« Ce que vous faites aux plus petits d’entre les miens,
c’est à Moi que vous le faites »
PAROLE DE JÉSUS

Publié par Myriamir le 3 mars 2021
https://myriamir.wordpress.com/2021/03/03/il-y-a-une-vigile-qui-se-deroule-en-ce-moment-a-montreal-contre-lavortement-et-ce-tout-le-temps-que-durera-le-careme-rendez-vous-au-coin-des-rues-berri-et-ste-catherine-a-montreal-de-7-heure-l/
Dans la tradition chrétienne, diverses figures représentent la présence et la manifestation du mal dans le monde, par exemple, celle de «Satan», qui en hébreu signifie «adversaire», ou bien celle du diable, « Diabolos » en grec, c’est-à-dire celui qui divise et sème la discorde. La tradition biblique le nomme aussi le « séducteur du monde », le «père du mensonge», ou « Lucifer », celui qui se présente comme un ange de lumière, mais qui, sous l’apparence du bien, cherche à tromper.
Comme nous l’observons, le mal se manifeste de différentes façons et la mission d’évangélisation de l’Église devient plus difficile, et même discréditée de par nos connivences.
Citant Saint Ignace de Loyola, le Pape François rappelait dans sa Lettre au Peuple de Dieu, du 20 août 2018 : « Si un membre souffre, tous les autres souffrent avec lui… Lorsque nous faisons l’expérience de la désolation que nous causent ces plaies ecclésiales, avec Marie il nous est bon de donner plus de temps à la prière ».
Durant ce mois d’octobre, le Saint-Père demande à tous les fidèles un plus grand effort dans la prière personnelle et communautaire. Il nous invite à prier le Rosaire chaque jour, pour que la Vierge Marie aide l’Église en ces temps de crise, et à prier l’Archange Saint Michel afin qu’il la défende des attaques du démon. Selon la tradition spirituelle, Michel est le chef des armées célestes et le protecteur de l’Église (Apocalypse 12, 7-9)
Le Pape François nous invite à conclure le Rosaire avec une des plus anciennes invocations à la Sainte Mère de Dieu, «Sub Tuum Praesidium», et avec la prière traditionnelle à Saint Michel, écrite par Léon XIII.
Source et version intégrale : Vaticannews
Sub tuum praesidium & Prière à l’Archange Saint Michel
Prière mariale « Sous l’abri de ta miséricorde » «Sous l’abri de ta miséricorde, nous nous réfugions, Sainte Mère de Dieu. Ne méprise pas nos prières quand nous sommes dans l’épreuve, mais de tous les dangers délivre-nous toujours, Vierge glorieuse et bénie. Amen»
Prière à l’Archange Saint Michel «Défendez-nous dans le combat et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon. Que Dieu exerce sur lui son empire, nous vous en supplions ; et vous, Prince de la Milice Céleste, par le pouvoir divin qui vous a été confié, précipitez au fond des enfers Satan et les autres esprits mauvais qui parcourent le monde pour la perte des âmes. Amen.»
Durée: 0.59
Publié par Myriamir le 11 octobre 2018
https://myriamir.wordpress.com/2018/10/11/extraits-du-communique-du-reseau-mondial-de-priere-du-pape-durant-ce-mois-doctobre-le-saint-pere-demande-a-tous-les-fideles-de-prier-le-rosaire-chaque-jour-pour-que-la-vierge-marie-aide-l/
Nous soussigné(e)s demandons à Justin Trudeau et à son gouvernement de cesser sa discrimination injuste à l’encontre des chrétiens et des pro-vie du Canada.
Nous encourageons aussi nos concitoyens à rejeter ce gouvernement libéral anti-chrétien de Justin Trudeau (premier ministre du Canada) à l’occasion des élections fédérales de 2019.
JÉSUS…MAMAN MARIE…NE LES LAISSEZ PAS FAIRE….ILS VONT TUER VOS ENFANTS, VOS TOUT PETITS BÉBÉS….NON NON MAMAN !
Publié par Myriamir le 22 janvier 2018
https://myriamir.wordpress.com/2018/01/22/justin-trudeau-premier-ministre-du-canada-ne-financera-plus-les-emplois-dete-etudiants-si-lemployeur-nappuie-pas-lavortement-%e2%80%a0normalement-je-suis-contre/
♥ † DES MILLIONS DE PERSONNES QUI PRIENT
NOTRE DAME DU ROSAIRE EN POLOGNE ♥ †
Les catholiques de Pologne tiennent une journée de prière controversée sur les frontières…†
Des dizaines de milliers ont participé à une journée de prière controversée en Pologne.
Les catholiques ont été encouragés à se rendre à des points désignés le long des frontières du pays pour une prière de masse pour le salut de la Pologne et du monde.
Les dirigeants de l’Église affirment que l’événement est purement religieux, mais il y a des inquiétudes qu’il pourrait être considéré comme endossant le refus de l’État de laisser entrer des migrants musulmans.
TEMPS D’ADORATION
Le jour de la fête marque l’anniversaire d’une victoire chrétienne sur les Turcs ottomans à la bataille maritime de Lepanto en 1571.
Les gens ont été embarqués dans plus de 300 églises à des points tout au long de la frontière.
Ils se tenaient en ligne, certains sur les plages de la mer Baltique, certains dans les champs et certains dans les villes.
« Nous arrivons à la frontière de la Pologne pour prier pour les Polonais et pour le monde entier », a déclaré une femme.
VOYEZ, COMME ELLE EST BELLE CETTE PHOTO !!
Publié par Myriamir le 9 octobre 2017
https://myriamir.wordpress.com/2017/10/09/video-55-secondes-%e2%99%a5-les-catholiques-ont-ete-encourages-a-se-rendre-a-des-points-designes-le-long-des-frontieres-du-pays-pour-une-priere-%e2%80%a0-de-masse-pour-le-salut-de-la-pologne-et-du-m/
I guess the Satanists made the wrong assumption.
