…………….Il est rare que nous prions pour ceux qui maltraitent les animaux, mais maintenant il faut le faire, car j’imagine la douleur que ces gens ressentiront lorsqu’ils seront devant eux lorsqu’ils entreront en eux et qu’ils verront le mal qu’ils ont fait,…………….. ils ne seront peut-être pas capable de se pardonner, et de dire OUI’‘ à notre Seigneur, ils ne faut pas qu’ils disent NON ».…………
Nous savons qu’il reste très peu de temps avant l’Illumination des Consciences ……………
Je vous demande de prier en union avec moi, …………..pour nos frères et soeurs qui maltraitent les animaux…et pourquoi ne pas inclure dans nos prières ceux qui maltraitent les enfants et les personnes âgées…?
Merci à tous ceux qui prieront en union avec moi-…………… Grace
19-Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie.
20-Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d’ulcères,
21–et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères.
22-Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d’Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli.
23-Dans le séjour des morts, il leva les yeux; et, tandis qu’il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein.
24-Il s’écria: Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue; car je souffre cruellement dans cette flamme.
25–Abraham répondit: Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres.
26–D’ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire.
27–Le riche dit: Je te prie donc, père Abraham, d’envoyer Lazare dans la maison de mon père;
28–Car j’ai cinq frères. C’est pour qu’il leur atteste ces choses, afin qu’ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments.
29-Abraham répondit:Ils ont Moïse et les prophètes; qu’ils les écoutent.
30-Et il dit: Non, père Abraham, mais si quelqu’un des morts va vers eux, ils se repentiront.
31–Et Abraham lui dit: S’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu’un des morts ressusciterait.
Le jour de l’an de 1953, l’avion St Kieran s’envole avec 25 passagers de Dublin (Irlande) à Birmingham (Angleterre). Peu avant Birmingham les moteurs s’arrêtent.
L’hôtesse de l’air annonce avec calme : « Les voyageurs sont priés de mettre la ceinture de sécurité ! » Elle explique le sérieux de la situation puis se met à genoux au milieu du couloir et déclare : « Mesdames et Messieurs, je crois que maintenant c’est le moment de prier. » Elle récite l’acte de contrition à haute voix, puis s’adresse à la Sainte Vierge, l’appelle au secours et sortant son chapelet, elle se met à le réciter.
Entre-temps, le pilote dont la machine a perdu de la hauteur, cherche un terrain pour atterrir. Il découvre un champ labouré qui lui paraît favorable à un atterrissage forcé. Lorsque l’avion touche terre de tout son poids, une forte détonation retentit : l’appareil s’est scindé en deux…
Les premiers témoins qui arrivent n’en croient pas leurs yeux lorsqu’ils voient sortir des débris tous les passagers indemnes… Seuls le pilote et son coéquipier sont légèrement blessés.
Quant aux voyageurs ils sont convaincus que la Mère de Dieu a visiblement récompensé la confiance de la courageuse hôtesse de l’air.
Dans L’Ami du Clergé, retraduit de l’allemand par F.A.P.
Je vous salue, Marie pleine de grâces ;
le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
maintenant et à l’heure de notre mort. Amen.
J’avais déjà publier cette vidéo en décembre 2010..je vous la repasse…car une miséricorde comme celle-ci, est si rare qu’elle vaut la peine de l’imprimer dans notre coeur !!
George Pickering, un Américain de 59 ans, a sauvé la vie de son fils en se retranchant dans sa chambre d’hôpital à Houston, Texas hôpital.
Les médecins avaient déclaré la mort cérébrale et se préparaient à déconnecter les machines qui maintenaient en vie le fils de George. La mère et le frère du malade avaient consenti au débranchement.
George Pickering était sûr que son fils pouvait survivre et, après avoir tenté en vain de faire revenir sur leur décision médecin et famille, a décidé d’agir par la force.
L’homme est allé à l’hôpital armé et s’est barricadé dans la chambre de son fils. Après avoir menacé le personnel de l’hôpital, il a abandonné son arme sur l’insistance d’un autre de ses fils, et a finalement obtenu que son fils ne soit pas euthanasié.
Heureusement qu’il est intervenu de la sorte car, peu de temps après, son fils s’est réveillé de son coma.
« Le SWAT (ndlr : unité spéciale de police intervenue lorsque le père est arrivé armé dans l’hôpital) a ses propres médecins et quand ils sont entrés dans le service de soins intensifs, ils virent que George Jr. n’était pas en mort cérébrale parce qu’il y avait contact visuel et suivi des ordres», rapporte l’avocat de la famille.
George Pickering assure que son fils lui avait serré la main à plusieurs reprises durant le temps où il s’était enfermé dans la chambre. George s’est rendu aux autorités et a été accusé de voies de fait graves avec arme, mais cela n’a pas été en vain, puisque son fils récupère et est hors de danger.
Ce courageux père a été libéré au début de ce mois de décembre et a retrouvé son fils George Jr, qui apprécie le courage de son père.
Georges Pickering libéré par la justice et revenu auprès de son fils sorti du coma !
« Une loi a été violée, mais elle a été brisée pour les bonnes raisons, c’était l’amour, de l’amour pur« , dit-il.
C’était un matin chargé, vers 8h00,quand un homme d’environ 80 ans est arrivé pour faire enlever les points de suture de son pouce. Il était pressé car il avait un rendez-vous à 9h00. Je lui dis de s’asseoir sachant que cela prendrait plus d’une heure.
Je le voyais regarder sa montre et j’ai décidé, puisque je n’étais pas occupée avec un autre patient, d’évaluer sa blessure. En l’examinant, j’ai vu que cela cicatrisait bien, j’ai pris les instruments nécessaires pour enlever ses points.
Je lui ai demandé s’il avait un rendez-vous avec un autre médecin ce matin, parce qu’il était pressé.L’homme me dit non, qu’il devait aller dans une maison de santé pour déjeuner avec sa femme. Je me suis informée de sa santé. Il m’a dit qu’elle était là depuis quelque temps et qu’elle souffrait d’Alzheimer.
J’ai demandé si elle serait contrariée de son retard. Il a répondu qu’elle ne savait plus qui il était, qu’elle ne le reconnaissait plus depuis 5 ans. Surprise : «Et vous y allez encore tous les matins, même si elle ne sait pas qui vous êtes?» Il souriait en me tapotant la main et dit : « elle ne me reconnaît pas, mais MOI, je sais encore qui ELLE est ».
J’ai dû retenir mes larmes quand il m’a quitté, j’avais la chair de poule. Je pensais que c’était le genre d’amour que je voulais. Le vrai amour n’est ni physique, ni romantique. Le vrai amour est l’acceptation de tout ce qui est, a été et sera.
Les gens les plus heureux n’ont pas nécessairement le meilleur de tout, ils s’organisent du mieux qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont. La vie n’est pas d’échapper à la tempête mais de danser dans la pluie…et de remercier Dieu de toutes les grâces dont Il nous comblent !