24 septembre 2020 – Introduction explicative de So’

Une sœur en Jésus m’a suggéré d’expliquer la manière dont je recevais les messages… Il me vient de vous partager que lors d’une effusion de l’Esprit Saint alors que j’avais 19 ans, des frères m’ont dit : « Le Seigneur purifie et racle ton cœur de toute sa saleté… Une étincelle du don de discernement s’allume en toi… »
Ces paroles me furent données après un temps d’assemblée où avec d’autres sœurs et frères, nous avions prié pour ceux qui demandaient l’Esprit Saint. Je l’avoue – cela me fait rire encore maintenant – je dansais sur place ayant un besoin urgent d’aller… aux toilettes après trois heures de prière pour l’assemblée. Cela me frappe car cette fois, même si les paroles se gravèrent en moi, je puis le dire que j’étais un peu distraite et préoccupée par un besoin qui, bien que naturel, était décalé par rapport à ce que le Seigneur me disait.
J’ai vécu bien souvent ce paradoxe dans les années qui suivirent… Quelques années plus tard, à la fin d’une Eucharistie où le prêtre avait dit pendant son homélie : « Vous savez, le Seigneur Jésus veut vous parler à tout instant de votre vie, à chaque moment, Il veut dialoguer avec vous. » Cette parole m’a bouleversée, en sortant de l’Église sur le parvis, je me suis tournée vers le Ciel et j’ai hurlé du plus profond de mon cœur : « Tu veux me parler, mais Seigneur moi aussi j’ai envie de t’entendre. Mais j’y comprends rien. Alors, toi qui sais combien je suis têtue, obstinée,… comme tu veux me parler et que moi aussi j’ai ce désir : ouvre les yeux de mon cœur, les oreilles de mon cœur, donne-moi le code et le décodeur pour te comprendre en toute circonstance ! »
Je me souviens que cette fois-là, s’il avait été digne de le faire, j’aurai bien frappé des pieds, et pointé le doigt vers le Ciel, en une « espèce d’explosion de colère ». À l’image d’un enfant de trois ans qui fait une grosse crise de colère. Je devais avoir environ 25 ans…
Et voici qu’à 34 ans, je lis, suite à un ensemble de circonstances, deux livres différents : « Je viens vous préparer à cet évènement : l’Illumination des consciences » de Sulema et « Joie de Dieu » de Marie-Agnès à une semaine d’intervalle.
J’ai lu le premier message de chacun des deux livres et j’entendais le Seigneur qui me disait : « Ces mots sont pour toi »…. Comme pour Sulema, le Seigneur me disait : « Ce que tu as déjà écrit n’est rien à côté de ce que tu vas écrire ». Je suis restée soufflée, « scotchée sur place » comme je le dis souvent. Sidérée. La meilleure explication qui me fut donnée pour décrire ce que je vis est celle du livre de Marie-Agnès dans « Joie de Dieu » « Écoutez Sainte Thérèse d’Avila : « Ces paroles sont très distinctes, mais on ne les entend pas des oreilles du corps ; on les perçoit cependant d’une manière beaucoup plus claire que par le sens de l’ouïe. Tous les efforts que l’on ferait pour ne pas les entendre seraient inutiles. »
« Saint Jean de la Croix distingue trois sortes de paroles intérieures : « les paroles successives, les paroles formelles et les paroles substantielles. »
« Concernant les paroles formelles, il précise : « très souvent elles sont comme des pensées qui sont communiquées à l’esprit […], elles instruisent l’âme » et ont pour but « un enseignement ou d’éclairer sur quelques points. » « « Les paroles substantielles, par contre, sont des paroles formelles nettement caractérisées parce qu’elles impriment dans l’âme ce qu’elles signifient » explique le père Marie-Eugène et il précise encore qu’ « il n’appartient qu’à Dieu d’attacher une efficacité à des paroles formelles. »
[…]

« (De Marie-Agnès) « le Seigneur m’a d’abord invitée à lire certains passages, puis des lumières m’ont été données sur le sens de certains termes ou phrases. J’identifie cela aux paroles formelles dont parle le saint. En troisième lieu, le Seigneur m’a dicté Son commentaire sous la forme habituelle de paroles substantielles. » » (Pages XVII et XVIII du livre « Joie de Dieu » de Marie-Agnès)
Ce que décrit Thérèse d’Avila je l’ai vécu. Je l’avoue, j’ai par crainte – ou par excès de prudence, sûrement par scrupule (sachant que le scrupule nous éloigne de la Très Sainte Trinité – j’ai arrêté d’écrire ce que j’entendais (du 17/08/2020 au 22/09/20), ces Paroles que nos oreilles du corps n’entendent pas mais que l’on perçoit de manière beaucoup plus claire que le sens de l’ouïe… au point que tout effort pour ne pas les entendre est inutile.
À ces paroles formelles et substantielles, il m’est parfois donné au travers de la prière d’avoir en pensée des images qui me viennent – généralement une première fois, puis une deuxième et ensuite une troisième fois –. Ces images, je m’efforce de vous les décrire… La première image est souvent « grossière », comme une vue d’ensemble, la seconde fois s’ajoutent des détails et la troisième fois l’image est plus nette sur son ensemble et les détails. C’est bien souvent cette dernière image que je décris…
Bien que parfois, les paroles entre les trois images qui me viennent à l’esprit soient différentes, alors je décris les trois images et les messages que j’ai reçus.
Depuis que j’ai reçu l’effusion de l’Esprit Saint à 19 ans, je vivais au travers des groupes de prières ces paroles substantielles et formelles. À 25 ans, le don grandit sous la conduite de l’Esprit Saint jusqu’à ce qu’il me fut demandé d’écrire « la neuvaine à mon Ange Gardien » par l’équipe d’Hozana en février 2020, et toutes les communautés que j’animais à partir de ce moment jusqu’en juillet 2020.
En août 2020, j’écrivis pour la première fois les paroles qui résonnent tant en moi et que j’entends si clairement…
Une étincelle de la Flamme d’Amour.
So’ Une petite sœur en Jésus
À SUIVRE…
So’, notre petite soeur insiste pour que tous soient avertis que tout est déposé dans l’église par les mains d’un prêtre et que j’attends l’imprimatur et QUE TOUS SOIENT conscient que si le prêtre à qui je transmets les messages me dit que je dois arrêter la diffusion des messages un jour, je le ferai… et je te demanderai de cesser la diffusion par obéissance à l’Église catholique.
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