Je suppose que les satanistes ont fait une fausse supposition (jeu de mot sur le terme anglais assumption qui veut dire à la fois Assomption et supposition, mais les satanistes voulaient faire une consomption).
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They assumed that no one would defend Our Lord and Our Lady in face of their attacks yesterday, held on the Feast of the Assumption.
Ils avaient supposé que personne ne défendrait Notre Seigneur et Notre Dame face à leurs attaques d’hier, jour de la Fête de l’Assomption.
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Des centaines de Catholiques fidèles se sont amassés, venus par bus, voitures, trains et avions pour se dresser solidairement contre les puissances des ténèbres et du mal. La chaleur estivale intense (33°C) n’a empêché personne de venir.
As you scroll through, you will feel your heart swell with pride in being a Catholic. In being counted among those who love Holy Mary enough to stand firm with her, knowing that you are on the side of she whose triumph has been foretold.
À mesure que vous verrez défiler ce diaporama, vous sentirez votre cœur se gonfler de fierté : en étant comptés parmi ceux qui aiment suffisamment la Bienheureuse Vierge Marie pour la défendre fermement, et en sachant que vous êtes dans le camp de celle dont le triomphe a été prédit.
You will see the young and the old, men and women, many families and members of the clergy holding their Rosaries up high – brandishing them as weapons in the face of Satan
Vous verrez les jeunes et les vieux, des hommes et des femmes, beaucoup de familles et de membres du clergé élever haut leur chapelet, le brandissant comme une arme à la face de Satan.
And if I’m not mistaken, somewhere back in a corner, you can even see him cowering in fear!
Et si je ne me trompe pas, vous pouvez même le voir trembler de peur, réfugié quelque part dans un coin reculé.
Sadly, at some point today, you may hear some bad news. By the time you get this email, it may have already happened.
Malheureusement, là où nous en sommes aujourd’hui, vous pouvez entendre des mauvaises nouvelles. Au moment où vous recevrez cet e-mail, il se peut que cela se soit déjà produit.
You may even be tempted to assume our side is losing the battle against evil.
Vous pourriez même être tentés de penser que notre camp est en train de perdre la bataille contre le mal.
Vous ne verrez pas cet événement dans les autres journaux d’information. Les médias semblent avoir muselé le bien, comme nous le savons tous.
Même Adam Daniels, inscrit au registre des délinquants sexuels et qui a été l’un des promoteurs de cet événement sacrilège, a admis qu’il s’était trompé : « Quand vous avez toute la légion Romaine en opération ici, comment voulez-vous qu’on puisse vendre des places ? »
(Note de notre part : Satan a dû voir toute l’Armée céleste venue soutenir l’armée terrestre !!!)
His Black Mass and the desecration of a statue of Mary were a total flop. Thanks be to God and His angels and His saints.
Sa messe noire et la profanation d’une statue de la Vierge Marie firent un flop total. Loués soit Dieu, et Ses anges, et Ses saints.
And thanks be to you, dear friend of America Needs Fatima – for all of your prayers and sacrifices. And for never losing hope in her promise at Fatima that “In the end, my Immaculate Heart will triumph!”
Et merci à vous, chers amis de America Needs Fatima, pour toutes vos prières et vos sacrifices.
Et pour n’avoir jamais perdu l’espoir de la promesse de ND de Fatima : « À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. »
PS: Another quote from Adam Daniels (Satanist and sex offender): “We’re responsible for us, but we also work with the devil. So, he’s like a friend.”
Autre citation d’Adam Daniels(Sataniste de délinquant sexuel) : » Nous sommes responsables de nous-mêmes, mais nous travaillons aussi avec le diable. Aussi, il est comme un ami. »
You and I have a greater friend in Mary, Terror of Demons.
Vous et moi avons une amie bien plus grande : Marie, Terreur des démons.
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TRÈS GRAND MERCI À LA PERSONNE QUI A TRADUIT EN FRANÇAIS..AINSI QUE TOUS CEUX QUI ONT PRIER …C’EST PUISSANT LA PRIÈRE !!!
Publié par Myriamir le 18 août 2016
https://myriamir.wordpress.com/2016/08/18/confrontation-a-oklahoma-notre-dame-contre-satan/
Marcel Van
17-LA FRANCE EST LE POINT DE DÉPART DE L’EXPANSION DU RÈGNE DE L’AMOUR DE JÉSUS..
Le vénérable Marcel Van a reçu ces paroles de Jésus. La date exacte n’est pas précisée (source : « L’amour ne peut mourir », du Père Marie-Michel) :
VAN : Mais, Jésus, est-ce que l’expansion du Règne de l’Amour a déjà commence dans le monde ?
JÉSUS : Oui, déjà. Et le point de départ de cette expansion est en France même. Et c’est ta soeur Thérèse (ndlr : sainte Thérèse de l’Enfant Jésus) en personne qui est l’apôtre universel des autres apôtres de mon Amour. Oui, c’est de là qu’est partie l’expansion du Règne de mon Amour qui se prolonge actuellement. Et toi, Van, en écrivant mes paroles, tu travailles aussi à cette oeuvre, comme je te l’ai dit auparavant.
Il y a encore beaucoup d’autres apôtres que tu ne connais pas. Eux aussi travaillent dans un grand secret et se succèdent continuellement pour répandre dans le monde le règne de mon Amour.
