
16h Messe
Adoration toute la journée





Citations
1-ACCEPTER SA SOUFFRANCE (non daté)
1)-Ce n’est pas le fait d’esquiver la souffrance, de fuir devant la douleur, qui guérit l’homme, mais la capacité d’accepter les tribulations et de mûrir par elles, d’y trouver un sens par l’union au Christ, qui a souffert avec un amour infini (Pape Benoît XVI).
2)-L’acceptation de la souffrance est peut-être la plus grande grâce qu’un homme puisse recevoir ici-bas (P. Slavko Barbaric).
3)-C’est l’acceptation qui nous délivre (Ste Élisabeth de la Trinité).
4)-Dieu ne nous laisse pas libre de souffrir ou de ne pas souffrir; il nous laisse seulement l’ultime liberté d’accepter avec amour ou avec amertume (Jacqueline Montvic).
5)-Si l’on savait quelle récompense attend au ciel la moindre souffrance bien supportée, on demanderait à genoux de souffrir (St frère André).
Citations
2-LES BIENFAITS DE LA SOUFFRANCE (non daté)
1)-La Croix est comme le toucher de l’amour éternel sur les blessures les plus douloureuses de l’existence terrestre de l’homme (St Jean-Paul II).
2)-Nous ne voulons pas admettre que la souffrance est nécessaire à notre âme; que la croix doit être notre pain quotidien. La croix est nécessaire à l’âme comme la nourriture au corps jour après jour; c’est elle qui la purifie et la libère de son attachement aux créatures. Nous avons du mal à comprendre que Dieu ne veut pas, ne peut pas nous sauver sans la croix; et plus il attire une âme à lui, plus il la purifie par la croix (Padre Pio).
3)-Le médecin nous donne le médicament pour guérir notre corps blessé; Jésus nous donne la souffrance qui est le médicament pour guérir et transformer l’âme blessée, pour nous rendre plus patients et plus charitables (Gisela Barreto).
4)-Dieu nous forme par la souffrance à quelque chose qui nous dépasse, c’est quand on ne peut plus rien faire que l’on peut commencer à adorer Dieu (Julien Green).
5)-La souffrance crée en nous des merveilles de cœur qui n’aurait jamais existé sans elle (Léon Bloy).
6)-La Croix peut remplacer tout, et rien ne peut la remplacer (Ste Bernadette Soubirous).
7)-Ceux qui sont guéris vite sont ceux qui n’ont pas la foi, ou qui ont peu de foi, afin qu’ils aient la foi. Ceux qui ont déjà la foi solide ne sont pas guéris vite, parce que le bon Dieu préfère les éprouver, les faire souffrir, pour les sanctifier davantage (St frère André).
8)-Lorsque le Seigneur veut se servir de quelqu’un, il commence souvent par le réduire à zéro (Marthe Robin).
9)-La douleur est une plaie par où l’homme se vide de la terre pour faire entrer en lui le ciel… ou l’enfer (Gustave Thibon)
10)-S’il n’y avait pas la souffrance comme témoin, on ne saurait pas si on aime (André Frossard).
Citations
3-COMMENT PORTER SA CROIX (30/06/13)
1)-Comme ceux qui marchent sur une corde tiennent toujours dans leurs mains le bâton de contrepoids pour balancer leur corps également, dans la variété des mouvements qu’ils ont à faire sur un si dangereux plancher, vous devez aussi fermement tenir la sainte croix de Notre Seigneur (St François de Sales).
2)-Par le moyen des difficultés, les âmes se fortifient sur le chemin du ciel. Il ne faut pas se laisser couler au fond des difficultés, mais nous appuyer sur elles pour aimer davantage… comme le petit canard s’appuie sur l’eau pour nager (St Jean de la Croix).
3)-Je vous dis, en outre, d’aimer votre anéantissement. Cela consiste à rester humbles, sereins, doux, confiants dans les périodes de ténèbres et d’impuissance; cela consiste à ne pas vous inquiéter ni vous angoisser ni même vous troubler, mais à embrasser vos croix et vos ténèbres de bon cœur – je ne dis pas avec allégresse, mais résolument et en montrant de la constance (Padre Pio).
4)-Plus nous usons des sacrements de Pénitence et d’Eucharistie, plus le joug du Seigneur est doux et aimable. Purifiée par ces sacrements, notre âme s’élève à Dieu d’elle-même (St curé d’Ars).
5)-Les épines suent le baume et la croix transpire la douceur, mais il faut presser les épines dans ses mains et serrer la croix sur son cœur pour qu’elles distillent le suc qu’elles contiennent (St curé d’Ars).
6)-Quand on peut souffrir et aimer, on peut beaucoup, on peut le plus qu’on puisse en ce monde (Bx Charles de Foucauld).
7)-Si une seule fois tu étais parfaitement entré dans l’intimité de Jésus, si tu avais savouré un peu seulement de son brûlant amour, alors tu ne tiendrais aucun compte de ce qui est pour toi-même heureux ou malheureux, mais tu te réjouirais bien davantage des humiliations, parce que l’amour de Jésus donne à l’homme la force de se mépriser (Imitation de Jésus Christ).
Citations
4-JÉSUS ET LA CROIX (non daté)
1)-Jésus n’est pas venu nous apporter une théorie de la souffrance, mais, la prenant sur Lui, il est venu la remplir de sa présence (Paul Claudel).
2)-La vraie grandeur du christianisme est d’avoir surmonté la souffrance par l’amour, car Jésus a révélé qu’il existe un amour qui peut endurer la souffrance et qui préfère aimer et souffrir que de ne pas souffrir et de ne pas aimer (Louis Evely).
3)-Le christianisme ne donne pas un remède surnaturel à la souffrance, il lui donne un sens surnaturel (Simone Weil).
4)-Si le Christ n’avait pas souffert de souffrance humaine, n’était pas mort de mort d’homme, toutes les paroles qui auraient pu venir d’en haut – si divines soient-elles -, toutes les bonnes raisons que Dieu auraient pu donner à l’homme de souffrir sans révolte n’auraient pas été assez puissantes pour que l’homme acceptât de les écouter (Christian Chabnis).
5)-Ne nous créons pas nos souffrances mais quand elles se présentent, comme Jésus, comme Marie, portons-les vaillamment. La souffrance prend la valeur que lui donne celui qui la porte. De grâce ne souffrons pas pour rien, c’est trop triste… Je connais maintenant la Joie la plus pure, la plus douce qu’on puisse connaître : celle de vivre pour les autres et pour leur bonheur. C’est en pensant aux souffrances de Jésus-Christ, à son amour rayonnant sur la croix, que je suis parvenue à m’unir à Lui dans une communion intime et constante (Marthe Robin).
6)-S’Il nous éprouve en se cachant ainsi à notre âme, c’est parce qu’Il sait que maintenant nous l’aimons trop pour le laisser (Ste Élisabeth de la Trinité).
Citations
5-L’ESPÉRANCE AU COEUR DE LA SOUFFRANCE (non daté)
1)-Vous tous qui ressentez plus lourdement le poids de la croix
2), vous qui pleurez
3), vous les inconnus de la douleur, reprenez courage : vous êtes les préférés du royaume de Dieu, le royaume de l’espérance, du bonheur, et de la vie; vous êtes les frères du Christ souffrant, et avec lui, si vous le voulez, vous sauvez le monde (Pape Benoît XVI).
4)–Fais confiance au Seigneur et persévère dans ta besogne, car il est facile aux yeux du Seigneur d’enrichir soudain le pauvre d’un seul coup (Ben Sirac, 11, 12-28).
5)-Ne dis pas à Dieu : « J’ai de grands problèmes ! » Dis à tes problèmes : « J’ai un grand Dieu ! » (Auteur inconnu).
6)-Quand on gagne, on perd souvent en humilité. Quand on perd, on gagne toujours en maturité (auteur inconnu).
Citations
6-LA JOIE AU COEUR DE LA SOUFFRANCE (non daté)
1)-La joie vient de la découverte du sens de la souffrance (St Jean-Paul II).
2)-Le ver de la souffrance doit se métamorphoser en papillon de joie (Cardinal Daneels).
3)-Il y a deux manières de souffrir : souffrir en aimant et souffrir sans aimer. Les saints souffraient tout en patience, joie et persévérance, parce qu’ils aimaient. Nous souffrons, nous, avec colère, dépit et lassitude, parce que nous n’aimons pas (St curé d’Ars).
4)- Celui qui souffre avec impatience perd le ciel, celui qui souffre avec patience gagne le ciel, mais celui qui souffre avec joie est assuré du ciel (St curé d’Ars).
5)-Ta misère, elle regarde le Seigneur. Les autres, ils attendent ta joie (St François d’Assise).
6)-Si nous étions capables de souffrir, nous serions encore plus capables d’être heureux (Janine Carette).
7)-Souffrir, c’est se taire (Vicka, de Medjugorje).
