TOUT PRENDRA SENS DANS TON CŒUR ! Par les Pères Dominique et Jean-Jacques Duten dans la Divine Volonté, Lundi 14 Juin 2021 – Durée 12:25.


Souffrances de Jesús

Pendant que je désirais la venue de mon adorable Jésus, il est venu sous l’aspect qu’il avait quand ses ennemis le giflaient, lui couvraient le visage de crachats et lui bandaient les yeux. Jésus souffrait tout avec une admirable patience. Il me semble qu’il ne regardait même pas ceux qui le faisaient souffrir, tellement il était absorbé à contempler intérieurement le fruit que ses souffrances produisaient sur eux.

J’admirais cela avec stupéfaction quand Jésus me dit : « Ma fille, dans mes œuvres et dans mes souffrances, je n’ai jamais regardé l’extérieur, mais toujours l’intérieur. En me concentrant sur le fruit quelque soit l’événement, non seulement je souffrais, mais je souffrais avec désir et avidité.

« Tout au contraire, dans ses œuvres, l’homme ne regarde pas le bien qui se trouve en leur intérieur et, en ne voyant pas leurs fruits, il s’ennuie facilement et s’énerve. Souvent, il abandonne de faire le bien. S’il souffre, il s’impatiente facilement et, s’il fait le mal, en ne regardant pas à l’intérieur de ce mal, il le fait avec facilité. »

Il ajouta : « Les créatures ne veulent pas se persuader que la vie est accompagnée de divers incidents, tantôt de souffrance, tantôt de consolation. Pourtant, les plantes et les fleurs leur donnent l’exemple en demeurant soumises aux vents, à la neige, à la grêle et à la chaleur. »

Vol 4, 9 novembre 1902


ÊTRE MISSIONNAIRE DE LA DIVINE VOLONTÉ

 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


POUR MOI, L’ENSEIGNEMENT LE PLUS IMPORTANT! Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Dimanche 13 Juin 2021 / Durée 33:27.


1. Jeter en terre la semence

Répéter ses actes dans la Divine Volonté : Le sang de l’âme, Il faut tout faire avec lui et pour lui, par amour.

«… les actes répétés sont comme la sève de la plante : sans elle, la plante sèche et ne peut produire ni fleurs ni fruits. Parce que la sève est le sang vital de la plante qui circule en elle, la conserve, la fait grandir et produire les fruits les plus beaux et les plus savoureux pour former la gloire et le bénéfice du fermier. Cependant cette sève ne se forme pas par la plante toute seule. Le fermier doit veiller à arroser et cultiver la plante, et pas seulement une fois, mais sans cesse, Il doit lui donner l’aliment quotidien qui lui permet de s’épanouir… Tu vois maintenant ce que représentent les actes répétés. Ils sont le sang de l’âme, l’aliment, la conservation et la croissance de mes dons. Moi, l’Agriculteur céleste, je ne cesse pas de t’arroser ! Je ne risque pas d’être paresseux. Puisque c’est toi qui reçois cette sève vitale, celle-ci vient à toi lorsque tu répètes les actes dans ma Volonté au fond de ton âme. A ce moment-là, tu ouvres la bouche et Je déverse ce sang dans ton âme…»

Vol 29, 4 mai 1931.

Accomplir ses actes dans sa Divine Volonté

Chaque fois que l’âme accomplit ses actes dans ma Volonté, elle grandit de plus en plus devant Moi en sagesse, en bonté, en puissance et en beauté. En fait, plus l’âme continue de répéter ses actes dans ma Volonté, plus elle reçoit d’infusions de sagesse, de bonté, etc., et elle grandit grâce à ma nourriture (spirituelle) dont elle se nourrit. » (Évangile, Luc 2,52 : Jésus dans son Humanité grandissait en sagesse et en grâce , car il multipliait ses actes dans la Suprême Volonté. Une croissance si réelle que les autres la remarquaient. (Devant Dieu et devant les hommes)

Vol 13, 14 septembre 1921

2. La Pratique

Appeler Dieu dans ses actes.

