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 Messages de Dieu par la Fille du Oui à Jésus

À CEUX QUI PRÉFÈRENT LIRE DIRECTEMENT LE MESSAGE LE VOICI:

Message de Dieu par son instrument la Fille du Oui à Jésus

2020-04-22                            Profitez de ce temps de confinement

                                                        et retrouvez votre paix

Le Saint-Esprit: Par notre instrument, ces mots sont mis à votre service afin que vous puissiez vous nourrir et nourrir chacun de vos frères et de vos sœurs.

Je vous aime tous. Mes enfants, prenez ce temps que le Ciel vous donne pour vous accorder un temps de paix. Je suis le seul qui peut vous unir à tous vos frères et à toutes vos sœurs, non seulement ceux qui sont avec vous sur la  terre, mais avec tous ceux qui ont été créés au même moment que vous. Mes enfants, sachez que vous êtes ensemble sur la terre comme vous êtes ensemble avec les âmes au Ciel, sans oublier les âmes au purgatoire et en répit. Je suis le Vivant et vous êtes les vivants. Sur la terre, c’est moi qui vous fais avancer dans votre vie éternelle, et votre vie éternelle est en vous, comme elle sera éternellement en vous.

Je sais qu’il y en a parmi vous de vos frères et de vos sœurs qui perdent leur paix à cause du confinement. Laissez-moi vous rassurer par ces mots. Je vous donne de la nourriture pour votre âme. Prenez et mangez. Ces mots sont de ma Volonté. Je suis la Divine Volonté et je suis en vous. La paix, mes enfants, elle est lumière et elle vous réchauffe. C’est dans la paix que vous pouvez voir et comprendre que la privation de vos habitudes ne doit pas affecter votre amour envers vous-même et envers votre cher prochain. L’amour, mes enfants, est lumière et force, et l’amour est en vous. Faites des efforts d’amour et prenez le temps d’entrer en votre intérieur.

Les yeux fermés, doucement faites entrer en vous l’air par vos poumons, et lorsque vous sentirez un abandon, tout comme une lumière que vous venez d’ouvrir dans le but d’éclairer une pièce de votre demeure, vous serez entrés chez vous, à l’intérieur de vous, et vous trouverez votre vous-même rempli de paix et de lumière, c’est votre présence. Moi, votre Dieu, je suis présent en vous, laissez-moi faire de vous un enfant qui fait confiance en Celui qui l’a créé. Je vous le dis, vous serez avec moi et avec tous ceux que vous aimez; puisque je ne vous ai jamais quittés, eux aussi ne vous quittent pas. Ce n’est pas ce temps de réclusion que vous séparera de moi et de ceux que vous aimez.

Par ma puissance, vous pouvez tous profiter de ces mots qui vous appartiennent: ils sont en vous. Profitez des grâces que je donne à votre petite famille et à votre grande famille.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: En ce temps de solitude collective, venons habiter notre intérieur. Ne faisons pas de notre confinement un temps de privation, mais un temps de réflexion. Regardons notre extérieur comme une porte qui nous fait entrer en nous. Entrer en nous, c’est simplement croire en ce que nous sommes:  »Oui, je suis réellement présent en moi. Oui, je suis un enfant vivant. Oui, je crois que la vie est faite d’enfants comme moi. Oui, je crois que nous sommes ensemble. » Bien que les portes des églises soient fermées et que nous sommes seuls à la maison, sachons que nous sommes avec Dieu. Il est important de croire qu’il est présent avec nous.

Dieu est l’Amour et nous sommes l’amour. Il n’y a que les créés à l’image de Dieu qui sont l’amour. L’univers avec tout son contenu ont été créés, tout n’est que matière, mais pas l’amour; la lumière apporte une connaissance, mais elle n’est pas l’amour; toute force centrifuge est une puissance, mais elle n’est pas l’amour; l’évolution est progressive, mais elle n’est pas l’amour; toutes espèces de création sont vivantes, mais elles ne sont pas l’amour. Dieu seul est l’Amour et tous ceux qui sont créés à son Image sont l’amour. Dieu est le Créateur de tout ce qui est vivant et non vivant. Il est le seul Maître de tous ses biens, et il a donné à tous ses enfants ce qui est vivant et non vivant, afin qu’ils découvrent leur beauté.