Bible
7-LE THABOR ET LE CALVAIRE (06/08/09)
Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre a dit ceci dans une homélie : Sur le Thabor, Jésus a été transfiguré. Puis, au Calvaire, il a été défiguré. Quand nous traversons des moments difficiles, nous devons nous rappeler les moments heureux que Dieu nous ait donnés de vivre (un peu comme les apôtres qui ont dû repenser à la Transfiguration pour supporter la Crucifixion). En effet, ces moments nous rappellent que Dieu nous aime, qu’il est présent dans notre vie, et qu’un jour nous serons heureux pour l’éternité.
Bible
8-LE DERNIER CRI DE JÉSUS SUR LA CROIX ÉTAIT POUR SA MÈRE (25/05/09)
Dans « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé » (tome 9, chapitre 29), Maria Valtorta nous dit ceci au sujet du grand cri que Jésus a poussé sur la Croix juste avant de mourir : Et puis un cri puissant, impensable en ce corps épuisé, se dégage, déchire l’air, le « grand cri » dont parlent les Évangiles et qui est la première partie du mot « Maman »…
Et plus rien…
Kibeho 9-LA SAINTE VIERGE DE KIBEHO:
PERSONNE N’ARRIVE AU CIEL SANS SOUFFRIR (02/03/10)
Les apparitions de Kibeho (au Rwanda, en Afrique) ont été officiellement reconnues par l’Église le 29 juin 2001. Voici deux messages que la Mère de Dieu a laissés à Kibeho pour nous aider à accepter la souffrance avec foi et avec joie (source : « Il est vivant » n°251) :
1-« Personne n’arrive au ciel sans souffrir ».
2-« L’enfant de Marie ne se sépare pas de la souffrance »
Medjugorje
10-LA SAINTE VIERGE NOUS DIT QUE LA SOUFFRANCE PEUT DEVENIR LA JOIE
ET LA CROIX LE CHEMIN DE LA JOIE (18/05/09)
Voici le message mensuel du 25 septembre 1996 :
Chers enfants, aujourd’hui je vous invite à offrir vos croix et vos souffrances à mes intentions. Petits enfants, je suis votre Mère et je désire vous aider en recherchant la grâce auprès de Dieu pour vous. Petits enfants, offrez vos souffrances comme un cadeau à Dieu afin qu’elles deviennent une très belle fleur de joie. C’est pourquoi, petits-enfants, priez pour comprendre que la souffrance peut devenir la joie et la croix le chemin de la joie. Merci d’avoir répondu à mon appel.
Medjugorje
11-LA SAINTE VIERGE NOUS DIT QUE NOUS DEVONS ACCEPTER NOS CROIX
COMME ÉTANT LA VOLONTÉ DE DIEU (25/09/06)
Voici un message très éclairant donné par la Vierge de Medjugorje le 29 mars 1991 (jour du Vendredi Saint), sur le Mont Krizevac :
Chers enfants, je voudrais vous inviter, sous cette Croix, à accepter vos Croix comme étant la volonté de Dieu. De même que mon Fils a accepté sa Croix, vous de même chargez-vous de toutes vos Croix. Ainsi mon Fils sera glorifié à travers toutes vos Croix. Merci, chers enfants, pour avoir répondu à mon invitation et pour avoir accepté de porter vos Croix.
Medjugorje
12-LA SAINTE VIERGE NOUS PARLE DES PLUS GRANDES TÉNÈBRES. (20/10/11)
1)-Message donné à Mirjana le 2 janvier 2009 :
Avec mon Fils, votre âme sera conduite vers de nobles buts et vous ne vous Ne perdrez jamais. Et même dans les plus grandes ténèbres, vous trouverez le chemin.
2)-Message donné à Mirjana le 2 mai 2009 : Mes pauvres enfants, regardez autour de vous et voyez les signes du temps. Pensez-vous pouvoir vous passer de la bénédiction de Dieu ? Ne permettez pas aux ténèbres de vous envelopper. Des profondeurs de votre cœur, criez vers mon Fils.
Son nom disperse même les plus grandes ténèbres. Je serai avec vous, appelez-moi seulement : « Nous voici, ô Mère, guide- nous !
Medjugorje
13-LA SAINTE VIERGE NOUS DIT COMMENT OBTENIR PLUS DE GUÉRISONS
DE PERSONNES MALADES (09/03/10).
Voici un message de la Vierge de Medjugorje qui a été donné le 25 juillet 1982 :
Pour les guérisons des malades, il est très important de faire les prières suivantes : le « Credo« , sept « Pater« , « Ave » et « Gloire au Père« , et jeûner au pain et à l’eau. Il est bon d’imposer les mains sur les malades et de prier.
Il est bon d’oindre les malades avec de l’huile bénite. Tous les prêtres n’ont pas le don de guérir. Afin de réveiller ce don-là, le prêtre doit prier avec persévérance et croire fermement.
Medjugorje
14-LA SAINTE VIERGE NOUS DIT QU’IL NE PEUT PAS Y AVOIR
DE GUÉRISON PHYSIQUE SANS GUÉRISON SPIRITUELLE
(28/04/10) Voici un extrait de la conférence du voyant Ivan Dragicevic au Massachusetts Institute of Technology (USA) le 11 février 2010.
Dans l’un de ses messages, elle dit : « Chers enfants, s’il n’y a pas de paix dans le cœur de l’homme, si l’homme n’a pas de paix en lui, s’il n’y a pas de paix dans les familles, il ne peut pas y avoir de paix dans le monde. C’est pourquoi je vous demande non pas de parler de la paix mais de commencer à vivre la paix, non pas de parler de la prière mais de commencer à vivre la prière. Chers enfants, il y a beaucoup trop de paroles dans ce monde. Je vous demande de parler moins et d’agir plus.
Chers enfants, si vous ramenez la paix, si vous remettez la prière dans vos familles, alors seulement ainsi votre famille pourra-t-elle être guérie spirituellement ». Et elle a dit une fois également : « Mes chers enfants, le monde et l’humanité d’aujourd’hui sont spirituellement malades. Il ne peut pas y avoir de guérison physique sans guérison spirituelle ».
Nous devons d’abord être guéris spirituellement.
Comme je l’ai dit, notre Mère vient à nous pour nous apporter le remède, le divin remède, pour guérir nos maux, pour panser nos blessures avec tellement d’amour et de tendresse maternelle.
Elle veut relever l’humanité pécheresse. Elle est notre Mère qui s’inquiète tant pour notre salut.
Medjugorje
15-VICKA PARLE DE LA SOUFFRANCE (08/12/11)
Voici une phrase que la voyante Vicka a dite au Père René Laurentin le 7 octobre 1984 (citée par le Père Laurentin dans la préface du livre « Je vois la Vierge »).
Souffrir, c’est se taire.
Révélations
16-VÉNÉRABLE MARTHE ROBIN: LA PERSONNE QUI A VÉCU LA PASSION LE PLUS PLEINEMENT APRÈS JÉSUS ET SA MÈRE (07/04/11) Voici une info qui a été publiée sur le site Mariedenazareth.com :
« C’est toi que j’ai choisi pour vivre ma Passion le plus pleinement après ma Mère. En outre, personne après toi ne la vivra aussi totalement et pour que tu souffres jour et nuit tu ne dormiras pas, jamais plus », a déclaré le Christ à Marthe Robin, la célèbre mystique de Chateauneuf de Galaure, qui est restée 50 ans sans boire ni manger autre chose que l’Eucharistie hebdomadaire.
Peu avant son entrée dans la Vie, le 6 février 1981, Marthe, totalement donnée à la Mère de Dieu, affirmait sa grande espérance : « Jean Paul II est le Pape de Marie; c’est elle qui l’a spécialement choisi. Nous sommes dans le temps de Marie »
Révélations
17-MARIA VALTORTA : POURQUOI DIEU PERMET-IL QUE
LES HOMMES TRAVERSENT DES NUITS MYSTIQUES ?
(15/09/05) Voici des paroles de Jésus citées par Maria Valtorta dans « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé » (Tome 3, chapitre 86).
Dieu leur accorde des instants de nuit parce qu’Il sait que l’ardeur tue les âmes-fleurs si elles sont continuellement exposées au soleil. Dieu accorde du silence et des rosées mystiques à ces âmes-fleurs, comme aux fleurs des champs.
Révélations
18–MARIA VALTORTA : CE QU’IL FAUT FAIRE QUAND NOUS PASSONS
PAR DES PÉRIODES DE « MARTYRE MORAL » (09/05/06)
Voici des paroles de la Sainte Vierge citées par Maria Valtorta dans « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé » (Tome 1, chapitre 72).
Je le sais, le cœur se brise. Je le sais, l’esprit s’enténèbre. Je le sais, la vie se consume. Mais Maria ! Appartiens-tu à Jésus ? Veux-tu être à Lui ? Au point de mourir comme Jésus est mort ? Ma petite, qui m’est si chère, pleure, mais reste courageuse et persévère. Le martyre ne réside pas dans la forme du tourment, mais dans la constance avec laquelle le martyr le supporte. Le martyre peut venir par une arme, mais aussi bien par une souffrance morale, si le but auquel on vise est le même.