Marcel Van
18-LA FRANCE EST TOUJOURS LE PAYS QUE JÉSUS AIME ET CHÉRIT PARTICULIÈREMENT
Le vénérable Marcel Van a reçu ces paroles de Jésus. La date exacte n’est pas précisée (source : revue « La Bonne Nouvelle » sur la France) :
Mon enfant, la France est toujours le pays que j’aime et chéris particulièrement… J’y rétablirai mon amour… En contemplant la fleur, ta sœur ainée (ndlr : il s’agit ici de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus), souviens-toi de prier pour que le pays que j’aime et chéris particulièrement ait le courage de se sacrifier pour le « Règne de mon Amour »… Mon enfant, la France est toujours le pays que j’aime et chéris particulièrement… J’y rétablirai mon amour… Pour commencer à répandre sur elle mon Amour, je n’attends désormais qu’une chose : que l’on m’adresse assez de prières. Alors, mon enfant, de la France mon Amour s’étendra dans le monde. Je me servirai de la France pour étendre partout le règne de mon Amour (j’avais déjà manifeste ces choses a une ou deux âmes, mais toi, mon petit enfant, tu les ignorais encore; c’est pourquoi je te les dis maintenant). Mon enfant, j’aime beaucoup la France…
Marcel Van
19-COMMENT SATAN VEUT DÉTRUIRE LA FRANCE
Le vénérable Marcel Van a reçu ces paroles de Jésus. La date exacte n’est pas précisée (source : « L’amour ne peut mourir », du Père Marie-Michel) :
Ensuite, Jésus revient sur les grandes menaces qui pèsent sur l’avenir de la France : « O mon enfant, prie pour le pays que j’aime particulièrement… Ah… La France… si on ne prie pas, elle sera encore une fois malheureuse, et le règne de mon amour ne pourra que difficilement s’y établir… Van, ne doute pas de ce que je viens de te dire, en voyant que la situation en France est déjà un peu plus stable…
Mon enfant, je parle ainsi pour que la France soit avertie et sache prévenir, car l’ennemi veut faire de ce pays un foyer de discordes. Il faut beaucoup prier…France ! … France ! … Promets-tu de m’être fidèle ? Es-tu décidée à protéger et étendre le règne de mon amour dans le monde ? »
Après la menace du communisme, le Seigneur en évoque une autre, plus subtile et progressive : « Petit apôtre de mon amour, écris au sujet de la France… Français, mes enfants, et vous, mes prêtres de France, je vous aime. Soyez sur vos gardes afin de prévenir.
L’ennemi de mon amour va vous lancer avant tout son poison à la tête. Soyez sur vos gardes. Ce parti, contrairement au parti communiste, ne nuira pas directement à mes enfants. Il ne détruira pas d’un seul coup le pays que j’aime, mais il le détruira peu à peu.
Oui, peu à peu, il va se propager, peu à peu il va vomir sa fumée infernale pour vous faire mourir asphyxies : il agira de façon a vous éloigner peu à peu de mon amour, pour vous rapprocher progressivement de l’amour profane. Oui, mes enfants, il agira ainsi peu à peu…
Ayez confiance en mon amour, consacrez votre pays à mon amour… Mieux vaudrait pour la France être gouvernée par un homme du peuple a l’esprit obtus, que de l’être par un ennemi de mon amour qui la mènerait à la ruine complète… Pauvre France ! Une fois libérée du communisme, elle subira une influence plus perverse encore, celle de la Franc maçonnerie… Ô France, pays que j’aime… Considère les paroles que je t’adresse ici… Français, mes enfants, si vous repoussez loin de vous mon amour, de quel amour pourriez-vous bien vous servir pour relever la France ? S’il n’y a aucun amour pour relever la France, alors la France se verra couverte d’épaisses fumées montant de l’enfer… »
Marcel Van
20-C’EST PAR LES PRÊTRE QUE JÉSUS AFFERMIRA LE RÈGNE DE SON AMOUR EN FRANCE
Le vénérable Marcel Van a reçu ces paroles de Jésus. La date exacte n’est pas précisée (source : « L’amour ne peut mourir », du Père Marie-Michel) :
Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout… Surtout, prie pour les prêtres de France, car c’est par eux que j’affermirai en ce pays le « Règne de mon Amour »…
Marcel Van
21-LA FRANCE CONSIDÈRERA LE VIETNAM COMME SON PETIT FRÈRE LE PLUS CHER
Le vénérable Marcel Van a reçu ces paroles de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. La date exacte n’est pas précisée (source : « L’amour ne peut mourir », du Père Marie-Michel) :
Aucune force ne parviendra à chasser les colonialistes français du sol vietnamien, si ce n’est la prière. Oui, la prière ! Prie donc, mon petit frère, prie beaucoup pour le peuple français. Plus tard, il ne sera plus l’ennemi du Vietnam, ta patrie. Grâce à la prière et aux sacrifices, il deviendra un ami intime et considèrera le Vietnam comme son petit frère le plus cher. Mais avant d’en arriver à cette relation amicale, le démon Suscitera de nombreux obstacles pour semer la division entre les deux pays. Car le jour où la France et le Vietnam seront étroitement unis, il subira de lourdes pertes dans sa marche en avant.
Marcel Van
22-LA VIERGE MARIE A LA NOSTALGIE DE LA FRANCE
Le vénérable Marcel Van a écrit ces mots dans une lettre adressée au Père Léon Laplante (son Provincial) le 22 juillet 1947 (source : « L’amour ne peut mourir », du Père Marie-Michel) :
J’ai reçu le 17 juillet votre lettre accompagnée d’une image de ma Mère Marie. Ce cadeau, vous me l’avez apporté de France; il m’a fait bien plaisir de voir que vous avez pensé à votre petit enfant. Je vous en remercie de tout coeur (…). Cependant, mon Père, il me semble que Marie a la nostalgie de la France; elle ne me regarde pas du tout. Les mains jointes et la tête un peu inclinée, elle porte son regard au loin.