« Tu dois savoir que celle qui fait ma Volonté et laisse ma Vie couler dans ses actes appelle continuellement Dieu et ses attributs. Et il se sent continuellement appelé par la créature. Elle l’appelle tantôt parce qu’elle veut sa Puissance, tantôt son Amour, tantôt sa Sainteté, sa Lumière, sa Bonté, sa Paix imperturbable. Bref, elle l’appelle toujours parce qu’elle veut ce qui est de Dieu. Et toujours Il attend de pouvoir lui donner en retour ce qu’elle demande. Il se sent appelé et il l’appelle afin de lui dire :« Y a-t’il autre chose que tu veux avoir de mon Être divin ?» Prends ce que tu veux. » (demandez et vous recevrez, appelez et on vous ouvrira Mt 7,7)

Vol 32, 1 octobre 1933

Il a laissé des chemins… “Je suis le chemin la vérité et LA VIE !”

« Dès ma conception, j’ai commencé à former des chemins qui devaient servir aux créatures pour venir à moi. En formant ces chemins, je les étendais, mais je ne les détachais pas de moi. Je demeurais le centre d’où partaient tous ces chemins. Ainsi, mes actes, mes paroles, mes pensées et mes pas étaient tous des routes de lumière, de sainteté, d’amour, de vertu et d’héroïsme que je formais. Par conséquent, la créature trouve le chemin pour venir à moi avec chaque acte qu’elle accomplit. »

Vol 36, 30 juin 1938

3. Les actes suspendus.

« Vois, toutes les choses que j’ai faites sur la terre prières, souffrances, travaux demeurent opérantes et le seront éternellement pour le bien de ceux qui veulent en profiter. Ma manière d’agir diffère de celle des créatures. Disposant de la puissance créatrice, je parle et je crée exactement comme, un jour, j’ai parlé et j’ai créé le soleil, lui qui donne sa lumière et sa chaleur continuellement sans jamais décroître, comme s’il était en train d’être créé. Telle était ma manière d’opérer sur la terre. Puisque j’avais en moi la puissance créatrice, les prières, les actes et les travaux que je faisais, et le Sang que j’ai versé, sont toujours en acte, exactement comme le soleil dans son acte continuel de donner sa lumière. Ainsi, mes prières se poursuivent, mes pas sont toujours dans l’action de courir après les âmes, et ainsi de suite. »

Vol 11, 21 septembre 1913

«…mes actes et ceux de ma céleste Mère répètent leur acte continuel tout comme les choses créées. Parce qu’ils sont faits dans la Divine Volonté et animés par elles, nos actes possèdent la vertu répétitive. Et mieux que le soleil, nos actes dardent les créatures et font pleuvoir sur leur tête tous les biens de tous nos actes qui, quoiqu’anciens, sont toujours nouveaux et pour le bien de cette malheureuse humanité. Car ils possèdent l’acte continuel. Mais malgré qu’ils soient répandus sans arrêt sur leur tête, nos actes suspendus ne sont pas pris par les créatures.

Vol 28, 4 juillet 1930.


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


OH ! CE CŒUR IMMACULÉ…Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Samedi 12 Juin 2021. Durée 29:48


Aujourd’hui c’est la naissance de la Reine du Ciel, je pensait au grand prodige de sa naissance où le ciel et la terre étaient en adoration devant ce divin prodige. Et mon immense bien, Jésus, avec un amour et une tendresse inexprimables, me dit: «Bienheureuse fille de ma Volonté, la naissance de ma céleste Mère renferme tout ensemble tous les prodiges et toutes les merveilles, et sais-tu pourquoi?

Ce n’était pas seulement elle qui naissait pure, sainte, belle et immaculée. Non, avec la céleste enfant naissait ma Divine Volonté déjà conçue et enclose en elle pour former sa vie opérante et grandir dans cette gracieuse enfant.» «Ma Volonté s’est enclose afin de naître avec la céleste créature, et elle s’est servie de son corps pour opérer et former sa vie divine. C’était un prodige que seul l’Amour éternel, la Sagesse et la Puissance divines pouvaient opérer!