Tu supportes par l’amour de mon Fils qui te donne l’endurance. Ce que tu fais pour tes frères, tu le fais pour l’amour du Christ, qui veut leur salut. C’est là ton martyre. Restes-y fidèle. Consens à ne pas vouloir faire tout de toi-même.
Il suffit – car l’étreinte est trop forte pour que tu puisses encore trouver la force de te conduire et de dominer ta nature en arrêtant les larmes – il suffit que tu laisses la souffrance te torturer sans te révolter. Il suffit que tu dises à Jésus : « Aide-moi » Ce que tu ne peux faire, Lui, le fera en toi. Reste en Lui. Toujours en Lui.
Ne cherche pas à en sortir et si même la souffrance, tant elle est grande, t’empêche de voir où tu es, tu seras toujours en Jésus. Je te bénis. Dis avec moi : « Gloire au Père et au Fils et à l’Esprit
Saint ». Que ce soit toujours ton cri, jusqu’au moment où tu le diras dans le Ciel. Que la grâce du Seigneur soit toujours avec toi ».
Saints
19-SAINT JEAN CHRYSOSTOME: CE QUE SIGNIFIENT L’EAU ET LE SANG QUI ONT JAILLI DU COTE TRANSPERCE DE JÉSUS SUR LA CROIX (04/05/06)
Voici un extrait d’une catéchèse baptismale de saint Jean Chrysostome (source: le « Livre des jours »).
Comme Jésus déjà mort, dit l’évangile, était encore sur la croix, le soldat s’approcha, lui ouvrit le côté d’un coup de sa lance et il en jaillit de l’eau et du sang. Cette eau était le symbole du baptême, et le sang, celui des mystères. C’est donc le soldat qui lui ouvrit le côté; il a percé la muraille du temple saint; et moi, j’ai trouvé ce trésor et j’en ai fait ma richesse.
Ainsi en a-t-il été de l’Agneau; les Juifs égorgeaient la victime, et moi j’ai recueilli le salut, fruit de ce sacrifice.
Et il jaillit de son côté de l’eau et du sang.
Ne passe pas avec indifférence, mon bien-aimé, auprès du mystère. Car j’ai encore une autre interprétation mystique à te donner. J’ai dit que cette eau et ce sang étaient le symbole du baptême et des mystères.
Or, l’Église est née de ces deux sacrements : par ce bain de la renaissance et de la rénovation dans l’Esprit, par le baptême donc, et par les mystères. Or, les signes du baptême et des mystères sont issus du côté.
Par conséquent le Christ a formé l’Église à partir de son côté, comme il a formé Ève à partir du côté d’Adam. Aussi saint Paul dit-il : Nous sommes de sa chair et de ses os, désignant par là le côté du Seigneur. De même en effet que le Seigneur a pris de la chair dans le côté d’Adam pour former la femme, ainsi le Christ nous a donné le sang et l’eau de son côté pour former l’Église.
Et de même qu’alors il a pris de la chair du côté d’Adam, pendant l’extase de son sommeil, ainsi maintenant nous a-t-il donné le sang et l’eau après sa mort Vous avez vu comment le Christ s’est uni à son épouse ? Vous avez vu quel aliment il nous donne à tous ?
C’est de ce même aliment que nous sommes nés et que nous sommes nourris. Ainsi que la femme nourrit de son propre sang et de son lait celui qu’elle a enfanté, de même le Christ nourrit constamment de son sang ceux qu’il a engendrés.
Saints
20–SAINT PAUL DE LA CROIX : L’IMITATION DU DOUX JÉSUS DANS SA PASSION, C’EST LA LE SOMMET DU PUR AMOUR (21/10/15)
Saint Paul de la Croix (1694-1775) est le fondateur de la Congrégation de la Passion de Jésus-Christ, à laquelle appartient le Père Gianni Sgreva, qui est lui-même le fondateur de la communauté « Oasis de la Paix » (à Medjugorje). Voici une très belle lettre de Saint Paul de la Croix dans laquelle il est question de la souffrance et de la patience (source : le « Livre des jours »).
Il est excellent et très saint d’avoir la passion du Seigneur présente à l’esprit et de la méditer, car c’est par là que l’on parvient à l’union à Dieu.
C’est dans cette école sainte qu’on apprend la vraie sagesse; c’est là en effet que tous les saints l’ont apprise.
Lorsque la croix de notre doux Jésus aura enfoncé plus profondément ses racines dans votre cœur, vous chanterez : « Souffrir et ne pas mourir », ou bien : « Ou souffrir ou mourir« , ou mieux : « Ni souffrir ni mourir, mais seulement se convertir parfaitement à la volonté de Dieu ».
Car l’amour est une forme d’union, et il s’approprie les tourments du Bien-Aimé. Ce feu pénètre jusqu’aux moelles, il transforme l’amant en aimé; l’amour se mêlant plus profondément à la douleur, et la douleur à l’amour, il se fait un mélange des deux tellement intime qu’on ne peut plus distinguer l’amour de la douleur, ni la douleur de l’amour. C’est pourquoi l’âme qui aime se réjouit dans sa douleur et exulte dans son amour douloureux.
Soyez donc fermes pour vous exercer à toutes les vertus, surtout à l’imitation du doux Jésus dans sa passion, car c’est là le sommet du pur amour. Faites en sorte d’être connus de tous comme portant non seulement intérieurement mais aussi extérieurement l’image du Christ crucifié, modèle de toute douceur et indulgence.
Car celui qui est uni intérieurement au Fils du Dieu vivant porte aussi extérieurement son image par l’exercice continuel d’une vertu héroïque, principalement par une patience assez forte pour ne jamais se plaindre, ni en secret, ni en public. cachez-vous donc dans le Christ crucifié, ne souhaitant rien d’autre que d’amener tous les hommes à faire sa volonté.
Devenus de vrais amants du crucifié, vous célébrerez sans cesse, dans le temple intérieur, la fête de la croix, en gardant silencieusement la patience, en ne vous confiant à aucune créature; et puisque les fêtes doivent se célébrer dans la joie, ceux qui aiment le crucifié célébreront la fête de la croix en gardant silencieusement la patience, avec un visage souriant et paisible, si bien que cela reste caché aux hommes et connu seulement du Souverain Bien. Puisque toute fête comporte toujours un banquet solennel, ayez pour nourriture la volonté divine, selon l’exemple de notre amour crucifié.
Saints
21-SAINTE ROSE DE LIMA : LA MESURE DES CHARISMES AUGMENTE AVEC L’ACCROISSEMENT DES PEINES (23/08/12)
Voici un petit extrait d’une lettre que Sainte Rose de Lima (1586-1617) a écrite au médecin Castillo (source : le « Livre des Jours ») :
Le Seigneur notre Sauveur éleva la voix et dit, avec une incomparable majesté : «Tous doivent savoir qu’après l’épreuve vient la grâce; tous doivent connaître que, sans le poids des afflictions, on ne peut parvenir au sommet de la grâce; tous doivent comprendre que la mesure des charismes augmente avec l’accroissement des peines. Les hommes doivent se garder d’errer ou de se tromper. C’est la seule véritable échelle du Paradis, et hors de la croix on ne trouve pas de chemin pour monter au ciel ».
Lorsque j’entendis ces paroles, un élan très fort m’emporta, comme pour me faire venir au milieu de la rue, afin que je dise, avec de grands cris, à tous les gens de tout âge, sexe et condition : « Écoutez, peuples; écoutez, tout le monde.
Sur l’ordre du Christ, en employant les paroles sorties de sa bouche, je vous en avertis : nous ne pouvons acquérir la grâce si nous ne souffrons pas d’afflictions; il faut que les peines s’accumulent les unes sur les autres pour obtenir de participer intimement à la nature divine, à la gloire des fils de Dieu, à la parfaite félicité de l’âme »
Saints
22-SAINTE JEANNE-FRANCOISE DE CHANTAL :
IL EXISTE UN MARTYRE D’AMOUR (12/12/13)
Voici quelques paroles de Sainte Jeanne-Françoise de Chantal (1572-1641), la fondatrice de l’ordre de la Visitation, concernant le martyre d’amour (source : le « Livre des Jours »).
Il y a un martyre qui s’appelle le martyre d’amour (…). Je sais que c’est le martyre auquel les Filles de la Visitation sont destinées et que Dieu le fera souffrir à celles qui seront si heureuses que de le vouloir (…). Donnez votre consentement absolu à Dieu, et vous le sentirez. C’est que le divin amour fait passer son glaive dans les plus secrètes et intimes parties de nos âmes et nous sépare nous-mêmes de nous-mêmes.
Je sais une âme laquelle l’amour a séparée des choses qui lui ont été plus sensibles que si les tyrans eussent séparé son corps de son âme par le tranchant de leurs épées (…). Mais cela s’entend pour les cœurs généreux, et qui, sans se reprendre, sont fidèles à l’amour; car, les cœurs faibles et de peu d’amour et de constance, Notre Seigneur ne s’applique pas à les martyriser; il se contente de les laisser rouler leur petit train, de crainte qu’il ne lui échappe, parce qu’il ne violente jamais le libre arbitre.