C’est probablement parce qu’elle a la nostalgie de la France qu’elle porte son regard dans cette direction, sans me regarder, comme je le désirerais. Mais peu importe; mon regard se porte dans la même direction que le sien, je suis sûr de voir plus tard comme elle ce qui se passe en France, puisque j’aurai regardé suivant son regard rempli de tendresse…
Ah ! Mon cher Père, vous voyez que je parle sans suite; mais veuillez me comprendre quand même. Vous dites que c’est de votre propre main que vous avez fait toucher cette image-souvenir au lieu des apparitions, et ce lieu je sais qu’il se trouve en France; donc, en voyant que Marie ne me regarde pas, je lui dis avec joie : « O Mère, tu as la nostalgie de la France, ton Royaume, et c’est bien pour cela que ton regard y est reste fixe. Je te comprends très bien, o Mère, et je ne m’en attriste pas… »
Marcel Van
23-IL SUFFIRAIT D’UN SEUL FRANÇAIS QUI AIME JÉSUS POUR QU’IL AIT DE NOUVEAU PITIÉ DE LA FRANCE
En réponse à une question sur la France, Frère Eugène a dit ceci à Marcel Van : « La France est actuellement très corrompue; tout le pays est communiste. On a tué des prêtres et on persécute la religion plus qu’en Russie ». Troublé, Marcel Van a interrogé Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus (qui lui parlait par le biais de locutions intérieures) et cette dernière lui a répondu ceci (source : message figurant sur de nombreux sites internet chrétiens) :
Reste tranquille, petit frère; même si les paroles du frère Eugène étaient dix fois vraies, tu ne dois pas te troubler. Même si toute la France était réellement telle qu’il le dit, il suffirait qu’on y trouve un seul Français qui aime Jésus, pour qu’il ait de nouveau pitié de la France.
Marcel Van
24-Voici une prière pour la France que Jésus a dictée à Marcel Van (source : « L’amour ne peut mourir », du Père Marie-Michel) :
Jésus : « Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent.
Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l’étreindre dans ton amour et lui en montrer toute la tendresse. Fais que remplie d’amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre. O Amour de Jésus, nous prenons ici l’engagement de te rester a jamais fidèles et de travailler d’un coeur ardent à répandre ton Règne dans tout l’univers. Amen.
O mon enfant, dis aux Français que cette prière est celle-là même que je veux entendre de leur bouche. Elle est sortie de mon coeur brulant d’amour et je veux que les Français soient les seuls à la réciter. Quant à toi, mon enfant, je veux que tu la récites aussi, mais tu la réciteras également en français ».
Publié par Myriamir le 14 juillet 2016
https://myriamir.wordpress.com/2016/07/14/en-cette-fete-nationale-de-la-france14-juillet-le-quebec-vous-souhaite-bonne-fete-voici-quelques-propheties-pour-la-france/
Pourquoi Je T’Aime Ô Marie –
Extrait-Chanté par Sylvie Buisset.
Oh je voudrais chanter Marie
Pourquoi je t’aime, pourquoi ton nom si doux
Fais tressaillir mon cœur,
Et pourquoi la pensée de ta grandeur suprême,
Ne saurait à mon âme inspirer de frayeur.
1 – Si je te contemplais, dans ta divine gloire,
Et surpassant l’éclat de tous les bienheureux,
Que je suis ton enfant, je ne pourrais le croire,
Ô Marie devant toi, je baisserais les yeux.
2 – Il faut pour qu’un enfant puisse chérir sa mère
Qu’elle pleure avec lui, partage ses douleurs
Ô ma mère chérie, sur la rive étrangère
Pour m’attirer à toi, que tu versas des pleurs.
3 – En méditant ta vie dans le saint Évangile,
J’ose te regarder et m’approcher de toi
Me croire ton enfant ne m’est pas difficile
Car je te vois mortelle et souffrant comme moi.
TEXTE DE SAINTE THÉRÈSE DE L’ENFANT-JÉSUS
Publié par Myriamir le 8 mai 2016
https://myriamir.wordpress.com/2016/05/08/a-toutes-les-mamans-du-monde-entier-a-toi-marie-notre-mere-bonne-fete/
Grâce et Miséricorde exaucée lors de la fête
de la Divine Miséricorde à Durham-Sud
Voici la lettre reçue :
Merci à Myriamir, de nous avoir soutenue dans la prière et en Le faisant connaître a tous par votre publication, cela a fait de cette journée une réussite.
En cette fête de la Miséricorde, le moment fort a été l’extraordinaire participation des gens présents de la paroisse ainsi que ceux venus des quatre coins de la province. Dès le début avec le témoignage de M. Jean-Yves Bourgault qui nous a amené à l’intérieur de nous avec son expérience du pardon.
Et suivi du moment de la présence de Dieu dans l’exposition du St-Sacrement et grâce à leur grand dévouement, nos prêtres : Jean-Claude Poitras curé de Durham-Sud, père Jacques Vézina Servite de Marie, Denis Lemaire ancien curé de la paroisse de Durham-Sud, le père Gregory de la famille Marie jeunesse, ont sus donner à chacun la miséricorde de Dieu dans le sacrement du pardon dans une ambiance que seul l’Esprit saint pouvait nous amener.
Le groupe vocal les messagères de Notre-Dame par leurs chants, nous ont permis de nous intérioriser encore plus profondément. Une performance accompagnée de maman Marie. Sans oublier la présence du diacre Jocelyn St-Pierre, des bénévoles et des animateurs de la journée. Un mille mercis à Lyette et Guy pour avoir réussit par leur prière à sauver et mené à bien cette journée malgré la présence du malin jusqu’au tout dernier moment.
Uni, prier, avoir confiance et mettre sa confiance en Dieu, voilà la recette du succès.
Guy
Publié par Myriamir le 7 avril 2016
https://myriamir.wordpress.com/2016/04/07/lettre-de-remerciement-recue-a-cause-de-la-publication-de-le-fete-de-la-divine-misericorde-a-durham-sud/
Ce 13 mars 2015, le Pape François a annoncé la célébration d’une année sainte de la Miséricorde. La miséricorde est un thème que le Saint-Père affectionne tout à fait spécialement. Au moment de son premier angélus, après son élection, le Saint-Père disait : « Ressentir de la miséricorde, ce mot change tout. C’est le mieux que nous pouvons ressentir : cela change le monde.