Ce n’était pas seulement une vie qui était donnée ni simplement un don pour la libérer de la tache originelle, cela n’aurait rait rien été pour notre Puissance. Ce qui a attiré l’attention de tous et a causé leur stupéfaction, c’est ma Volonté qui est née avec elle dans le monde. Si bien que le ciel et la terre en furent bouleversés. Nous étaient attentifs et sentaient une force mystérieuse, la force même qui dominait et préservait toute la Création. C’était notre Volonté qui donne le mouvement à toute chose et se plaçait elle-même et toute la Création au service et à la disposition de cette nouveau-née.»

«C’est pourquoi la naissance de ma Volonté avec elle fut le commencement qui amena tous les autres prodiges à être centralisés en elle. Là où règne mon Fiat, il n’y a pas de bien qui ne soit présent, et il n’y a pas de prodige qui ne soit accompli. Il veut manifester son amour et sa puissance en formant sa vie opérante et la déposer autant qu’il est possible pour la créature de la contenir. Par conséquent, admire et rends grâce à notre Être suprême qui en est venu à tant d’amour pour cette nouveau-née, qu’Il a fait que notre Volonté, laquelle n’a ni commencement, ni fin, ni limites, a pu renaître en elle.»

Vol 31, 8 septembre 1932

Aujourd’hui, en baignant dans le divin Vouloir, mon pauvre esprit trouva en action la Conception de la Reine du ciel. Oh! quelles merveilles. Quelles surprises. On ne peut tout simplement pas les décrire. Et je me « Ma bienheureuse fille – oh! combien de choses encore j’ai à te dire sur la Conception de cette céleste Créature. C’est une vie que nous étions en train de créer pas une œuvre. Il y a une grande différence entre une œuvre et une vie. De plus, c’était une vie à la fois divine et humaine dans laquelle il devait y avoir une harmonie parfaite de sainteté, d’amour et de puissance qu’aucune autre vie ne pouvait égaler. Les merveilles que nous avons accomplies en créant cette vie étaient telles qu’il nous a fallu opérer le plus grand des prodiges – une chaîne de miracles – pour que cette vie puisse contenir tout le bien que nous déposions en elle.

Cette sainte Créature, conçue sans le péché originel, ressentait la vie de son Créateur – sa Volonté opérante qui ne fit rien moins que faire se lever de nouvelles mers d’amour. Oh! combien elle nous aimait. Elle pouvait nous sentir à l’intérieur et à l’extérieur d’elle-même. Oh! comme elle courait pour être partout et en tout lieu – là où était la vie de son Créateur. Cela aurait été pour elle le plus dur et le plus cruel des martyres que de ne pouvoir être partout avec nous pour nous aimer. Notre Volonté lui donnait des ailes, et notre vie, tout en restant en elle, se trouvait partout pour être aimée et jouir de celui qu’elle aimait tant et qui l’aimait en retour. »

Écoute maintenant une autre surprise. «Dès qu’elle fut conçue, elle commença sa course, et nous l’avons aimée d’un amour infini – ne pas l’aimer aurait été pour nous aussi le plus grand des martyres. En courant à l’extérieur à la recherche de notre vie qu’elle possédait déjà en elle – même – car un bien n’est jamais complet s’il n’est pas possédé en dedans comme en dehors –elle demeurait conçue dans le ciel et dans les célestes sphères dont les étoiles formaient sa couronne, en la louant et en la proclamant comme leur Reine. Et elle acquit les droits de Reine sur toutes les sphères célestes. Notre immensité l’attendait dans le soleil – et elle courut et fut conçue dans le soleil qui, devenant un diadème pour son adorable tête, la revêtit de sa lumière et la loua comme Reine de lumière.

Notre immensité est notre puissance l’attendaient aussi dans le vent, dans l’air, dans la mer– et elle courait et courait… sans jamais s’arrêter. Ainsi, elle demeura conçue dans le vent, dans l’air et dans la mer, en acquérant les droits de Reine sur toutes choses. La souveraine Dame fait couler sa puissance, son amour et sa maternité dans le ciel, dans le soleil, dans le vent, dans la mer et même dans l’air que chacun respire. Elle fut conçue partout…

Vol 35, 8 décembre 1937


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


LE SACRÉ CŒUR …Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Vendredi 11 Juin 2021 – Durée 31:00


Les 24h de la passion de notre Seigneur Jésus-Christ, 23ème Heure.