Saints
23-SAINTE THÉRÈSE DE L’ENFANT JÉSUS :
REGARDER LA CROIX COMME UN TRÉSOR (09/07/09)
Voici quelques vers de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus :
Vivre d’amour, ce n’est pas sur la terre.
Fixer sa tente au sommet du Thabor.
Avec Jésus, c’est gravir le calvaire,
C’est regarder la croix comme un trésor !
Saints
24-SAINTE THÉRÈSE DE L’ENFANT JÉSUS : POURQUOI DIEU
PERMET CERTAINES DÉSILLUSIONS (24/03/11)
Voici un extrait du livre d’Agnès Richomme : « Thérèse de l’Enfant-Jésus ».
Au pensionnat tenu par les bénédictines où elle entre à l’âge de 8 ans, Thérèse souffre beaucoup des petites méchancetés et des jalousies. Mais elle comprend bien pourquoi Dieu a permis ces désillusions.
En effet, elle dira un jour : « Combien je remercie le Seigneur de ne m’avoir fait trouver qu’amertume dans les amitiés de la terre ! Avec un cœur comme le mien, je me serais laissé prendre et couper les ailes; alors, comment aurais-je pu voler ?… » Pour atteindre la sainteté, il faut en effet s’élever fort au-dessus des affections terrestres, non pas nécessairement pour y renoncer, mais au moins pour les établir solidement en Dieu, et Le mettre, Lui, plus haut que tout.
Saints
26-SAINT FRANCOIS DE SALES : SOUPIRER EN DIEU PLUTÔT QUE DE SOUPIRER
POUR FAIRE DES PLAINTES INUTILES (10/12/12)
Voici un extrait d’une lettre que Saint François de Sales (1567-1622) a envoyée à Madame de Tavernay le 21 juillet 1610 :
Tandis que nos corps sont en douleur, il est malaisé d’élever nos cœurs à la considération parfaite de la bonté de Notre Seigneur; cela n’appartient qu’à ceux qui, par des longues habitudes, ont leur esprit entièrement tourné du côté du ciel. Mais nous qui sommes encore tout tendres, nous avons des âmes qui se dispersent aisément en ressentant les travaux et douleurs du corps : c’est pourquoi ce n’est pas merveille si durant vos maladies, vous avez interrompu l’usage de l’oraison intérieure.
Aussi suffit-il en ce temps-là d’employer les prières jaculatoires et les sacrées aspirations (note de l’éditeur : c’est à dire des prières brèves, comme des flèches – « jacula » en latin -, et des soupirs lancés vers le ciel) ; car puisque le mal nous fait souvent soupirer, il ne coûte rien de plus de soupirer en Dieu, à Dieu et pour Dieu, que de soupirer pour faire des plaintes inutiles.
Saints
27-SAINTE BERNADETTE SOUBIROUS : EXTRAIT DU TESTAMENT
DE SAINTE BERNADETTE (31/07/15)
Une sœur Clarisse m’a transmis cet extrait du testament de sainte Bernadette de Lourdes.
Pour la misère de père et mère, la ruine du moulin, le madrier de malheur, le vin de lassitude, les brebis galeuses, merci mon Dieu ! Pour la gifle de Mlle Pailhasson, les railleries, les outrages, pour ceux qui m’ont crue folle, menteuse, avide, merci Dame Marie ! (…)
Pour ma mère morte au loin, pour la peine que j’ai eue quand mon père au lieu de tendre les bras à sa petite Bernadette m’appela « Sœur Marie-Bernard », merci Jésus ! Merci d’avoir été privilégiée des semonces dont mes sœurs disaient : « Quelle chance de n’être pas Bernadette ! »
Merci pourtant d’avoir été Bernadette, menacée de prison (…), regardée par les foules comme une bête curieuse, cette Bernadette, si ordinaire, qu’en la voyant on disait : « C’est ça ! »
Pour ce corps piteux que Vous m’avez donné, cette maladie de feu et de fumée, ma chair pourrie, mes os cariés (…), mes douleurs sourdes ou aiguës, merci mon Dieu ! Et pour cette âme que vous m’avez donnée, pour le désert des sécheresses intérieures, pour votre nuit et vos éclairs, vos silences et vos foudres, pour tout, pour Vous absent ou présent, merci Jésus !
Saints
29-SAINT FRANCOIS D’ASSISE : JÉSUS DIT A SAINT FRANCOIS CE QU’IL FAUT FAIRE AU MILIEU DES INFIRMITES ET DES TRIBULATIONS (31/03/14)
Voici un extrait d’un article sur saint François d’Assise qui est paru dans la revue
« Famille Chrétienne » en octobre 2013 :
Nous sommes au début de 1225 et François est très affaibli. Il porte les stigmates de la Passion, il souffre en permanence, marche avec peine, est constamment fiévreux. Des maux d’yeux le rendent presque aveugle. Il va chercher un peu de repos chez les clarisses de Saint-Damien. Sainte Claire lui aménage une cellule protégée de la lumière, mais les mulots et les souris l’empêchent de dormir.
Dans sa prière, François implore le Seigneur de lui donner la patience et la paix. Alors qu’il est dans la nuit des sens et de la foi, il entend le Seigneur lui dire : « Réjouis-toi et sois dans l’allégresse au milieu de tes infirmités et tribulations : dès maintenant vis en paix comme si tu partageais mon Royaume ».
Dans cette déréliction, saint François se ressaisit et devient allègre. Il dicte alors à un Frère les paroles de ce poème merveilleux, cette « Laude du Seigneur » (ndlr : il s’agit ici du célèbre « Cantique des créatures » ou « Cantique du soleil »)
Saints
30-SAINT IGNACE D’ANTIOCHE: UN MAGNIFIQUE
EXEMPLE DE COURAGE DEVANT LA MORT (14/06/12)
Voici un extrait tout à fait époustouflant d’une lettre de saint Ignace d’Antioche
aux romains (source : le « Livre des Jours »).
Je voudrais profiter des bêtes qui sont préparées pour moi et je souhaite qu’elles m’expédient rapidement. Et je les flatterai pour qu’elles me dévorent sans tarder, contrairement à certains qu’elles n’ont pas osé toucher. Et si elles montrent de la mauvaise volonté, moi je les forcerai. Pardonnez-moi : je sais ce qu’il me faut. C’est maintenant que je commence à être un disciple.
Que rien, parmi les êtres visibles ou invisibles, ne m’empêche par jalousie de rejoindre le Christ. Supplice du feu, croix, combats de bêtes, lacérations, écartèlement, dislocation des os,mutilation des membres, broiement de tout le corps, que tous les supplices du diable viennent sur moi, pourvu seulement que j’atteigne Jésus Christ.
Saints
31-SAINTE MÈRE TÉRÈSA : A L’ÉPREUVE DU DOUTE PENDANT 50 ANS (13/07/10) Voici quelques extraits de lettres écrites par Mère Teresa (source : le magazine « Panorama » en novembre 2007).
Extrait 1 : (peu après la fondation de son œuvre, sa prière devient sèche et aride / 1947)
Où est ma foi, tout au fond de moi, où il n’y a rien d’autre que le vide et l’obscurité, mon Dieu, que cette souffrance inconnue est douloureuse, je n’ai pas la foi.
Extrait 2 : (aux sœurs qui la rejoignent / 1950)
Maintenant que vous avez appris combien Dieu vous aime d’amour, quoi de plus naturel pour vous que de passer le reste de votre vie à rayonner de cet amour ? Mon sourire est un grand manteau qui couvre une multitude de douleurs.
Extrait 3 : (à Mgr Perrier, son confident / 1957)
Il y a tant de contradictions dans mon âme… Un tel désir de Dieu, si profond que c’est une peine, une continuelle souffrance. Le paradis ne signifie rien : pour moi, il est comme un lieu vide. Et maintenant, quelle torture de se languir de Dieu. Priez pour moi, s’il vous plaît, pour que je continue à lui sourire en dépit de tout, pour qu’il ait tous les droits sur moi.
Extrait 4 : (à un ami pasteur / 1979)
Jésus a un amour tout particulier pour vous. Pour moi, le silence et le vide sont si importants que je regarde et ne vois pas, que j’écoute et n’entends pas.
Extrait 5 : (lettre écrite en 1959)
Pourquoi je fais tout cela ? J’appelle, je m’agrippe et il n’y a personne pour répondre. Personne à qui m’accrocher, non, personne. Seule, j’éprouve que Dieu n’est pas Dieu, qu’il n’existe pas vraiment. C’est en moi de terribles ténèbres. Comme si tout était mort, en moi, car tout est glacial. Si un jour je deviens une sainte, je serai sûrement celle des ténèbres.
Saints
32-SAINT LOUIS MARTIN : LES PERSONNES QUI SOUFFRENT
DE TROUBLES PSYCHIQUES (27/07/09)
Voici un témoignage qui a été envoyé par un lecteur de « Chère Gospa » en juillet 2009 :
Je suis touché par une forme « light » de maladie mentale et de ce fait extrêmement sensible à la foi profonde de cet homme (Louis Martin) qui en s’abandonnant à la volonté de Dieu a pu accepter la souffrance morale énorme qu’induit ce type d’affliction, car la folie c’est avant tout des tortures inimaginables de l’esprit et même du corps. Ceci dit, et c’est important de le préciser, le fou c’est avant tout une personne avant d’être un malade et de ce fait ayant la même dignité fondamentale dont dispose chaque être humain.
