulement. Ne craignons point de prier longtemps devant le très Saint-Sacrement surtout, puisque ces moments sont de beaucoup les plus précieux de notre vie, et qu’ils nous seront très richement payés au purgatoire, comme au ciel.

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9e et 10e APPARITIONS

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La vie de la bienheureuse Raconigi est pleine de visions admirables de la gloire du paradis, des supplices de l’enfer et des peines du purgatoire. Dieu lui donna ces visions pour exciter en elle un zèle ardent surtout pour la délivrance des âmes du purgatoire. Notre-Seigneur lui apparut un jour et lui tira du sang de la poitrine, lui disant qu’une partie de ce sang tomberait sur les pécheurs, et l’autre, sur les défunts. Catherine comprit par ce prodige qu’elle devait, par ses prières et pénitences, convertir beaucoup de pécheurs et délivrer beaucoup d’âmes souffrant au purgatoire. Comme elle était sur son lit, avec une grosse fièvre, elle méditait sur les souffrances de l’autre vie.

Elle fut bientôt ravie en extase et conduite en purgatoire. Là, le Seigneur, afin d’augmenter sa dévotion pour les défunts, lui fit faire l’expérience de leurs supplices. Pendant qu’elle regardait ce terrible feu, elle entendit une voix lui dire : “ Tu vas ressentir tout cela pour un moment.” A l’instant même, une étincelle se détacha et vint toucher sa joue gauche, à la vue de plusieurs religieuses, qui se tenaient autour de son lit, pour l’assister dans sa maladie.

Or, la douleur qu’elle en ressentit fut telle que son visage enfla et resta longtemps dans cet état. Elle disait que, en comparaison de ce que cette simple étincelle lui causait de tourments, toutes les souffrances de cette vie n’étaient rien. Dès cette heure, elle redoubla de dévouement pour les pauvres âmes ; il lui semblait qu’elle ne faisait jamais assez en leur faveur, bien qu’elle s’imposât les plus dures austérités et qu’elle travaillât de toutes ses forces à les soulager.

 Plusieurs de ces âmes lui apparurent pour la remercier de leur délivrance et l’encourager dans sa dévotion. La première qu’elle vit ainsi, d’abord dans un cachot obscur, puis brillante de célestes clartés, fut celle d’un religieux, supérieur de la Chartreuse. Il était tombé dans le schisme du conciliabule de Pise et, quoiqu’il eût été relevé de l’excommunication, à l’article de la mort, il avait laissé à la communauté quelque doute sur son salut éternel.

Une religieuse de sa communauté étant morte subitement, Catherine désirait ardemment savoir en quel état elle se trouvait dans l’autre vie. Pendant la cérémonie de l’enterrement, elle supplia le Seigneur de lui faire connaître ce mystère et elle fut exaucée. Le cadavre de la défunte, qui était exposé à découvert, avait les mains croisées sur la poitrine ; sa main droite se leva et saisit celle de Catherine et la serra fortement, comme si elle eut imploré ses prières. Après que Catherine eût beaucoup prié, cette âme lui apparut pour la remercier, la bénir et lui assurer qu’elle était rendue dans le ciel.

Lorsque François 1er, roi de France, assiégea Pavie, sa première femme, la reine Claude, apparut à Catherine et lui annonça que François avait été fait prisonnier et que beaucoup de ses soldats avaient été tués, afin qu’elle priât pour toutes ces âmes, qui avaient été jetées à l’improviste dans leur éternité.

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Ile APPARITION

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Une controverse s’éleva entre deux Pères dominicains, Bertrand et Benoit. Il  s’agissait de savoir lequel est le plus agréable à Dieu et le plus profitable pour nous, ou d’offrir nos bonnes oeuvres pour le soulagement des âmes du purgatoire, ou de les consacrer à la conversion des pécheurs. Bertrand disait que les pécheurs étaient dans un état de damnation et toujours entourés des embûches de l’enfer, tandis que les âmes du purgatoire sont assurées de leur salut éternel.

Elles sont les amies de Dieu, tandis que les pécheurs sont ses ennemis : le plus grand malheur qui puisse fondre sur l’homme, etc. Benoit répondait que les pécheurs sont dans leur triste état parce qu’ils le veulent ; mais que les âmes souffrantes sont enchaînées contre leur gré, dans des tourments affreux.