«Mon enfant, j’avais tout donné. Par ce coup de lance, j’ai voulu ouvrir dans mon Cœur un refuge pour toutes les âmes. Mon Cœur ouvert, criera continuellement à tous:« Si vous voulez être sauvés, venez à moi ! En moi vous trouverez la sainteté, le soulagement dans les afflictions, -la force dans la faiblesse, -la paix dans les doutes, la compagnie dans la solitude.

Ô âmes qui m’aimez: si vous voulez m’aimer vraiment, demeurez toujours dans ce Cœur. C’est ici que vous trouverez l’Amour vrai pour aimer et des flammes ardentes pour vous brûler et vous consumer d’Amour. Tout est concentré dans ce Cœur: c’est là que se trouvent -les sacrements, -la vie de mon Église, et -la vie de toutes les âmes. En lui, je ressens aussi -les profanations qui se font contre mon Église, -les intrigues de ses ennemis, les flèches qu’ils lui décochent, mes enfants qu’ils piétinent. Car il n’y a pas d’offense que mon Cœur ne ressente. Par conséquent, mon enfant, que ta vie soit en mon Cœur. Défends-le, répare toutes les offenses contre lui, conduis-y tous les gens.»

LES BLESSURES DU CŒUR DE JÉSUS.

Me trouvant dans mon état habituel, mon toujours aimable Jésus vint et me fit voir son adorable Cœur couvert de blessures sanglantes. Plein de chagrin, il me dit : «Ma fille, parmi toutes les blessures de mon Cœur, il y en a trois dont la douleur dépasse celle de toutes les autres ensemble. Il y a, en premier, les souffrances de mes âmes aimantes. Quand je vois une âme tout à moi souffrir à cause de moi, torturée, piétinée et prête à souffrir la plus douloureuse des morts pour moi, je ressens ses souffrances comme si elles étaient miennes, et peut-être plus encore. Ah ! l’amour peut faire naître les déchirures les plus profondes supplantant toute autre peine !

«Dans cette première blessure, ma Mère aimante occupe la toute première place. Oh ! combien son Cœur transpercé à cause de mes souffrances débordait dans le mien et combien mon Cœur ressentait toutes ses souffrances ! En la voyant mourir à cause de ma mort, quoique ne mourant pas, je ressentais dans mon Cœur l’âpreté de son martyre. Je ressentais la peine que lui causait ma mort et mon Cœur mourait avec le sien. Mes souffrances, unies à celles de ma Mère, surpassaient tout. Il était juste que ma céleste Maman ait la première place dans mon Cœur, autant du point de vue de la souffrance que du point de vue de l’Amour, parce que chaque douleur qu’elle ressentait à cause de son Amour pour moi faisait déborder de son Cœur des océans d’Amour.

«Dans cette blessure de mon Cœur entrent aussi toutes les âmes qui souffrent pour moi et uniquement pour moi ; tu entres dans cette blessure, de sorte que si tous m’offensaient et ne voulaient pas m’aimer, je trouverais en toi l’amour compensant pour chacun. Quand les créatures me chassent, je viens rapidement me réfugier en toi comme dans ma cachette. Trouvant là mon propre Amour, un amour souffrant uniquement pour moi, je ne regrette pas d’avoir créé le Ciel et la terre et d’avoir tant souffert. Une âme qui m’aime et souffre pour moi est mon réconfort, mon bonheur et ma récompense pour tout ce que j’ai fait. En oubliant presque tout le reste, je me réjouis et m’amuse avec elle.

«Cette blessure d’amour de mon Cœur, qui est la plus douloureuse de toutes, a deux effets simultanés : elle me donne à la fois une douleur extrême et une joie intense, une amertume inénarrable et une douceur indescriptible, une mort douloureuse et une vie glorieuse. Ce sont là les excès de mon Amour, incompréhensibles à l’esprit créé. Que de contentement mon Cœur n’a-t-il pas trouvé dans les douleurs de ma Maman transpercée !

