LUISA PICCARRETA Livre du Ciel, Tome 26, le 12 mai 1929
« Lorsque le MONDE ENTIER lira ces écrits, ils seront tous ébahis par le nombre incalculable de mes grâces, celles que je fis au quotidien et pendant si longtemps, et que je n’avais jamais fait pour personne d’autre, mes longs dialogues avec toi, Luisa, mes si nombreuses leçons, et tout ce qui était nécessaire au RÈGNE de Ma Divine Volonté… /
Je sentais l’irrésistible besoin de refaire et reprendre avec toi les conversations, de te donner les grâces et les enseignements que j’aurais accordés à l’innocent ADAM, s’il n’avait pas repoussé les précieux héritage de mon FIAT, qui, coupant mes dires, me réduisit au silence et, après six mille ans de ce silence, je sens l’extrême besoin de renouer le dialogue avec la créature…