Nous, les êtres humains à la ressemblance de Dieu, sommes des êtres d’amour, comme Dieu est l’Être sublime d’amour. Il est important de ne pas négliger notre beauté intérieure. Il est vrai qu’avec les années, nous nous sommes préoccupés de nos besoins extérieurs au détriment de nos besoins intérieurs. Oui, nous nous sommes préoccupés de nos besoins extérieurs pour prendre soin de ce qui va un jour disparaître, et c’est en utilisant nos forces intérieures nécessaires à notre mission d’amour que nous l’avons fait. Nous n’avons pas pensé à notre éternité, nous qui nous sommes éternels! Nous avons gaspillé, à grands frais, ce qui nous avait été donné pour vivre nos actes d’amour sur cette terre.

Nous avons entendu ou lu dans la Bible que notre Dieu, Jésus, a parlé de l’enfant prodigue qui a pris son héritage qui lui venait de son père et il est parti s’amuser en gaspillant tout son bien. Quelle était la vraie valeur de son héritage? L’amour de son père.

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C’est avec l’amour inconditionnel de Dieu que nous avons été créés. Inconditionnellement nous étions aimés et inconditionnellement nous aimions Dieu. Tous les créés invisibles fidèles à Dieu et tous les créés visibles adorions, contemplions et servions Dieu. Nous vivions tous en frères et en sœurs dans le Royaume de Dieu. Lorsque Dieu nous envoya sur la terre en mission, nous sommes venus sur la terre avec tout ce qui était à Dieu, car tout ce qui est à Dieu est à tous ses enfants. Nous sommes créés à sa ressemblance.

– Nous sommes des créateurs en le Créateur: sur la terre, nous donnons la vie au monde aux enfants que Dieu veut sur la terre.

– Nous sommes doués pour faire fonctionner le psychique, le physique qui sont en nous: pour que nous soyons tout à Dieu, nous avons reçu les dons du Saint-Esprit.

– Nous sommes faits de la beauté de Dieu, de l’intelligence de Dieu: sur la terre, nos talents en mathématique, en musique, en littérature, en cuisine, en sport, en construction, en science… sont les talents de Dieu, pas de nous.

Tout ce qui est en nous et qui nous vient de Dieu doit être mis au service de  notre cher prochain, et cela se fait par l’amour, le vrai amour. L’amour nous vient de Dieu. Dieu le Père nous a donné son ‘Je t’aime inconditionnel’, et il est en nous. Personne ne peut diminuer la valeur de son ‘Je t’aime’, car il est inconditionnel. Bien que notre amour, une fois sur la terre, est conditionnel, Dieu ne cesse de le nourrir de son inconditionnel.

Jésus:  »Un jour, un ange vint sur la terre pour annoncer à une vierge qu’elle était choisie pour être la Mère de Celui qui sauvera tous les héritiers du royaume de Dieu. La jeune fille s’inclina avec émotion devant cette annonce, car elle, si humble, avait prié pour la venue du Sauveur des enfants de Dieu. Remise de son humble émoi, elle répondit:  »Je suis la servante du Seigneur qu’il m’advienne selon ta Parole. Le Saint-Esprit descendit sur elle, et le Fils de Dieu vint en son sein virginal.

 »Le Fils de Dieu le Père grandissait en force, car son amour était l’inconditionnel du Père. Personne sur la terre n’avait sa force, lui seul savait qu’il la tenait de son Père. Quand le moment de l’accomplissement arriva, il prit en lui tous les enfants de son Père. Eux étaient sans amour et sans force, car ils avaient dilapidé tout leur héritage. Tout ce que son Père leur avait donné dès leur création: l’amour inconditionnel qui peut tout, qui pénètre tout et qui savoure un bonheur éternel s’était envolé comme une traînée de poudre.

 »Le Fils du Père savait qu’il devait s’occuper de la maison de son Père, il accepta donc de prendre le chemin rempli d’embûches, le même qu’avait pris l’enfant prodigue. Oui, par amour pour son Père, il prit en lui la souffrance de l’enfant prodigue, qui était les souffrances des enfants de son Père, et il devint l’enfant perdu.