«La deuxième blessure mortelle de mon Cœur est l’ingratitude. Par l’ingratitude, la créature bloque l’entrée de mon Cœur, en prend la clé et la ferme à double tour. Alors, mon Cœur se gonfle de chagrin parce qu’il voudrait déverser ses grâces et son Amour et qu’il ne le peut pas. Il devient fou et perd espoir que sa blessure soit guérie. L’ingratitude des âmes me donne une souffrance mortelle.

«La troisième blessure mortelle de mon Cœur est l’obstination. L’obstination détruit tout le bien que j’ai fait pour la créature. Par elle, la créature déclare ne plus me reconnaître et ne plus m’appartenir. Elle est la clé de l’enfer vers lequel l’âme se précipite. Devant l’âme obstinée, mon Cœur tombe en morceaux et je me sens comme si l’un de ces morceaux m’était arraché. Quelle blessure mortelle est l’obstination pour mon Cœur !

«Ma fille, entre dans mon Cœur et partage ces trois blessures avec moi. Réconforte mon Cœur déchiré et, ensemble, souffrons et prions.» J’entrai dans son Cœur. Comme il était à la fois douloureux et beau de souffrir et de prier avec Jésus !

Vol 12, 27 janvier 1919

QUE TOMBE CE VOILE SEIGNEUR! Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Jeudi 10 Juin 2021 – Durée 21:12.


Frères,
Aujourd’hui encore, quand les fils d’Israël lisent les livres de Moïse, un voile couvre leur cœur. Quand on se convertit au Seigneur, le voile est enlevé. Or, le Seigneur, c’est l’Esprit, et là où l’Esprit du Seigneur est présent, là est la liberté. Et nous tous qui n’avons pas de voile sur le visage, nous reflétons la gloire du Seigneur, et nous sommes transformés en son image avec une gloire de plus en plus grande, par l’action du Seigneur qui est Esprit.
2Co 3,15 +


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


TOUT EST ACCOMPLI ! Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Mercredi 9 juin 2021 – Durée 17:35


Pendant que je nageais dans l’amertume de sa privation, il se fit voir en moi affairé à écrire, non pas avec une plume, mais avec son doigt, lequel produisait des rayons de lumière qui lui servaient de plume pour écrire dans les profondeurs de mon âme. Je voulus lui parler, lui qui connaît tant de choses au sujet de ma pauvre âme mais, plaçant son doigt sur ses lèvres, il me fit comprendre que je devais garder le silence parce qu’il ne voulait pas être distrait.

Ensuite, il me dit : « Fille de ma Suprême Volonté, j’écris dans ton âme la loi de ma Volonté et sur le bien qu’elle procure. Je veux d’abord écrire dans ton âme puis, petit à petit, te donner des explications. » Je lui dis : « Mon Jésus, je voudrais te parler de l’état de mon âme. Oh ! comme je me sens mal ! Dis-moi pourquoi tu m’as laissée ? Que dois-je faire pour ne pas te perdre ? » Il me répondit : « Ne t’afflige pas, ma fille. Tu dois savoir que lorsque je suis venu sur la terre, je suis venu abolir les lois anciennes ou les perfectionner.

« Cependant, même si j’abolissais ces lois, je ne m’abstenais pas de les observer ; je les observais même plus parfaitement que les autres personnes. Ayant à concilier en moi l’ancien et le nouveau, je voulus tout observer de manière à donner aux anciennes lois leur achèvement en plaçant sur elles le sceau de leur remplacement et à présenter la nouvelle loi que j’étais venu instaurer sur la terre, une loi de grâce et d’amour par laquelle j’allais enfermer en moi tous les sacrifices, étant donné que j’allais être le seul et unique sacrifié. En conséquence, tous les autres sacrifices n’étaient plus nécessaires car, étant homme et Dieu, le mien était amplement suffisant pour satisfaire pour tous.