Un peu de miséricorde fait en sorte que le monde soit moins froid et plus juste. Nous avons besoin de comprendre bien cette miséricorde de Dieu, ce Père miséricordieux qui est tellement patient ». (Angélus du 17 mars 2013). Cette annonce a été prononcée à l’occasion du deuxième anniversaire de l’élection du Pape François, durant l’homélie de la célébration pénitentielle par laquelle le Saint-Père a ouvert l’initiative : 24 heures pour le Seigneur.
Nous avons la chance cette année d’organiser dans la paroisse de Durham-Sud (Diocèse de Nicolet) la fête de la Divine Miséricorde, pour faire suite à la demande du Père grâce à sœur Faustine.
Seront là durant cette journée..voir ici-bas :
-Vidéo de Mgr. André Gazaille
-Inauguration et bénédiction du salon de la Miséricorde
-Groupe Vocal « Les Messagères de Notre-Dame »
-Témoignage de M. Jean-Yves Bourgault
-Chapelet de la Divine Miséricorde
-Adoration, animation
-Prêtres pour le sacrement du pardon individuel
-Célébration eucharistique
Site : http://fetedelamisericorde.simplesite.com/426032677
Le programme de cette journée en PDF : FÊTE DE LA DIVINE MISÉRICORDE
Publié par Myriamir le 15 mars 2016
https://myriamir.wordpress.com/2016/03/15/invitation-a-une-journee-de-fete-de-la-divine-misericorde-dimanche-le-3-avril-2016-a-durham-sud-diocese-de-nicolet-quebec-canada/
Que fut la Grande Guerre de 1914-1918 dépouillée de tous les faux-semblants dont elle est revêtue depuis maintenant près de cent ans, à l’école et dans les livres ? Un carnage sciemment poursuivi pendant plus de quatre ans par d’horribles, ambitieux et mauvais chefs, politiciens ou généraux aux idées politiques (républicaines, maçonniques ou démocrates-chrétiennes), et stratégiques (l’offensive à outrance chère aux généraux Foch, Nivelle et consorts…), déplorables, absurdes, criminelles ! (…)
« Le feu tue ! » La sagesse de cet aphorisme enseigné par le colonel Pétain avant la guerre comme devant nécessiter une révision de stratégie, le même, devenu général et vainqueur de Verdun, l’imposera difficilement à partir de 1917.
Si les soldats français de première ligne, des deuxièmes classes aux colonels, ont trouvé en ce chef un père qui comprenne et atténue leurs souffrances, l’histoire républicaine ne nous dit rien du motif profond de leur héroïque courage, et pour cause, il fut religieux.
Mus par un instinct venu du fond des âges chrétiens et de leurs habitudes d’enfance catholique, nos soldats ont adopté l’attitude, le comportement, l’esprit que requérait l’horrible déchaînement infernal de la guerre où ils n’étaient que fétus de paille jetés de-ci de-là par la mitraille et bientôt peut-être déchiquetés.
Alors, finis les discours politiques, et l’anticléricalisme, les blasphèmes et le socialisme… et de se croire quelqu’un en face de Dieu, quand on n’est rien… rien que l’objet de sa douce miséricorde et tendresse. En voici quelques exemples parmi tant d’autres.
Nous sommes en pleine retraite allemande, après la victoire de la Marne, le 14 septembre 1914, dans une ferme du secteur de Noyon. Les Français se sont repliés, laissant leurs morts et leurs blessés, l’aumônier, le Père Doncoeur est resté. Son sang-froid, sa connaissance de la langue allemande, ont imposé respect aux Allemands et ont sauvé la vie aux blessés.
La nuit se passe à panser, nettoyer, donner à boire, calmer et confesser. Dans la matinée, des officiers allemands lui font dire qu’il y a dans la campagne un blessé français abandonné.
« Quand j’arrivai près de lui, je me mis à genoux et, me penchant :
– C’est moi, lui dis-je.
– Qui ça ? demanda-t-il.
Je m’aperçus alors que ce malheureux, dont la tête était en sang, avait le front ouvert et les yeux arrachés.
– C’est l’aumônier du 115e, dis-je, très ému, qui vient te chercher, mon petit.
– Ah ! Monsieur l’aumônier, que la Sainte Vierge est bonne !
Il leva alors son bras droit qui tenait un chapelet :
– Toute la nuit, je l’ai priée pour qu’un prêtre passe par ici. Comme je suis heureux !
L’aumônier l’embrasse :
– Eh bien ! mon petit, la Sainte Vierge m’amène. Tu vois. Nous allons t’emmener. »
Le plus doucement possible, l’aumônier le soulève. Il a une jambe brisée. Il est tombé la veille à 7 heures du matin, puis il est resté là tout le jour. Vers 4 heures, les Allemands sont venus sur lui, l’ont retourné ; il a montré sa jambe brisée et, à bout portant, ils lui ont tiré deux balles dans la tête.
Et il est resté là toute la nuit à dire son chapelet.
« Il grelottait de fièvre dans les betteraves glacées de la rosée de la nuit. Je le ramenai à la ferme. Je le pansai. Il souriait de bonheur. Chaque fois que je me penchai sur lui, il redisait : “ Je vous salue, Marie ”, et répétait : “ Comme je suis heureux, Monsieur l’aumônier ! Comme elle est bonne de vous avoir mis ici près de moi ! ”
Il mourut à trois jours de là, dans un sourire. »
1915, durant l’offensive de Champagne, longuement préparée, espérée aussi comme la dernière attaque qui doit remporter la victoire. Le 23 septembre, les colonels montent à leur poste de combat. (…)
Les aumôniers de bataillons sont partout : sous les torpilles allemandes, ils montent en ligne et, dans les tranchées, apportent à tous le suprême réconfort.