 »Dès lors, il ressentit que tout son être avait été plongé dans le péché et il eut honte de sa conduite. L’amour de son Père lui manquait, il avait faim et soif d’amour.

Il pensait au Père: «Je souffre de ton absence.»

Il pensait au Père: «Je me sens indigne d’être appelé ton fils.»

Il pensait au Père: «Père, ta Volonté, pas ma volonté.»

Il pensait à son Père: «J’ai pris ton amour que tu m’avais donné et je m’en suis servi pour n’aimer que moi-même. Je n’ai pas réalisé que ton ennemi, Satan, m’avait aveuglé, triché: qu’il s’était servi de moi pour te faire la guerre.»

Il pensait à son Père: «J’ai cru que ce que je faisais était bon pour moi et que le bonheur est le confort, oui je suis entré dans la course: une course vers un monde où tout ne serait que facilité.»

Il pensait à son Père: «J’ai cru au mensonge qui circulait sur la terre, et  je m’en suis contenté, et j’en ai souffert.»

Il pensait à son Père: «Oui, je voulais ce que les autres avaient, mais à quel prix! J’ai peiné au travail plus que ce que je voulais: carrière, maison, loisir, sport, voyage, sans penser à ceux qui n’avaient pas ce que, moi, j’avais réussi à avoir.»

Il pensait à son Père: «Je n’ai pas réalisé que je me mettais en dette envers mon bien-être: mes peurs/mes réactions.

– Peur de te déplaire, mes solutions: m’éloigner de tes lois d’amour, ne plus penser que tu es avec moi;

– peur d’être malheureux, mes solutions: travailler, accumuler l’argent sans penser que j’étais sur la terre par amour;

– peur de vieillir, mes solutions: m’amuser sans toi, m’oublier en masquant l’évidence;

– peur d’être malade, mes solutions: sport, exercice, régime, sans recourir à ma foi en ta Présence;

– peur de mourir, mes solutions: ignorer la mort, mourir par provocation, crier vers toi sans croire que tu as toujours été avec moi.»

 »L’enfant prodigue voulait retourner à la maison de son Père, mais comme son départ vers le monde lui semblait lourd de conséquences! Lui, l’enfant prodigue, en était-il capable? Il prit le chemin du retour à la maison. En route, il réalisa qu’il n’avait pas pris sur le chemin le plus facile, mais le chemin le plus ardu; il voulut prendre un détour, ce qui l’amena vers la place d’un calvaire. Il y vit des croix et sur ces croix, il y avait des hommes qui pouvaient à peine dire:  »Pitié, tuez-nous. » Ces hommes souffraient, ils manquaient d’air, car leurs poumons étaient atrophiés à cause de leurs bras et de leurs jambes attachés, ce qui les empêchait de bien respirer. L’enfant prodigue comprenait qu’il y avait beaucoup de gens comme lui. Oui, ils avaient voulu, eux aussi, vivre sans prendre garde aux pièges de la facilité qui a la saveur d’une liberté sans amour envers le prochain. Il continua sa route en priant son Père: «Père, ne sont-ils pas comme moi qui aie pris ton héritage et l’aie gaspillé en frivolité? Prisonnier de l’esprit de ce monde, je l’étais comme eux qui crient leur libération. Père, aidons-les. Oui, je vais poursuivre ma route vers toi.»

 »En chemin, il pensait à sa joie qui se changea en crainte. Qu’elle ne fut pas sa joie de voir son Père accourir vers lui et le prendre dans ses bras. Mais arrivé, il vit son frère qui, lui, ne le prit pas dans ses bras, il refusa d’entrer dans la maison de leur Père. Il entendit son Père dire à son frère: «Mon fils, souviens-toi de la fois que tu es parti à la recherche d’une de tes brebis qui s’était perdue, tu l’as ramenée sur tes épaules pour la mettre en sécurité avec les autres brebis. Lui, il était perdu et il est revenu à la maison; toi, tu es demeuré avec moi et tout ce que j’ai est à toi.» Le Père avait de grands biens.

  »L’enfant prodigue dit à son Père: «Père je vais rebrousser chemin pour aller à Jérusalem, là où on a fait de ta maison une maison de bandits.