“ Dites-moi, si vous aviez devant vous deux mendiants, l’un capable de gagner sa vie, et l’autre incapable de pourvoir à ses besoins, auquel viendriez-vous en aide ? Les âmes du purgatoire sont dans un océan de souffrances sans pouvoir se soulager. Les pécheurs, eux, sont devant le Seigneur comme des rebelles et des ennemis. Ne devons-nous pas plutôt travailler pour les amis de Dieu que pour ses ennemis ? ” Bertrand, toutefois, ne se rendait point à ces raisons. La nuit suivante, une âme du purgatoire lui apparut, sous forme d’un spectre horrible, chargé d’un poids qu’il ne pouvait supporter.

L’apparition s’approcha en gémissant, et le chargea de cet insupportable fardeau, sous lequel ce pauvre Bertrand succombait. Le tourment lui donna l’intelligence et il comprit qu’il devait faire plus pour les défunts que pour les pécheurs. Le matin, le coeur plein de compassion et les yeux pleins de larmes, il dit sa messe pour les pauvres âmes du purgatoire, et il continua cette sainte pratique tout le reste de sa vie.

 

Saint Thomas a dit qu’il est plus agréable à Dieu de s’appliquer à secourir les morts, parce qu’ils sont dans un plus pressant besoin, ne pouvant pas se secourir eux-mêmes, comme ceux qui vivent encore.

Beaucoup de saints parlent de même. Secourons-les donc toujours avec un grand zèle.

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12e APPARITION

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Le grand saint Thomas d’Aquin dit qu’il préfère l’aumône au jeûne et à la prière, pour l’expiation des fautes passées. C’est pourquoi tant de saints ont choisi l’aumône, comme moyen de soulager les défunts. Raban-Maur, abbé de Fulde, avait prescrit à l’économe de son monastère de faire beaucoup d’aumônes, pour les religieux défunts. Cependant, cet économe, appelé Edélard, ne donnait presque rien. De plus, Raban lui avait ordonné de donner aux pauvres, à la mort de chaque religieux, la valeur de ses repas pendant trente jours, afin que l’âme du défunt fût soulagée par cette aumône.

L’avare Edélard ne faisait pas cette aumône ou il la retardait beaucoup. Il arriva, l’an 830, qu’un bon nombre de religieux moururent. Edélard ne donna rien aux pauvres pour ces défunts, par avarice. La justice de Dieu ne laissa point impunie cette infidélité. Un soir, il traversa la salle du chapitre, une lanterne à la main. Quel ne fut pas son étonnement de voir une quantité de religieux défunts, qu’il connaissait, assis à leur place. Il serait difficile d’exprimer la terreur dont il fut saisi ; il resta cloué à sa place, comme une statue sans vie.

Quelques-uns des morts vinrent à lui, le dépouillèrent de son habit et se mirent à le frapper à coups de fouets, avec tant de violence, qu’il resta sans connaissance. En même temps, ils lui disaient: “Reçois, malheureux, le châtiment de ton avarice ! Tu en recevras un plus terrible dans trois jours, lorsque tu seras descendu avec nous dans la tombe. Alors, ce que l’on fera pour te soulager sera appliqué à ceux que tu as privés de ce que tu devais faire pour eux. ” Puis tout disparut. Pour lui, il était couvert de sang et à demi-mort. Il fut trouvé dans cet état, le lendemain matin. On s’empressa de lui prodiguer des soins.

Mais lui, dès qu’il pût parler, il s’écria : “ J’ai plus besoin des remèdes de l’âme que de ceux du corps. Mes plaies ne guériront jamais. Dans trois jours, je paraîtrai au tribunal de Dieu. Administrez-moi  les derniers sacrements. ” Il les eut à peine reçus qu’il commença à baisser, jusqu’au moment où il expira, en implorant les prières et pénitences de ses confrères. On chanta aussitôt pour lui la messe des morts, et on distribua aux pauvres ses repas pendant trente jours. Le défunt apparut à Raban, pâle, défiguré.

Ce saint lui demanda ce qu’il y avait à faire pour lui.Ah ! répondit l’âme infortunée, les prières et les aumônes de la communauté m’ont procuré bien du soulagement ; mais je ne puis sortir du purgatoire avant la délivrance de tous ceux de nos frères, que mon avarice a privés des aumônes qui leur étaient dues.

Les repas des trente jours que vous avez donnés aux pauvres pour moi ont profité à eux seuls. Faites donc redoubler les prières et les aumônes, surtout les sacrifices de la messe. J’espère que, par ce moyen, nous serons tous bientôt délivrés. ” Raban le promit et la chose fut faite. Un mois après, Edélard apparut, vêtu de blanc, entouré de gloire, la joie peinte sur le visage. Il remercia ses frères et leur promit de prier sans cesse pour eux au ciel, où il s’envolait.