Les jeunes un peu tremblants, les vieux très graves, livrant le dernier message pour la famille :
« Vous écrirez, n’est-ce pas, monsieur l’aumônier ? »
Le Père Doncœur termine sa journée par le colonel Henri Tesson, commandant le 35e. Il raconte :
Que faire ? Vieux colonial, d’une bonté toute cordiale : “ Moi, m’avait-il dit cent fois pour me taquiner, je suis musulman. Inutile d’essayer ! ” Mais il aimait beaucoup ses aumôniers qui le lui rendaient de tout cœur.
“ Restez ici, dis-je à mon compagnon, priez les anges ” ! Je descendis, une trentaine de marches ; j’en aurais souhaité six cents ! J’étais devant la porte. Je frappai. “ Entrez ! ” Je vis le colonel debout, venant vers moi, tandis que l’officier-adjoint disparaissait.
– “ Bonsoir, mon colonel, lui dis-je, je viens de confesser tout notre régiment.
Ses paupières battirent et, moqueur :
– Je vous vois venir, Monsieur l’aumônier.
– Bien sûr, mon colonel, je viens tout droit, je veux finir par vous.
Et le regardant dans les yeux, je découvris que son âme s’ébranlait, puis il se fit très doux, et très affectueux :
– C’est qu’il y a trop longtemps, me dit-il, je ne sais plus !
– Je saurai pour vous, mon colonel, quant au temps, il ne fait rien à la chose. Vous allez voir comme ce sera facile.
Ce fut en effet très facile. Quand la confession fut terminée :
– Voulez-vous communier, lui dis-je ?
Son regard m’interrogea…
– Oui, je vous apporte le Bon Dieu.
– Faut-il me mettre à genoux ?
– Si vous voulez, mon colonel.
Je dis les paroles latines et quand je lui donnai l’hostie, je vis sur cette virile figure aux grands traits, aux fortes moustaches noires, des larmes couler.
J’étais très ému. Je me mis à genoux, puis tous deux, d’un même mouvement, nous nous embrassâmes et je fis pour lui l’Action de grâces.
– Mon père aurait agi ainsi, me dit mon colonel, et ma mère, comme elle va être heureuse !
– À Dieu, lui dis-je, vous avez beaucoup à faire pour demain…
Le lendemain, 25, à 9 heures, ce fut l’hécatombe. Le 26, le 27, il commandait dans les lignes allemandes les débris de dix régiments jetés dans la fournaise. Il était splendide de paix intérieure au milieu de cet enfer de Navarin.
Le 28, à 5 heures du matin, rameutant, le revolver au poing, les vagues d’assaut, il fut broyé par un obus en avant des lignes…
Six mois plus tard, je reçus du fond de la Bretagne une pauvre lettre tremblée.
“ C’est, Monsieur l’aumônier, une vieille maman qui a enfin le courage de vous écrire. Je crois qu’il suffira que je vous transcrive ce dernier billet que j’ai reçu d’Henri : Je sais que je te ferai plaisir en te disant que je me suis mis en règle avec le Bon Dieu.
L’aumônier est venu. Je l’attendais... Cela n’a pas été long. Mon vieux fond religieux est vite revenu. Je me suis confessé, et j’ai communié. Je l’ai fait avec conviction et aussi en pensant à toi. Je me suis trouvé très ému devant ce grand acte et, pour tout dire, c’est avec plus de crânerie que j’affronterai demain la mort. À Dieu ! »
Le 29 au soir, le Père Doncoeur et un confrère parcourent le champ de bataille à la recherche des blessés de quatre jours de combat.
« Un étrange silence pesait sur ce terrain que déchirait tout à l’heure la rage des artilleries. Seuls parfois se rallumaient l’étincellement et le crépitement des grenades ; autour de nous, les balles tirées par des guetteurs apeurés passaient en cassant les branches.
Nous allions, prêtant l’oreille aux gémissements, quand, en traversant un petit bois, j’entendis un chant venir à nous, très doux. Je reconnus une mélodie du Gloria in excelsis de la messe ! Je regardais mon compagnon avec surprise, quand la lueur d’une fusée nous montra, étendue à nos pieds, une forme allongée… C’était ce soldat qui chantait !
Nous nous glissâmes à genoux et, me penchant, je discernai la figure toute jeune d’un petit soldat du 35e qui dormait, les traits détendus, les yeux clos, les lèvres entrouvertes. Un murmure monta... Et c’était cette fois une phrase du Pater. “ Il rêve ”, me dit mon compagnon. En effet, son caprice, reprenant en arrière, murmurait le triple appel du Sanctus.
Nous nous regardâmes, malgré nous inquiets. Serait-il blessé ? La fièvre ? Nous appelâmes ; aucune réponse. Je le secouai. Alors plus doux, les lèvres laissèrent échapper un dernier chant, le triple Agnus Dei de la messe… Nous ne découvrions cependant aucune trace de blessure. “ Il faut le retourner ”, dis-je au brancardier, et nous le prîmes par l’épaule.
Il s’abandonna comme l’enfant que sa mère retourne dans son berceau parce qu’il rêve et, la petite tête se laissant aller sur l’herbe, nous aperçûmes à l’arrière du casque un mince trou noir.
Ainsi, une balle dans la nuque, cet enfant agonisait à la face du Ciel, et de son passé de petit paysan remontaient les chants de son église de village !Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, dona nobis pacem !
Ce fut son suprême appel à Celui qui, en effet, porta les péchés du monde, pour lui donner en retour le bienfait de sa paix. »
N’avait-il donc pas raison, ce prêtre, d’écrire à ses parents :
« Plus je vais, plus je suis frappé par le sens mystique de la guerre !…
Quelque chose comme une messe où l’autel serait l’Europe entière et les victimes les soldats qui tombent chaque jour. Dans cette image lumineuse et grandiose, les petites misères quotidiennes se fondent et la réalité brutale s’efface.