Donne-moi ta force et, avec ta force, je vais prendre les causes de toutes leurs souffrances afin que tous ceux qui se sont perdus soient sauvés de la tyrannie de Satan et de ses démons qui ont trompé les gens de ta grande maison. Père, je sens que je les porte en moi, comme toi tu les portes en toi. Là où ils sont, je les ramènerai à toi où ta maison n’est pas de ce monde. Le Père dit: «Va mon Fils, je te donne mon Oui, mon Oui et ton Oui ne font qu’un. Ramène-les-moi. Là où tu seras, je serai avec toi.» Et l’enfant dit: «Père, moi en toi, toi en moi, nous serons si unis que la puissance de notre Esprit d’amour leur ouvrira les yeux.»

 »Il partit vers Jérusalem et il fit des prodiges dignes de son Père. Mais sa venue n’était pas appréciée par ceux qui s’étaient donné tout pouvoir sur la bonne mise en marche du domaine de son Père. Ils s’emparèrent de lui pour le faire mourir. Par de fausses accusations, ils réussirent à mettre de la confusion en ceux qui avaient mis leur confiance en lui. Avait-il réussi à mettre en chacun l’amour: l’amour qui ouvre les yeux des aveugles, qui délie la langue des muets, qui guérit les malades, qui libère les possédés, qui ouvre les tombes des morts, qui donne à manger aux pauvres, qui visite les vieillards, qui fait tomber les chaînes de Mammon? »

Seule l’histoire vous le dira. Cette histoire est la vôtre, elle est comme une lumière qui brille dans vos maisons fermées, à cause de cette pandémie. Est-ce que je vous aurais fermé la porte de votre intérieur? C’est moi qui suis avec vous, et je vis en vous. Je suis là, lorsque vous pleurez, lorsque vous êtes malades, lorsque vous êtes apeurés, lorsque vous êtes découragés, lorsque vous vous sentez seuls, lorsque vous avez froid…. C’est moi l’Amour et c’est par moi que vous êtes amour. L’amour, qui est en vous, est si faible à cause de vos faiblesses, car votre amour n’a pas sa pleine mesure. Oui, l’amour se mesure selon votre capacité à vous donner à votre prochain.

Sachez que votre prochain est moi aussi, puisque je vis en chacun de vous. J’ai donné ma Vie pour que vous soyez vrais en votre vie. Avant ma mort sur la croix, votre vie n’avait pas le goût de la liberté. Oui, vous étiez prisonniers de votre moi, car votre moi avait goûté au ‘moi’ de Satan.

Ne reculez pas, demeurez dans la lumière. Le nom de Satan, pour certaines personnes, fait peur ou ce nom apporte de la confusion fasse à ce qui semble être l’anti-christ. Moi, le Fils de Dieu, je n’ai pas à me mesurer à lui, il est un ange déchu, il a perdu tout pouvoir sur vous, les enfants de mon Père.  Cette entité n’a son existence dans votre vie que s’il y a le mal dans votre quotidien.

– Chassez loin de vous le mal, il ne sera plus là.

– Chassez loin de vous ce qui n’est que lueur, il ne sera plus là.

– Chassez loin de vous ce qui est divination, il ne sera plus là.

– Chassez loin de vous la peur, il ne sera plus là.

– Chassez loin de vous le jugement, il ne sera plus là.

– Chassez loin de vous les sept péchés capitaux, il ne sera plus là.

Vous êtes des vivants accomplis par moi, le Sauveur du monde. Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Qui me suis ne tombe pas dans les ravins de la mort; s’il y en a parmi vous qui tombent, c’est moi qui vais vers vous ou vers ceux que vous aimez, tels vos enfants, pour vous sortir de vos impasses, comment? Je mets dans le cœur de certains de mes enfants d’aller vers vous ou vers ceux que vous aimez pour vous sortir de vos manques d’amour envers vous-mêmes.