Quoi qu’il en soit ce bel exemple me conforte dans ma démarche personnelle d’accepter mes difficultés avec foi, amour et espérance, et non pas en me révoltant vainement contre la souffrance.
Saints
34–SAINT PADRE PIO : TROUVER DANS LES SAINTS LA FORCE DE CONTINUER (10/04/10)
Une amie m’a raconté l’histoire suivante :
Quand nous nous sommes mariés, mon mari et moi, nous avions 20 ans. A 22 ans, il a dû être amputé d’une jambe, puis, 6 mois plus tard, de l’autre jambe. Elles étaient complètement gangrenées. Chrétiens pratiquants, nous avions l’habitude de rire de nos malheurs. Il était très intellectuel, contrairement à moi. Aussi lui disais-je souvent : « Tu es la tête et moi les jambes ! » Quelques années plus tard, j’ai eu un terrible accident de voiture.
Cet accident a profondément altéré ma santé mentale : perte de la mémoire, difficultés à comprendre ce que l’on me disait… Les gens se moquaient souvent de moi. Malgré mon handicap et contre l’avis des médecins, j’ai décidé de garder mon mari avec moi pour m’occuper de lui, plutôt que de l’envoyer dans une maison spécialisée.
Je l’ai soigné ainsi pendant 25 ans et, durant tout ce temps, je n’ai pas eu une seule journée de repos. La situation a été extrêmement dure. Il a fait également de multiples attaques cardiaques ainsi que des comas, et il a dû être opéré de très
Nombreuses fois…Souvent, en le soignant, je regardais une image du Padre Pio qui était affichée chez nous et je sentais que le saint prêtre me donnait la force de continuer. C’était comme s’il me disait : « C’est Jésus que tu soignes. Sois forte ! » C’est comme cela que j’ai pu y arriver.
Saints
35-SAINT PADRE PIO ET SAINT LOUIS MARTIN : LA GUÉRISON (16/05/09)
Voici deux phrases qui nous font comprendre que s’il est important de demander la guérison, il est tout aussi important d’accepter la Croix avec patience, courage et responsabilité.
Saint Padre Pio : « Ne te donne pas trop de peine pour guérir ton cœur, car cela empirerait ta situation. De même, lutte contre la tentation, mais sans tomber dans l’agitation. Évite de fixer ton attention sur les suggestions du Malin. Il suffit de les mépriser » (Ep 3, 503).
Saint
Louis Martin (le papa de Ste Thérèse de l’EJ) : alors que ses filles – qui sont au Carmel – lui proposent de s’associer à une neuvaine pour sa guérison (il est en hôpital psychiatrique), il répond : « Non, il ne faut pas demander cela, mais seulement la volonté du bon Dieu » (cité par Hélène Mongin dans « Louis et Zélie Martin, les saints de l’ordinaire »).
Témoignages
40-COMMENT ACCEPTER SON CORPS QUAND ON EST PARALYSE ? (28/11/11)
Il y a quelques jours, sur une radio chrétienne, j’ai écouté le témoignage tout à fait bouleversant d’un père de famille qui est devenu handicapé suite à une mauvaise chute. Après des années de dépression, la foi en Dieu lui a finalement permis de retrouver la joie et l’espérance et d’accepter de devoir vivre dans un fauteuil roulant.
Il a notamment dit ceci : Avant mon accident, je croyais que la liberté c’était de pouvoir faire ce que l’on voulait et quand on le voulait. Le fait de me retrouver en fauteuil roulant a donc été extrêmement difficile pour moi. J’ai failli mourir de désespoir.
Puis, avec le temps, la foi m’a aidé. Je me suis notamment souvenu que les personnes les plus heureuses que j’avais vues, au cours de ma vie, étaient des personnes qui vivaient cloîtrées : des religieuses, des religieux… En effet, il y avait dans le regard de ces personnes-là quelque chose d’extraordinaire que je n’avais jamais vu ailleurs. Et pourtant, vivant cloîtrées, elles ne faisaient pas ce qu’elles voulaient et quand elles le voulaient.
Je me suis donc dit qu’il fallait que j’essaie de faire de mon corps un « cloître« , c’est-à-dire : un lieu où Dieu habite. Et c’est ainsi que je suis parvenu à dépasser mon handicap.
Réflexions
53-POURQUOI IL EST IMPORTANT DE PRENDRE LA CROIX DANS SES MAINS (09/04/15) Une petite réflexion de votre serviteur…
A Medjugorje, la Sainte Vierge nous demande assez régulièrement de prendre la croix dans nos mains. Dans son message mensuel du 25 mars 2015, par exemple, elle nous dit :
« Soyez forts dans la prière et, la croix en mains, priez pour que le mal ne vous utilise pas et qu’il ne soit pas victorieux en vous ».
Cette recommandation de Marie me fait penser à ces paroles de Jésus : « De même que le sarment ne peut pas porter du fruit par lui-même s’il ne demeure sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi. Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments » (Jean 15, 1-8).
En nous disant ces mots, Jésus veut nous faire comprendre que nous devons être greffés sur lui, et ce afin de devenir « un » avec lui. Or, comment faut-il s’y prendre pour être greffé sur Jésus ? L’église nous offre beaucoup de moyens pour cela : la Messe, la Confession, le Rosaire, le jeûne alimentaire, la Bible…
Mais il existe un moyen particulier qui permet à l’adjectif « greffé » de prendre tout son sens. Ce moyen, c’est de tenir la croix dans nos mains. En effet, quand nous faisons cela, nous sommes alors greffés au bois de la croix comme le sarment est accroché à la vigne. Nous devenons en quelque sorte une « branche » de cet « arbre » qu’est la croix. Et c’est alors que Satan ne peut rien contre nous.
Réflexions
55-LA FORCE INOUÏE DES MALADES (10/07/11)
Une petite réflexion de votre serviteur (webmaster)…Le monde actuel imprime au plus profond de nous-mêmes des habitudes qui ne sont pas toujours bonnes : il faut penser vite, il faut parler vite, il faut agir vite, il faut savoir se mettre en valeur, il faut apprendre à dominer l’autre... Tant et si bien que la vie ici-bas ressemble souvent à une jungle. Toutefois, il peut parfois arriver que des miracles se produisent.
Par exemple, il suffit qu’un malade apparaisse, et voilà que tout se transforme autour de lui : les gens arrêtent soudainement de réfléchir à 100 à l’heure, ils se mettent à parler plus doucement, ils font attention à éviter les gestes brusques, ils s’intéressent à lui, ils essayent de l’aider par une multitude de petits gestes et de petites attentions…
La force des malades, c’est qu’ils sont capables de faire pour nous un miracle que les gens forts et en pleine santé ne peuvent pas réaliser : ils sont capables de nous faire tomber en une seconde de notre piédestal et de nous ramener à une conduite plus humaine et plus normal.
Publié par Myriamir le 27 février 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/02/27/porter-sa-croix-avec-jesus-apprendre-a-souffrir/
45e APPARITION
Sainte Brigitte vit, ouvert devant elle, le purgatoire, où les âmes sont purifiées par le feu, avant leur entrée au ciel. Elle y entendit un ange qui criait : “ Bienheureux ceux qui aident les âmes du purgatoire par leurs prières et leurs bonnes oeuvres ; car la justice de Dieu exige que ces âmes soient purifiées par les tourments du feu ou délivrées par les bonnes oeuvres de leurs amis.”
Alors la sainte entendit, de l’abîme du lieu des souffrances, une multitude de voix suppliantes :
“ O Seigneur, n’ayez point égard à nos innombrables fautes ; mais aux mérites infinis de votre passion. Inspirez un vrai sentiment de charité au coeur des prélats, des prêtres et des religieux, afin que, par leurs prières, leurs messes, leurs aumônes, leurs indulgences, ils nous secourent dans notre triste situation. Ils peuvent, s’ils le veulent, adoucir et abréger nos horribles tourments, et faire que nous soyons plus tôt près de vous. Grâces et mille fois grâces à ceux qui nous soulagent dans nos malheurs !”
Puis une sorte de lumière brillante d’un côté, et nuageuse de l’autre, descendit d’en haut et pénétra dans le purgatoire, pour faire comprendre que leur soulagement venait des prières ; mais qu’il n’était pas encore parfait. Et de nouvelles voix disaient :
“ O Seigneur Dieu, rendez au centuple le bien que nous font ceux qui prient pour notre délivrance et contribuent à nous introduire dans votre céleste et douce lumière ! ” Donc une très grande récompense est assurée à ceux qui prient pour les morts.
Les âmes envoyées au ciel par eux, n’oublieront jamais un pareil service et le rendront cent pour un. Plaise à Dieu que tous ceux qui liront le récit de ces apparitions soient remplis de dévotion pour les défunts comme Sainte Brigitte. Combien nous avons besoin d’avoir des amis et protecteurs dans l’autre monde, nous que tant de fautes exposent aux rigueurs de la colère divine!