Le blessé que je transporte devient le membre visible du Christ immolé et les bruits tragiques de la lutte deviennent l’accompagnement de cet office. Je ne suis qu’un petit rouage, qu’un petit choriste dans cette messe immense, mais j’y joue mon rôle obscur ici-bas, tandis que nos chers morts y continuent le leur dans la splendeur du Ciel… »
Et cet autre qui décrit si bien le ministère de l’aumônier militaire :
« J’ai songé avec joie à la parabole du Samaritain. Lui, avait son âne pour porter le blessé de la route de Jéricho. Nous n’avons que nos épaules. Nous sommes les bêtes de somme du champ de bataille… Nous sommes les Samaritains des âmes… Nous t’avons donc porté, pauvre Christ saignant, sur nos épaules. Nous avons étanché tout le sang de tes plaies. Nous t’avons donné de notre pain et de notre vin, nous t’avons aimé (…).
« Nos petits soldats souffrent généreusement et meurent fréquemment en héros et en saints qui s’ignorent.
Je sais telles et telles morts capables de racheter un peuple et je ne puis croire à la fin d’un pays où l’on meurt ainsi.
En voici un exemple : la scène se passe dans le petit hôpital vosgien de Gerbéviller. On vient d’y apporter sur un brancard improvisé, fait de deux fusils et d’une capote tendue, un pauvre petit blessé, criblé de balles. Le prêtre-infirmier qui l’a confessé en route, le panse de son mieux.
« Depuis ce moment, il ne voulut plus que je le quitte. D’une main il prenait le crucifix sur sa poitrine, de l’autre il me serrait les mains et me disait :
– Oh ! comme le Bon Dieu est bon de m’avoir fait rencontrer un prêtre avant de mourir ! C’était mon plus grand désir ! Merci, mon père, oh ! merci. Puis, il reprenait :
– Pensez-vous que je puisse aller au Ciel ?
– Mais oui, mon petit, tu vas y aller… et tout droit.
– Oh ! répétez-moi cette bonne parole. Comme cela me fait du bien !… Mais, pour aller au Ciel, que faut-il faire encore ?
– Rien, mon ami ! Rien ! Tu as déjà fait suffisamment. Le Bon Dieu ne t’en demande pas davantage. Allons, repose-toi, dors !
Mais lui ne voulait pas de ça !…
– Que faut-il dire au Bon Dieu pour lui faire plaisir ?
– Dis-lui que tu l’aimes et que tu acceptes sa volonté sainte, quelle qu’elle soit.
– Mon Dieu ! je vous aime de tout mon cœur ! répétait-il.
– Fais-lui le sacrifice de ta vie ; pour la France, pour tes camarades, pour ta famille et tes amis, pour obtenir le pardon complet de tous les péchés de ta vie.
– Oh ! oui, mon Dieu ! je vous la donne ma vie, de tout mon cœur !
« Il reçut avec empressement l’extrême-onction. Alors, épuisé, il me pressa encore les mains. Il couvrait de baisers le crucifix de plâtre que je lui avais fait passer. Pendant toute cette scène, les blessés de la salle restaient recueillis, hypnotisés en quelque sorte par la grandeur et la sainteté du cher mourant, qui allait quitter la terre dans toute la splendeur de sa jeunesse.
Les Allemands eux-mêmes étaient remués jusqu’aux larmes. Ils s’étaient découverts et gardaient un silence recueilli.
« Puis la conversation reprit de plus en plus faible et pénible, toujours plus belle et plus céleste… Son visage s’illuminait de plus en plus aussi. Mais son souffle devenait plus faible, sa respiration plus pénible. Bientôt il suffoqua… Comme je pus, je le relevai un peu, de manière à lui placer la tête un peu plus haute sur son oreiller. Ses yeux si doux se fixèrent sur moi avec affection.
Ils semblaient vouloir me remercier et surtout me faire comprendre quelque chose. Ses lèvres remuèrent enfin. Je m’approchai plus près de lui encore.
Et de sa voix de mourant,il me supplia:
– Dites, mon Père, je voudrais vous demander une faveur, mais c’est tellement vous demander que je n’ose pas…
– Parle, mon petit, tu es mon frère, parle, n’aie pas peur…
– Eh bien ! si vous le permettiez, je voudrais vous embrasser… et que vous m’embrassiez aussi vous-même… pour ma mère.
« Me penchant alors sur lui, je lui donnais ce baiser maternel qu’il réclamait si tendrement avant de s’endormir dans la paix du Seigneur. Lui me pressa sur sa poitrine meurtrie, et doucement – j’allais dire religieusement – m’embrassa pour sa mère. Un instant après, en m’embrassant encore comme un frère :
– Au revoir… au Ciel… me dit-il. » (…)
Nous sommes de leur race, ce sont nos Pères. Soyons de leur foi, dans l’espérance.
Partageons leur abnégation, mais jurons d’achever leur mission historique, et par notre sang, s’il nous l’est demandé, le retour de nos patries en Chrétienté, par la grâce du Sacré-Cœur de notre Christ-Roi, et l’intercession de la Vierge Marie Auxiliatrice, notre Reine au Cœur Douloureux et Immaculé !
Publié par Myriamir le 12 février 2014
https://myriamir.wordpress.com/2014/02/12/histoire-vraie-la-mort-damour-des-soldats-de-la-grande-guerre/
Scholastique était sœur du vénérable Père Benoît. Consacrée au Seigneur tout-puissant dès son enfance , elle avait coutume de venir visiter son frère une fois chaque année.
L’homme de Dieu descendait pour la recevoir dans une maison dépendante du monastère, non loin de la porte. Scholastique étant donc venue une fois, selon sa coutume, son vénérable frère descendit vers elle avec ses disciples.