Dieu permet donc aux défunts de venir châtier ceux qui oublient leurs peines. Quand on n’a fait ni prières, ni bonnes oeuvres pour les âmes du purgatoire, le bon Dieu nous prive de celles qui sont faites pour nous. Imitons les religieux de Fulde. Faisons surtout dire des messes pour les défunts.

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Partie:1 ICI

À Suivre…


 

Le Frère Élie (stigmatisé-Italie) *Une mission dans le sillage du Padre Pio*& Deux expériences vécues en 2010*


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Le Frère Élie (stigmatisé-Italie) *Une mission dans le sillage du Padre Pio*

Chaque vendredi, les souffrances de Frère Élie se font plus fortes et chaque année, durant la Semaine Sainte, il souffre la Passion meurt et renaît, comme le Christ il y a plus de 2000 ans.

Âgé de 46 ans et stigmatisé depuis l’âge de 27 ans, la mission de ce diacre Italien…ressemble étrangement à celle du Padre PioAvec qui d’ailleurs, il est en constante communication céleste.

Ayant le don de libération ( le pouvoir d’exorciser) Frère Élie lit dans les consciences. Personne ne peut lui mentir. Il intervient directement sur place à même les foules recueillies dans les églises, exorcisant les personnes possédés... guérissant les malades. À tout coup, sa présence dégage un intense parfum céleste de rose qui envahit l’assistance.

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Frère Élie est né en 1962 en Italie, dans les Pouilles. Dès son enfance, il bénéficia de communications surnaturelles. À sept ans, n’a-t-il pas la surprise de voir des anges ! Le confiant à sa mère qui pétrissait le pain, il en reçut une belle taloche.

Son Ange Gardien « Lechitiel »,qui fut l’ange consolateur du Christ à Gethsémani, lui apparaît quotidiennement et le guide dans tout ce qu’il entreprend. Les anges diront de lui : « Il est comme nous, c’est un ange de lumière. » Un cas unique ou presque dans le monde.

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Tous les vendredis de l’année, ses plaies s’ouvrent dans une douleur atroce pour ensuite se refermer et se cicatriser le lendemain, en laissant tout de même les signes visibles.


Source: https://sentinellesdelamisericorde.com/2014/08/21/veritable-visage-de-jesus-photographie-a-sa-demande-pour-le-frere-stigmatise-elie-fra-elia/comment-page-1/

 

 


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Deux expériences vécus par le Frère Élie en 2010

Fiorella Turolli rapporte l’entrée en carême du frère Élie:

Cette nuit, j’ai vu la Madone
Frère Élie me téléphone:
— Cette nuit, j’ai vu la Madone… je ne parvenais pas à dormir et je priais…
As-tu tellement de pensées, Frère Élie?
— Oui.
— Comment ça?
— D’abord, j’ai vu une lumière qui s’approchait dans le noir, une lumière toujours plus intense qui s’est transformée en une personne… C’était Elle ! Je l’ai reconnue, parce que je l’avais déjà vue deux fois quand j’étais enfant, et ensuite, au couvent, quand j’étais frère capucin.
— Est-ce la même que celle que tu as photographiée?
— Oui.
— Est-ce qu’elle t’a parlé?
— Non, mais elle est restée longtemps avec moi… Elle m’a tenu compagnie presque une heure.
— Comment était-elle vêtue?
— Je la vois toujours vêtue de blanc, complètement habillée en blanc…
Et puis, d’une voix hésitante et craintive, il ajouta:
— Ne vient-elle pas, par exemple, pour me préparer à la mort de quelqu’un dans ma famille?
— Que dis-tu, Frère Élie! Elle est venue pour partager avec toi tes problèmes, reconnaissante pour ton immense amour pour elle. Tu affirmes toujours que tu es tombé amoureux de Marie et elle le sait…

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Satan existe
Calvi, 5 mars 2010

Depuis déjà deux jours, les lumières du cloître s’allumaient et s’éteignaient toutes seules, les animaux étaient agités et Frère Élie ressentait l’habituelle présence néfaste, comme il arrive chaque année durant le carême. Mais la nuit du 5 mars se révéla aussi pour nous comme le présage de terribles événements.
A 4h, je marchais, anxieuse, dans ma chambre, sans en comprendre la cause. J’entendais aboyer les chiens, hennir les chevaux et d’étranges bruits incompréhensibles sous ma fenêtre.
Soeur Francesca, comme chaque matin, fut la première à se lever et, dans le silence de l’aube encore sombre, elle commença à prier à la chapelle.