Je suis la Lumière du Monde. Malgré les ténèbres qui entourent la terre, je brille en la vie de tous les  enfants de mon Père. Gardez votre paix. Ce temps de confinement ne doit pas vous apparaître comme une punition venant de mon Père. C’est lui, l’Amour. Tout ce qui vient de l’homme et qui vous fait souffrir, sachez être forts, car chaque conséquence due à un acte sans amour est toujours accompagnée de grâces, et les grâces sont de la douceur, de la miséricorde envers vous-mêmes afin que vous soyez miséricorde envers tous les enfants de mon Père. Gardez votre amitié, elle vous servira pour demain et pour les autres demain.

Pensez que vous n’êtes plus l’enfant prodigue, car tous vous avez le droit d’aller vers votre Père et tous vous avez le droit de prononcer un oui sincère à l’Amour. Mon Père est votre Père; par mon Oui,  vous pouvez passer à travers mon Oui et goûter à votre oui, celui que vous avez prononcé avant de venir sur la terre. À nouveau vous pouvez savourer votre oui et entrer chez vous, puisque j’ai accepté d’être qui vous étiez pour vous libérer de vos chaînes.

Aujourd’hui, qui aurait la force d’être avec moi et de ressentir un pour cent d’un millionième de ma souffrance au jardin des Oliviers? Aujourd’hui, qui aurait la force d’être avec moi et de ressentir un pour cent d’un millionième de ma souffrance devant les pharisiens et la foule qui criait à Pilate: ‘crucifie-le’? Aujourd’hui, qui aurait la force d’être avec moi et de ressentir un pour cent d’un millionième de ma souffrance lorsqu’on me flagellait? Aujourd’hui, qui aurait la force d’être avec moi et de ressentir un pour cent d’un millionième de ma souffrance lorsqu’on a mis sur ma tête la couronne d’épines et qu’on m’insultait? Aujourd’hui, qui aurait la force d’être avec moi et de ressentir un pour cent d’un millionième de ma souffrance lorsque j’ai porté la croix? Aujourd’hui, qui aurait la force d’être avec moi et de ressentir un pour cent d’un millionième de ma crucifixion? Mes enfants, ne vous estimez pas être faibles, je vous ai gagné des forces. Vous êtes prêts pour vivre la purification de la chair. Tous, vous avez la même chair, tous vous avez la même force.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit: Pas un instant Dieu ne nous laisse seuls. Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit nous démontre par leur présence à quel point nous sommes aimés d’eux. Nous sommes les créés de Dieu. Les anges dans le Ciel sont aussi créés à l’image de l’Esprit, car Dieu est Esprit. Qui est comme Dieu?

Nous devons nous regarder comme étant aimés inconditionnellement par Dieu. Il a mis en nous son ‘Je t’aime inconditionnel’, ce qui nous donne la force de vivre sur la terre malgré la connaissance du mal qui nous habite. Gardons notre paix en ce temps où nous vivons isolés des uns des autres, Dieu est avec nous; là où est Dieu, il y a tous nos frères et nos sœurs: notre famille. Qui est plus grand que Dieu? Le Père est en son Fils, le Fils est en son Père, ils sont si amour l’un pour l’autre que le Saint-Esprit est qui ils sont, tel est leur amour.

Lorsque nous avons quitté notre demeure en Dieu pour venir sur la terre, nous devons comprendre que l’amour inconditionnel de la Trinité a été notre héritage. Afin que nous puissions renoncer à l’esprit de ce monde et retourner dans notre perfection, Jésus est venu sur la terre pour nous rappeler que nous sommes au Père: «Soyez parfaits comme votre Père est parfait.» Nous, enfants de Dieu, avons quitté notre Père pour venir sur la terre, nous devons vouloir retourner à la maison: notre père nous attend. En attendant, vivons en enfants de Dieu, pas en enfants de ce monde. Cette histoire nous fait comprendre que l’amour du Père est notre héritage, et c’est à nous de reconnaître que nous ne sommes pas de ce monde. N’oublions pas de qui nous sommes et vers qui nous devons aller. Jésus a dit: «Je ne suis pas de ce monde. Je prie pour ceux que tu m’as donnés, je ne prie pas pour ceux de ce monde. Jésus nous disait que nous étions à son Père et qu’il nous ramènerait à son Père.

 Merci, mon Dieu, de nous nourrir. Oui, tu es avec nous.

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