Ils passèrent tout le jour dans les louanges de Dieu et les pieux entretiens ; et, quand la nuit fut venue, ils prirent ensemble leur repas. Comme ils étaient encore à table, et que le temps s’écoulait vite dans leur entretien sur les choses divines , la vierge sacrée adressa cette prière à Benoît :
« Je te prie , mon frère, de ne pas m’abandonner cette nuit, afin que nous puissions jusqu’au matin parler encore des joies de la vie céleste. »
Le saint lui répondit : « Que dis-tu là, ma sœur ? Je ne puis en aucune façon passer la nuit hors du monastère. » Dans ce moment, le ciel était si pur qu’il n’y paraissait aucun nuage.
La servante de Dieu, ayant entendu le refus de son frère, appuya sur la table ses doigts entrelacés ; et, cachant son visage dans ses mains, elle s’adressa au Seigneur tout-puissant.
Au moment où elle releva la tête, des éclairs, un violent coup de tonnerre, une pluie à torrents, se déclarèrent tout à coup : au point que ni le vénérable Benoit, ni les frères qui étaient avec lui ne purent mettre le pied hors du lieu où ils étaient.
La pieuse servante de Dieu , pendant qu’elle avait tenu sa tête appuyée sur ses mains, avait versé sur la table un ruisseau de larmes ; il n’en avait pas fallu davantage pour charger de nuages le ciel serein jusqu’à cette heure.
Après la prière de la sainte, l’orage ne s’était pas fait longtemps attendre ; mais cette prière et les torrents de pluie qu’elle amenait s’étaient si parfaitement rencontrés ensemble, que, au même instant où Scholastique levait sa tête de dessus la table, le tonnerre grondait déjà : en sorte qu’un même instant vit la sainte faire ce mouvement, et la pluie tomber du ciel.
L’homme de Dieu, voyant que ces éclairs, ces tonnerres, cette inondation ne lui permettaient plus de rentrer au monastère, en fut contristé, et exhala ainsi ses plaintes :
« Que le Dieu tout-puissant te pardonne, ma sœur ! Que viens-tu défaire? »
Elle répondit : « Je t’ai adressé une demande, et tu n’as pas voulu m’écouter : j’ai eu recours à mon Dieu, et il m’a exaucée. Maintenant sors, si tu peux, laisse-moi, et retourne à ton monastère. »
Mais le saint était dans l’impossibilité de sortir de la maison, et lui qui n’avait pas voulu y rester volontairement, demeura contre son gré.
Ainsi, les deux saints passèrent la nuit entière dans les veilles, et reprenant leurs pieux entretiens sur la vie spirituelle, ils se rassasièrent à loisir par l’échange des sentiments qu’ils éprouvaient.
Le lendemain, la vénérable Mère retourna à son monastère, et l’homme de Dieu reprit le chemin de son cloître.
Trois jours après, étant dans sa cellule, et ayant élevé ses yeux en haut, il vit l’âme de sa sœur, qui venait de briser les liens du corps, et qui, sous la forme d’une colombe, se dirigeait vers les hauteurs mystérieuses du ciel.
Ravi dé joie pour la gloire dont elle était entrée en possession, il rendit grâces au Dieu tout-puissant par des hymnes et des cantiques, et annonça aux frères le trépas de Scholastique.
Il les envoya aussitôt au lieu qu’elle avait habité, afin qu’ils apportassent le corps au monastère, et qu’il fût déposé dans le tombeau qu’il s’était préparé pour lui-même.
Publié par Myriamir le 10 février 2014
https://myriamir.wordpress.com/2014/02/10/fete-de-sainte-scholastique-le-10-fevrier-2014-tres-belle-anecdote-entre-un-frere-et-sa-soeur/
Méditons les mystères du Rosaire, pour demander par l’intercession de saint François de Sales (dont c’est la fête) que les mots de Notre Saint Père François touchent le cœur et l’intelligence du Président François.
Que ce soit pour un Je vous Salue Marie, une dizaine ou un Rosaire, agissons, PRIONS !
Les armes de François de Sales ne furent pas les foudres de l’excommunication, ni la conversion par la force, mais uniquement les instruments de l’amour.
C’est d’ailleurs l’une de ses devises : « Rien par force, tout par amour ». François de Sales incarna de façon exemplaire, au cours d’une existence souvent harassante, les plus hautes vertus évangéliques au point d’être appelé le Docteur de l’amour.
1-« Une demi-heure de méditation est essentielle sauf quand on est très occupé. Alors une heure est nécessaire. »
2-« L’homme est la perfection de l’Univers, l’esprit est la perfection de l’homme, l’amour est la perfection de l’esprit, et la charité est la perfection de l’amour. »
3-« Penser savoir ce qu’on ne sait pas, c’est une sottise expresse ; vouloir faire le savant de ce qu’on connaît bien que l’on ne sait pas, c’est une vanité insupportable. »
4-« Si la charité est un lait, la dévotion en est la crème. »
5-« Soyez patient avec tout le monde, mais surtout avec vous-mêmes.
6-« Un saint triste est un triste saint. »
7-« La chasteté est le lis des vertus et, dès cette vie, elle nous rend presque semblables aux anges. Rien n’est beau que par la pureté et la pureté des hommes c’est la chasteté. »
8-« Une grande misère parmi les homme, c’est qu’ils savent si bien ce qui leur est dû et qu’ils sentent si peu ce qu’ils doivent aux autres. »
9-« Dans le régime des âmes, il faut une tasse de science, un baril de prudence et un océan de patience. »
10-« Le bruit ne fait pas de bien, et le bien ne fait pas de bruit. »
11-« Le monde est né de l’amour, il est soutenu par l’amour, il va vers l’amour et il entre dans l’amour. »
12-« On a besoin de patience avec tout le monde, mais particulièrement avec soi-même. »
Publié par Myriamir le 24 janvier 2014
https://myriamir.wordpress.com/2014/01/24/fete-de-saint-francois-de-sales-ce-vendredi-24-janvier-2014-prions-pour-la-rencontre-entre-francois-hollande-et-notre-pape-francois-au-vatican/