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6h15
«A l’aide! à l’aide!… venez… Frère Élie… courez!»
La voix désespérée de Soeur Francesca retentissait du cloître à nos chambres.
Je jetai mon manteau sur mes épaules et me précipitai dans l’escalier tandis que d’autres portes s’ouvraient, celles des soeurs de l’aile gauche et celles des frères de l’aile droite du couvent, tous en direction de la voix de Soeur Francesca.
«Je ne sais où il se trouve, je ne le vois pas, mais j’ai entendu des lamentations provenir de cette partie…»

Et tandis qu’elle nous parlait, nous nous dirigions tous vers la nouvelle construction que la soeur nous indiquait. «Ce doit être là…» et tandis que nous courions, nous avons remarqué une pile de tôles et de plaques de fer. Frénétiquement, nous les soulevions une à une et, la dernière enlevée, apparut le corps torturé de Frère Élie, évanoui, effondré dans une fosse boueuse, le visage tuméfié, les lèvres gonflées et ensanglantées, la tête inclinée sur une épaule, les cheveux recouverts de boue maintenant séchée. Nous essayions de le soulever. Il était rigide, gelé, très lourd.

Quelqu’un l’aspergea d’eau bénite et puis, à six personnes, nous sommes parvenus
à l’extraire et nous l’avons transporté vers le couvent. Moi, de derrière, j’ai vu dans sa chevelure des blessures ensanglantées, semblables aux griffures d’un animal.

Nous entrons dans la première pièce à droite et étendons Frère Élie sur le divan.
Il n’a pas encore repris connaissance et il tremble. On apporte de l’eau chaude, un petit cousin, des essuie-mains. Chacun fait ce qu’il peut. Je découvre alors qu’il est complètement recouvert de boue de la tête aux pieds. C’est vendredi et de larges blessures s’entraperçoivent parmi la saleté.

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Je ne suis pas parvenu à calculer le temps passé entre le moment où nous l’avons retrouvé et celui où il s’est réveillé, mais ça m’a semblé un siècle. Finalement Frère Élie ouvre les yeux, bouge lentement et parvient à s’asseoir. Passent encore quelques minutes de silence et puis il nous raconte: “Vers minuit, j’ai entendu les chiens aboyer. Ils me semblaient effrayés, alors je suis descendu pour voir ce qui se passait. J’ai ouvert la porte sur l’arrière et à peu de distance, du côté du poulailler, j’ai remarqué un homme avec un chapeau noir, les bras croisés.

Le visage était dans l’ombre et je ne réussissais pas à le voir. Je lui ai demandé ce qu’il faisait là, disant que, probablement, il s’était trompé de chemin et, tandis que le chat faisait le gros dos en soufflant, il me répondit: «Qu’est-ce que tu crois, que je t’ai oublié?» Alors j’ai compris et j’ai appelé à l’aide avec le téléphone portable, mais lui m’a pris par la gorge et m’a fait tomber. (En vitesse, Frère Élie fit mon numéro à Bergame et mon mari répondit pronto, pronto… mais personne ne répondait. Il était 00.08 sur le téléphone.)

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«Maintenant, agenouille-toi devant moi.» «Jamais!»
ai-je répondu. Alors il a commencé à me montrer beaucoup d’aspects de son visage: d’abord, un visage de femme, puis d’homme, puis un visage de femme avec un corps d’homme, puis un visage d’homme avec un corps de femme, puis trois têtes qui tournoyaient…

Il élevait les bras et allumait des feux… puis il se soulevait lui-même et, avec des gesticulations des bras, il faisait voler des briques et tout ce qui se trouvait déposé là. Il me dit que la Madone m’avait abandonné aussi… et puis, tandis que je lui criais que ce n’était pas vrai, son visage se transforma en celui d’un bouc avec des cornes et j’ai senti m’arriver dessus une série d’objets pesants, et j’ai perdu connaissance… La dernière phrase que je lui ai entendu dire fut: «la prochaine fois, je te colle sur le mur!


Fiorella Turolli, in Angeli et Arcangeli mai-juin 2010 p.18-19.
SOURCE: STELLA MARIS 478 SOMMAIRE

Que nos Prières accompagne le 45e Président des États-Unis Donald Trump *Voici en Vidéo (19min:32)…L’Inauguration (Serment & Discours)*


Inauguration : Donald Trump 45e président des États-Unis ! (serment & discours)

À partir de la 15 èm minute

Il confie l’Amérique À Dieu..

D’un coeur sincère

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Qu’on l’aime ou pas, c’est lui le nouveau Président des États-Unis et les décisions mondiales que Mr Donald Trump prendra auront des répercussions sur toute la planète, pour cette raison prions pour lui afin que Dieu l’éclaire dans toutes ses décisions ! Amen!

Ce vendredi 20 janvier 2017, Donald Trump a prêté serment sur les marches du Capitole, au coeur de Washington, et succède à Barack Obama comme 45e président des États-Unis

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