46e et 47e Apparitions
Dieu jugera sans miséricorde ceux qui n’ont pas eu de pitié pour les autres. A Milan, Italie, une propriété avait été affreusement ravagée par la grêle, pendant que les campagnes voisines n’avaient rien souffert.
On se demandait la cause de ce désastre particulier, lorsque l’apparition d’une âme du purgatoire fit connaître que c’était un châtiment sur des enfants ingrats, qui n’avaient pas exécuté les bonnes œuvres que leur commandait le testament de leur père. On raconte aussi que maintes fois, les âmes des défunts ont fait entendre, dans les maisons, des bruits effrayants, ont bouleversé les meubles, etc.
Beaucoup de ces faits sont bien prouvés. A Ferrare, un des plus beaux palais restait inhabité, par suite du tapage qui s’y faisait toutes les nuits et dont personne ne pouvait connaître la cause. Un étudiant en droit, persuadé qu’il n’y avait, au fond de tout cela, que de ridicules terreurs, s’offrit à demeurer dans cette maison, et à prouver la vanité des craintes qu’elle inspirait, pourvu qu’on lui garantît un logement gratuit pendant dix ans, dans l’une des chambres.
Le propriétaire y consentit bien volontiers. Au jour même, l’étudiant s’installa au palais, après y avoir fait porter ses livres et tout son bagage. La nuit vint.
Le jeune homme, plein de courage, se mit à étudier tranquillement. Il avait fait bénir le cierge qui l’éclairait, afin d’être protégé, par cet objet sanctifié, au cas où le démon tenterait quelque chose contre lui.
Il étudiait sans crainte, lorsque, vers minuit, un bruit singulier se fit entendre dans tous les appartements : on eût dit un mouvement de chaînes traînées lourdement sur le plancher.
Sans s’émouvoir, le jeune homme s’apprête à voir ce que c’est et attend avec impassibilité ; car ce bruit venait de son côté. Il tenait les yeux sur la porte, qui s’ouvre tout à coup. Qu’aperçoit-il ? Un spectre hideux, des fers aux pieds et aux mains. Sans lui adresser une parole, ni répondre à ses questions, il s’assied à ses côtés et le regarde, avec des yeux terribles.
Le jeune homme commençait à trembler ; mais il fait, du fond du coeur, une prière à Dieu et continue à feuilleter son livre. “ Que cherches-tu donc, avec tant de soin ? ** lui demanda enfin le défunt, d’une voix sépulcrale. — “ Je cherche un texte de loi dont j’ai besoin.
— Ce n’est pas dans ce livre que tu le trouveras : prends l’autre et tu le trouveras à telle page. — Je vous remercie, ” dit le jeune homme, et il continua son travail. Dès que la première lueur du jour parût, le spectre se leva et sortit avec le même bruit de chaînes.
Mais le jeune homme, sa lumière à la main, le suivit jusqu’à une sorte de cave, où la terre sembla s’ouvrir et où la vision s’y enfonça. L’étudiant laissa son cierge bénit à l’endroit où avait disparu le spectre, et alla raconter ce prodige à ses amis. Il vient avec eux, descend où était le cierge.
En creusant à cet endroit, on trouve le cadavre d’un homme que personne n’avait jamais connu. On appela un prêtre, qui fit mettre ces restes dans un cercueil et les inhuma en terre sainte, après un service et les prières ordinaires.
On célébra pour le défunt un grand nombre de messes, et depuis ce moment, on n’entendit plus aucun bruit dans ce palais. Tout le monde fut persuadé que Dieu avait permis à une âme abandonnée dans le purgatoire de solliciter ainsi du secours. Prions pour les pauvres âmes abandonnées, et nous plairons beaucoup au bon Dieu, qui nous en bénira grandement.
48e APPARITION
Thomas à Kempis nous dit de prendre soin nous-mêmes de notre salut et de ne pas nous fier à nos parents et amis, pour une chose si importante. On va voir tout de suite que c’est plus prudent. Archangèle Panigarola, religieuse de Milan, avait un zèle admirable pour les âmes du purgatoire ; elle priait beaucoup et faisait prier pour elles.
Cependant, elle ne priait presque jamais pour l’âme de son père, Gothard, bien qu’elle l’eût tendrement aimé pendant sa vie. L’idée lui en venait quelquefois, mais elle pensait tout de suite à d’autre chose ou à d’autres âmes. Le jour des Morts, étant à prier dans sa chambre, tout à coup, son ange gardien lui apparaît et la conduit au purgatoire.
Là, parmi une multitude d’âmes, elle reconnut celle de son père, plongée dans un étang d’eau mêlée de glace.
A peine Gothard eut-il aperçu sa fille, qu’il lui cria : “ Hélas ! Archangèle, comment as-tu pu oublier ton malheureux père, dans les tortures qu’il souffre ici ? Tu te montres remplie de charité envers les étrangers, et j’en ai vu beaucoup monter au ciel par tes prières ; mais pour moi, à qui tu dois tant, tu n’as pas la moindre compassion.
Sois donc, au moins une fois, touchée des horribles souffrances que j’endure jour et nuit.” Archangèle, à ces reproches, qu’elle méritait, fondit en larmes et dit à son père qu’elle ferait, sans retard, tout ce qu’il lui demanderait. L’ange la conduisit dans un autre lieu. Elle lui demanda pourquoi le bon Dieu avait permis qu’elle ne priât pas pour son père, malgré le nombre de fois qu’elle avait pensé à le faire.
Je me rappelle même qu’un matin, où je commençais à prier pour lui, je fus ravie en esprit, et il me sembla que je lui offrais un pain très blanc, mais qu’il le regardait d’un air dédaigneux et refusait de le prendre.
Ce qui me fit craindre qu’il ne fût damné. Après cette vision, je ne songeais plus guère à prier pour lui, tandis que je priais beaucoup pour les autres.” L’ange lui répondit : “ Votre oubli a été permis de Dieu en punition du peu de zèle de votre père à travailler à son salut, et à pratiquer les oeuvres pieuses que le ciel lui inspirait. Dieu a permis que vous agissiez envers lui comme il a agi lui-même envers le Seigneur.
Oubli pour oubli. Telle était la signification de ce refus de pain, qui vous a été montré.
Arcliangèle revint à elle, mais elle était si brisée de chagrin, qu’elle n’avait plus un moment de calme ; il lui semblait toujours entendre les cris de son pauvre père, et elle versait toutes les larmes de ses yeux.
Elle multiplia les prières et les pénitences jusqu’à ce que la Justice divine eût été parfaitement satisfaite.
Alors, l’âme de son père lui apparut glorieuse, inondée de joie ; elle la remercia, puis s’éleva au ciel, laissant Arcîiangèle avec autant de bonheur qu’elle avait eu de peines. Si nous ne voulons pas longtemps languir dans les supplices du purgatoire, travaillons ardemment à notre salut et secourons beaucoup les défunts. C’est ce que nous enseigne cette révélation.
49e et 50e Apparitions
Sainte Gertrude, voulant faire comprendre à ses religieuses l’extrême pureté qu’il faut avoir pour monter au ciel, leur fit connaître deux visions qu’elle avait eues. Il était mort, dans son couvent, une jeune soeur très pieuse. Elle recommandait souvent cette âme à Dieu. Un jour, elle l’aperçut devant le trône de Dieu, environnée de lumière.
Cependant, il y avait, sur son front une certaine honte ; elle semblait chercher à se cacher des regards du Tout-Puissant. Sainte Gertrude dit au bon Dieu : “ Pourquoi, ô Seigneur, n’invitez-vous pas à s’approcher de vous cette âme, qui vous a si bien servi ? Pourquoi la laissez-vous seule, triste et craintive ? ”
Le Seigneur fit signe à l’âme de s’approcher, avec un sourire de tendresse. Mais elle, plus troublée encore, hésitait et tremblait ; enfin, après une profonde inclination, elle se retira. L’étonnement de Gertrude était à son comble. Elle dit à l’âme : “ Comment, ma soeur, vous vous éloignez du Seigneur, qui vous appelle? Vous vous séparez de lui après avoir désiré toute votre vie de le posséder !
” L’âme lui répondit qu’elle n’était pas encore digne de voir Dieu, parce qu’il lui restait encore des taches de péché. “ Quand même la porte du ciel me serait ouverte, dit-elle, je n’oserais pas y entrer avant d’être parfaitement pure. — Mais, demanda Gertrude, comment pouvez-vous être entourée de tant de gloire, si vous n’êtes pas tout à fait pure ?
— Cette gloire n’est rien, répondit-elle, comparée à celle que l’on a au paradis, en voyant Dieu; mais, pour l’avoir, il ne faut pas la moindre tache.”
L’autre vision eut pour objet la soeur de cette défunte : une religieuse très vertueuse aussi. Elle était morte chargée de bonnes oeuvres et de célestes mérites. Toute sa vie, elle avait eu une très grande dévotion au très Saint-Sacrement. Dès qu’elle fût morte, toutes les soeurs s’étaient empressées de faire des pénitences et de nombreuses prières pour elle.
