

Lorsqu’au tout début de l’année 2001 j’ai vu l’Agneau Béni, il était tellement immense que je le regardais de cette façon tant il était grand. Et j’étais la petite brebis, mais tellement petite, j’avais la laine comme toute… on venait de me raser sûrement
Quand j’ai regardé, j’ai regardé ses yeux, et j’ai vu des yeux, mais ces yeux! Je n’ai jamais vu des yeux aussi profonds, aussi parfaits, aussi purs. Mais de l’amour! Cet amour…, cet amour était indescriptible et je le voyais dans ses yeux. Et là, j’ai su que c’était Jésus.
Je ne pouvais pas douter que les yeux que je regardais, c’était les yeux de Dieu.
Je me rappelle d’avoir dit ces mots: « Mais Jésus, je ne savais pas que tu étais un mouton. »
Et à un moment, j’ai juste eu cette petite pensée-là: « Mais je suis-tu bête de penser ça! » Et là, Jésus, je n’osais pas le regarder. J’ai baissé ma tête, et il a dit: «Regarde-moi. Regarde.» Et là, il m’a montré, c’était ici, un petit mouton, et c’était cette partie-là. Cette partie-là, elle a comme bougé comme ça. Parce qu’il m’avait dit: «Reçois le manteau de l’amour», alors quand j’ai reçu ce manteau, mes quatre petites pattes ont semblé comme faiblir tant que j’ai senti que c’était pesant.
Et je savais que j’avais reçu un manteau de sa toison, comme une toison sur le dos, et il m’a montré l’endroit où il avait pris une partie de lui pour me le mettre sur le dos. Mais ça ne paraissait pas, il n’y avait pas de trou sur sa toison, c’était tout simplement un mouvement, comme si rien n’avait été enlevé. 
Et là, il m’a demandé de l’approcher, mais j’étais incapable parce que j’avais maintenant sur mon épaule ce manteau d’amour, et je m’en sentais indigne. Là, je sais maintenant pourquoi je n’avais pas un gros pelage, – comment j’appellerais… une grosse tondure, là – j’avais été tondu; c’est que j’avais perdu l’amour. Je ne me savais pas assez amour pour approcher l’Agneau Béni.
Là, à cet instant, j’ai vu deux mains, deux mains d’amour, c’étaient les mains de Marie. 
Et vous savez, je ne vois pas la Sainte Vierge comme je voudrais la voir. Je la vois, comme: soit il me la montre de loin ou comme s’il y avait comme un voile sur Marie. Je n’arrive pas…, je voudrais la voir comme je vous vois, mais là j’ai vu ses mains. Elle avait les mains… pas tellement larges, des belles petites mains très délicates, très féminines, pas des petits doigts courts, mais une main très élancée, mais très belle.
Et son mouvement! 
C’est tellement beau de voir les mouvements de Marie: ses mains étaient comme une petite douceur, parce qu’elle a mis ses deux mains contre ici, contre le flanc du petit mouton que j’étais, et elle a juste donné un petit élan pour que j’avance vers son Fils.
Voilà Maman Marie qui va nous aider, parce que ses élans, ses mains, eh bien, elle a tellement travaillé pour nous, Maman Marie. Ce manteau, elle a prié pour qu’on le reçoive. Nous avons reçu ce manteau parce que cela serait impossible d’écouter ce qu’on a écouté sans qu’on ait reçu ce manteau d’amour. Parce qu’à un moment donné, Jésus, l’Agneau Béni, il a comme disparu et je suis demeurée toute seule avec la voix de Marie, et elle a dit: «Regarde», et je me suis retournée, il y avait tellement de petits moutons! Eh bien, c’était chacun de nous.
Mes verts pâturages nourrissent votre cœur…Message de Dieu par la Fille du Oui à Jésus.
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