Sainte Gertrude la vit, brillante aussi, agenouillée devant le Roi du ciel, de qui cinq rayons de gloire se dirigeaient vers elle. Mais son visage était plein de tristesse. Sainte Gertrude demanda à Notre-Seigneur comment il pouvait illuminer ainsi cette âme, sans qu’elle fût parfaitement heureuse. Jésus lui répondit que cette pieuse soeur n’était encore digne que de contempler son humanité, mais ne méritait pas encore de voir la divinité, parce qu’il restait en elle quelque reste de fautes légères.
Gertrude supplia le Seigneur d’avoir pitié d’elle, et de l’admettre en possession de la vision béatifique. Notre-Seigneur lui répondit que cette âme elle-même ne consentirait pas à entrer dans le ciel, sans être parfaitement pure, et que, pour la purifier ainsi, il fallait que les vivants de la terre satisfissent pour elle.
La défunte fit signe qu’il en était ainsi, et le Seigneur, en signe de bienveillance, étendit sa main sur sa tête. Dès cet instant, sainte Gertrude se livra aux pénitences, surtout à l’assistance au saint sacrifice de la messe, pour délivrer l’âme de cette religieuse. Un jour, cette âme lui apparut et lui dit : “ La dévotion que j’ai eue au Saint-Sacrement, durant ma vie, me fait recueillir des fruits très abondants des messes qui se célèbrent pour moi.
C’est pourquoi je suis à la veille d’entrer dans l’éternel séjour de la gloire. Oh ! Que je suis heureuse de la dévotion que j’ai eue à l’Eucharistie, durant ma courte vie! ”Par ces paroles, elle enflamma toute les religieuses d’un nouvel amour pour le très Saint-Sacrement, et un plus scrupuleux éloignement des moindres fautes, puisqu’il n’en est aucune qui ne doive être payée. N’oublions pas ces deux prodiges et redoublons de piété et de vigilance pour éviter le péché.
51e APPARITION
Dieu, pour récompenser les trois enfants jetés dans la fournaise de Babylone en changea les flammes en un vent rafraîchissant. Par un miracle tout opposé, il fit d’une fontaine d’eau fraîche une véritable fournaise, pour la punition de l’un de ses serviteurs, à qui il restait à expier une faute particulière. Un abbé de l’ordre de S. Benoit avait élevé son neveu dans son couvent.
Ce neveu se fit religieux et fut d’une régularité exemplaire à tous ses devoirs. L’abbé étant réduit à l’agonie, ses religieux lui demandèrent de nommer lui-même son successeur. Le mourant se laissa aller à son affection de parenté, et choisit son neveu, bien qu’il fût fort jeune.
Puis il mourut, béni et regretté de tous. Il avait coutume, de son vivant, de se promener dans un petit jardin, au fond duquel coulait une fontaine. Son neveu l’avait imité et continuait cet innocent délassement. Un jour, il entendit sortir de la fontaine, une voix lamentable, qui semblait lui demander du secours. Étonné, il ordonne, au nom de Dieu, à l’être invisible de déclarer qui il est. “Je suis, répond la voix, ton oncle, qui vient de mourir.
Le juste Juge me retient à faire pénitence en ce lieu, parce que j’ai eu la faiblesse de te mettre supérieur à ma place. Je souffre ici dans cette eau, le tourment du feu, dans ce qu’il a de plus terrible. Aie donc pitié de moi, mon enfant; fais pour moi tout ce que tu peux, puisque je suis puni de t’avoir trop aimé. ” Le neveu n’eut pas plutôt entendu ces paroles, qu’il courut se démettre de sa charge de supérieur.
Il s’enferma dans un endroit isolé, où il n’avait d’autre soin que le salut de son âme. Là, il ne cessa de prier et de se mortifier pour son oncle, jusqu’à ce qu’il lui fût révélé qu’il était délivré du purgatoire. Ne recherchons point les honneurs, ni pour nous, ni pour nos proches ; car ils sont une source de fautes, qui seront punies sans miséricorde, en cette vie ou en l’autre.
Partie-5-ICI
À Suivre….
Publié par Myriamir le 24 février 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/02/24/de-merveilleuses-apparitionsquest-ce-que-les-ames-du-purgatoire-ont-a-nous-dire-partie-6/
Att: Père Parfait Mbida
1060 Chemin du Lac Beaulne
Chertsey,Québec,Canada J0K 3K0
Téléphone: Père Parfait 514-655-6543
Courriel: mbidaparfait@yahoo.ca
Publié par Myriamir le 22 février 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/02/22/voici-la-nouvelle-adresse-pour-faire-parvenir-vos-dons-a-la-fondation-freres-et-soeurs-sans-frontieres-du-pere-parfait-magloire-mbida-m-s-a/
Jésus explique à Soeur Marie Lataste que, lors du jugement dernier, il paraîtra dans sa gloire avec sa Croix. Jésus dit que, sur la terre, la croix l’avait couvert d’ignominie aux yeux des hommes, et qu’elle couvre aussi de honte ceux qui marchent sur ses traces; mais, alors, elle sera aussi leur gloire.
Jésus enseigne: « Les hommes meurent, mais ils ne resteront pas toujours dans le tombeau, ils ressusciteront comme moi. Leurs corps réduits en poussière reprendront la vie, et la voix de Celui qui a pu les créer de rien aura la puissance de les rappeler à l’existence… »
Tous ceux qui pleurent des êtres chers les retrouveront, car la mort mourra et la vie reviendra pour ne jamais finir. « Ce sera alors, dit Jésus, le grand jour de ma gloire… et ma justice et ma puissance réveilleront tous les morts. Tous ressusciteront, mais tous ne seront pas réunis… Je dirai aux uns une parole de bénédiction, et de malédiction aux autres. Mes anges sépareront les justes des pécheurs, les élus des damnés… Tous les liens seront brisés: liens du sang, liens d’amitié, liens de protection.
Les bénis de mon Père, n’auront plus de relation avec les maudits qu’engloutiront les abîmes… Voilà la séparation qui seule devrait affliger ceux qui s’aiment, l’union seule qu’ils devraient chercher… Si tous les hommes faisaient ainsi, ma Croix pourrait pendant la vie tourner peut-être à leur honte et confusion; mais en ce jour et pour l’éternité elle ferait leur gloire la plus éclatante…
Au jour du jugement, tous les yeux seront ouverts et verront la vérité... Tous les hommes seront égaux devant moi, parce que ma justice les pèsera tous pour leur donner récompense ou punition. Il n’y aura plus que bien ou mal, ciel ou enfer, vie avec Dieu ou avec Satan.
Ma croix éclairera encore le monde en ce jour, elle ouvrira le ciel et fermera l’enfer… »
D’où le conseil: « Ma fille, marchez toujours de plus en plus dans la perfection, suivez l’exemple de ma Mère… Croissez, vous aussi, en âge et en vertu… » Soeur Marie Lataste écrit: « Ces paroles demeurèrent profondément gravées dans son âme, et quand viennent des pensées de découragement, elles me donnent appui et soutien et je bénis le Sauveur Jésus. » (Livre 2, chapitre 30)
Un dimanche de carême, Jésus parla de sa miséricorde. Il insistait pour que les fidèles aient un cœur docile à sa voix et profitent du temps de miséricorde qui leur était accordé. Il demandait aux pécheurs de revenir à Lui, avec sincérité. Il dirait à chacun de ceux qui reviendraient à Dieu: « ‘Mon enfant, embrasse-moi. Combien grande est la joie que j’éprouve de ton retour après l’affliction de ton égarement! Oh! Que n’ai-je point fait pour toi! Combien tu m’as coûté de peines!… Viens, mon fils, je vais te laver dans mon sang et te revêtir de la robe blanche de ma grâce.
‘ C’est ainsi que je vous parlerai à tous dans le secret et le silence de vos cœurs. Comprenez tous combien grande est ma miséricorde, et avec quel empressement je cherche le pécheur, surtout dans ce saint temps. Je l’appelle, je l’invite, je le presse, je le poursuis par ma grâce. Revenez tous à moi par une sincère pénitence…
J’ai couru après vous avec une ardeur infatigable, comme un bon pasteur; comme une brebis blessée, permettez aussi que je vous charge sur mes épaules… Venez tous recevoir la robe nuptiale dans le sacrement de pénitence, et prendre part ensuite au festin de l’Agneau pascal… Venez à moi, je suis à vous. » (Livre 2, chapitre 23)
Dieu est miséricorde pour celui qui se convertit, mais il est également justice. Aussi Soeur Marie Lataste entendit-elle un jour Jésus faire le procès du monde, avec une voix fort irritée et pleine de menaces. Il s’exprimait à peu près ainsi: « Mon peuple, je viens vous reprocher vos iniquités. La terre n’est qu’un foyer de corruption. J’ai regardé à droite et je n’ai vu que vanité et mensonge; j’ai regardé à gauche et je n’ai vu que turpitudes et infamies qui font horreur. J’ai regardé dans le passé, et l’histoire des siècles n’est qu’une longue mémoire de cruautés affreuses; je regarde le présent et je vois tous les hommes s’élever contre Dieu, blasphémer son nom et violer ses lois.
Mais je m’élèverai contre ces superbes pécheurs, je ferai gronder mon tonnerre au-dessus de leur tête et ma foudre ébranlera la terre sous leurs pieds… Périssent votre or et votre argent, hommes avares… Hommes voluptueux, quelle vie est la vôtre? Ne savez-vous donc pas que rien d’impur n’entrera jamais dans le royaume des cieux? Hommes superbes, qui êtes-vous devant le Fils de Dieu qui s’est fait humble jusqu’à la mort de la Croix?… » La voix du Sauveur Jésus était terrible et Soeur Marie Lataste était glacée d’effroi... (Livre 2, chapitre 24)
À suivre….
Publié par Myriamir le 22 février 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/02/22/jesus-explique-enseigne-a-soeur-marie-latastele-jugement-dernier-la-misericorde-de-dieu-la-justice-de-dieu/
Le Parlement a définitivement adopté jeudi 16 Février 2017 la proposition de loi visant à pénaliser les sites internet de désinformation sur l’IVG (AVORTEMENT)
Cliquez sur la photo ou le lien en bas
Note Myriamir: Nous ne devons jamais avoir peur de ceux qui nous incite à faire le MAL…Continuons à faire le Bien sous le regard de DIEU…C’EST LUI NOTRE JUGE
Sous peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans
Et 30 000 euros d’amende.
Publié par Myriamir le 18 février 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/02/18/audio-3-min-on-penalise-les-sites-internet-qui-preche-pour-la-viesous-peine-demprisonnement-pouvant-aller-jusqua-deux-ans-et-30-000-euros-damende/
Nous vivons dans des temps affreux et excitants (stressants). Jamais auparavant, dans toute l’histoire de l’humanité, le mal et la corruption n’ont été atteints à un tel niveau que dans notre génération actuelle.
De l’avortement, du clonage, de la manipulation génétique et du mépris total de la vie elle-même, à une implosion apparemment orchestrée de pratiquement toutes les économies du monde dans un effort pour consolider toutes les choses en une seule dictature technocratique mondiale.
L’élite mondiale est littéralement sur le seuil de lever leurs poings de fer vers le ciel en se déclarant les dirigeants de l’univers avec le reste de l’humanité comme leurs esclaves.
Mais le ciel ne reste pas oisif. Dieu nous préconise de nous préparer … pas pour la fin du monde, mais pour la fin d’une ère. Par Son Fils Jésus et Sa Mère Bénie, Il prépare ses enfants capricieux pour son ultime acte d’intervention divine.
Il nous prépare pour Son dernier Avertissement, une Illumination de Conscience.
Après que cette Illumination de Conscience se soit produite, toute l’humanité sera à la recherche de réponses sur ce qui s’est passer. Notre espoir pour ce site (Edson Glauber) est, qu’il sera un phare pour autant d’âmes qui se demanderont si c’est possible, et sera une référence à d’autres que Dieu appelle à être préparé à l’avance.
L’avertissement se produira au milieu d’une grande agitation. Ce sera comme si l’œil d’un ouragan … un cône de silence au milieu d’une tempête mondiale. Et de même que l’œil de l’ouragan passe rapidement pendant que la tempête continue, le temps pour nous d’atteindre autant d’âmes perdues que possible sera très court. Le test final commencera, la purification sera à portée de main, et le malin se lèvera avec toutes ses armées infernales et son faux messie dans une tentative finale de détruire tout ce que Jésus a accompli.
Le temps est court, et beaucoup sont ceux qui attendront jusqu’à ce qu’il soit trop tard. La plus grande bataille entre le ciel et l’enfer est sur le point de commencer, avec l’humanité pendante dans l’équilibre. Ferez-vous tout ce que vous pouvez pour préparer votre âme et les âmes de vos proches? Ou allez-vous suivre le reste du monde et attendre après l’Avertissement?
Qu’est-ce que l’illumination?
L’Illumination de la Conscience sera un moment profond de décision pour l’humanité, un dernier avertissement pour toute l’humanité. Les mystiques et les visionnaires l’ont décrit comme un «jugement en miniature», un moment où chaque homme, femme et enfant verront leur âme comme Dieu la voit. Cette Illumination, souvent appelée « L’Avertissement« , sera une dernière chance pour le monde de changer de cap et de retourner à son Créateur.
Le jésuite anglais et martyr du 16ème siècle, St. Edmund Campion, a parlé d’un «grand jour qui révélerait toutes les consciences des hommes», un «jour d’illumination» venant. Il a crié qu’il serait un jour où Dieu éclaire surnaturellement la conscience de chaque homme, femme et enfant sur la terre. Chaque personne voyait momentanément l’état de son âme par les yeux de Dieu et réalisait la vérité de son existence.
L’Écriture se réfère à elle dans l’ouverture du 6ème sceau où un événement se produit qui est si grand que chaque personne sur terre tentera de se cacher du phénomène qu’ils assisteront, mais en vain. Chaque homme, femme et enfant reconnaîtrait Jésus comme le vrai Fils de Dieu, et presque tous se repentiront … du moins pendant un petit moment de toute façon.
Publié par Myriamir le 18 février 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/02/18/lillumination-de-la-conscience-explique-par-edson-glauber-voyant-ditapiranga-bresil/
Publié par Myriamir le 18 février 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/02/18/video-6-min50elle-vit-la-passion-du-christ-la-sainte-eucharistie-se-transforme-en-sang-et-en-chair/
1. Priez, gardez l’espoir et ne vous inquiétez pas
2. Sans la Messe, nos vies sont vides
3. Nous laissons l’avenir à la Providence de Dieu
4. Nous devons obéir au Pape
5. Formez des groupes de prière dans votre communauté
6. Reconnaissez Jésus, dans une personne qui est malade
7. Évitez les commérages à tout prix
8. Critiquez seulement vous-même, et non pas les autres
9. Il y a beaucoup d’âmes à sauver
10. Faites entendre votre voix un peu, pour défendre Dieu
La très belle prière de Saint Padre Pio à prier après la communion.
Reste avec moi, Seigneur
Reste avec moi, Seigneur, car j’ai besoin de te savoir présent pour ne pas t’oublier. Tu sais avec quelle facilité je t’abandonne.
Reste avec moi, Seigneur, parce que je suis faible et j’ai besoin de ta force pour ne pas tomber si souvent.
Reste avec moi, Seigneur, parce que tu es toute ma vie, et, sans Toi, je suis sans ferveur.
Reste avec moi, Seigneur, parce que tu es ma lumière, et, sans Toi, je suis dans les ténèbres.
Reste avec moi, Seigneur, pour faire connaître ta volonté.
Reste avec moi, Seigneur, pour que je puisse entendre ta voix et te suivre.
Reste avec moi, Seigneur, parce que je désire t’aimer davantage et être toujours en ta présence.
Reste avec moi, Seigneur, si tu veux bien que je te sois toujours fidèle.
Reste avec moi, Seigneur, parce que, si pauvre que soit mon âme, elle désire être pour Toi un lieu de consolation, un nid d’amour.
Reste avec moi, Seigneur Jésus, parce qu’il se fait tard et que le jour décline… c’est à dire que la vie passe, la mort, le jugement, l’éternité approchent et il est nécessaire de refaire mes forces pour ne pas m’arrêter en chemin et, pour cela, j’ai besoin de Toi. Il se fait tard et la mort approche. Je crains les ténèbres, les tentations, les sécheresses, les croix, les peines, et combien j’ai besoin de Toi, mon Jésus, dans cette nuit de l’exil.
Reste avec moi, Seigneur, parce que, dans la nuit de cette vie et de ses dangers, j’ai besoin de Toi. Fais que je puisse te reconnaître comme tes disciples à la fraction du pain. Que la communion eucharistique soit la lumière qui dissipe les ténèbres, la force qui me soutienne et l’unique joie de mon coeur.
Reste avec moi, Seigneur, parce qu’à l’heure de la mort, je veux rester uni à Toi, sinon par la communion, du moins par la grâce et l’amour.
Reste avec moi, Seigneur, je ne te demande pas de consolations divines parce que je ne les mérite pas, mais le don de ta présence, oh ! Oui, je te le demande.
Reste avec moi, Seigneur, car tu as tout ce que je cherche : ton amour, ta grâce, ta volonté, ton Coeur, ton Esprit. Je t’aime et ne demande pas d’autre récompense que de t’aimer davantage d’un amour ferme et sincère. Je veux t’aimer de tout mon coeur sur la terre, pour continuer à t’aimer parfaitement durant toute l’éternité.
Ainsi-soit-il.
Publié par Myriamir le 18 février 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/02/18/saint-padre-pio-a-pratique-de-maniere-heroique-ce-quil-prechait-comme-conseils-la-tres-belle-priere-du-padre-pio-a-reciter-apres-la-communion/