« Maintenant, fille bien-aimée, voulant faire de toi une image plus parfaite de moi et donner naissance à une nouvelle sainteté, toute noble et divine, et correspondant au que ta Volonté soit faite sur la terre comme au Ciel, je veux concentrer en toi tous les états intérieurs ayant existé jusqu’à maintenant sur les chemins de la sainteté. Et parce que tu les vis dans ma Volonté, je les complète, les couronne, les embellis et les scelle. Tout doit aboutir dans ma Volonté. Là où les anciennes saintetés s’arrêtent, la sainteté dans ma Volonté débute, faisant de toutes les autres saintetés son marchepied. « Donc, laisse-moi faire, laisse-moi répéter en toi ma vie et tout ce que je fis avec tant d’amour dans la Rédemption. (CEC 521). Avec plus d’amour encore, je veux répéter tout cela en toi pour amorcer les débuts de la connaissance de ma Volonté et de ses lois. Je veux que ta volonté soit unie à la mienne et dissoute en elle. »

Vol 16, 8 novembre 1923


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


VOUS ÊTES DES POINTS DE LUMIÈRE…Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Mardi 8 Juin 2021 / Durée 16:26


Ma fille, l’âme qui vit dans ma Volonté est le point lumineux dans le monde. Tout comme un soleil apparaît sous la voûte des cieux pour revêtir la terre de ses rayons et pénétrer toute chose, embellir, colorer, féconder la terre de sa vie de lumière, un autre soleil, plus beau et plus resplendissant peut être vu en ce point du monde c’est-à-dire dans l’âme où règne ma Divine Volonté; et ses rayons s’étendent jusqu’à embrasser tout le monde et toute chose. Comme ils sont beaux à voir du haut du Ciel ces points lumineux dans les profondeurs de la terre! Cela ne ressemble plus à la terre, mais au Ciel, car le Soleil de mon Fiat y est présent.

Ses rayons embellissent, fécondent et répandent une telle diversité de couleurs qu’ils communiquent les variétés de Beautés du Créateur avec sa vie de Lumière. Partout où ces points lumineux sont présents, le mal est arrêté; ma Justice elle-même se sent désarmée par la force de cette Lumière, et elle transforme les fléaux en grâces.

Ces points sont le sourire de la terre : leur lumière est annonciatrice et porteuse de paix, de beauté, de sainteté, de vie qui ne meurt jamais. Ils peuvent être appelés les points heureux de la terre, car en eux se trouve la Lumière qui ne faiblit jamais, la Vie qui toujours s’élève; tandis que là où ces points lumineux ne sont pas présents, la terre est obscure, et s’il se fait quelque bien, c’est comme ces petites lumières qui n’ont pas de rayons parce que la source de la lumière est absente de ce bien, et il n’a par conséquent ni la force ni la vertu pour s’étendre ou se répandre. Et comme la source est absente, ces lumières sont sujettes à s’éteindre et la terre demeure obscurcie, comme enterrée dans une obscurité épaisse, parce que la volonté humaine est annonciatrice et porteuse de maux, de troubles, de désordres et d’autres choses semblables.

Vol 24, 23 juillet 1928


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


EMBRASSONS TOUT AVEC LA JOIE DE LA FOI ! Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Lundi 7 Juin 2021 – Durée 11:23


Il n’y a pas d’autre chemin que celui-là. Néanmoins, ne le regardons pas sous le jour de la menace, mais sous le jour de l’amour. Ne disons pas : “ Malheur à moi si je ne fais pas ceci ! ” en restant tremblants dans l’attente du péché, que nous pensons inévitable. Mais disons : “ Bienheureux serai-je si je fais ceci ! ” Dans un élan de joie surnaturelle, joyeux, élançons-nous vers ces béatitudes qui naissent de l’observation de la Loi, comme les roses naissent dans un buisson épineux.

“ Bienheureux si je suis pauvre en esprit : le Royaume des Cieux est à moi !

Bienheureux si je suis doux : j’obtiendrai la terre en héritage !

Bienheureux si je suis capable de pleurer sans me révolter : je serai consolé !

Bienheureux si j’ai faim de justice, plus que du pain et du vin qui rassasient la chair : la Justice me rassasiera !

Bienheureux si je suis miséricordieux : la miséricorde divine s’appliquera à moi !

Bienheureux si je suis pur de cœur : Dieu se penchera sur mon cœur pur, et je le verrai !

Bienheureux si j’ai l’esprit de paix : Dieu m’appellera son fils ; car je serai dans la paix et l’amour, et Dieu est l’Amour qui aime ceux qui lui sont semblables !

Bienheureux si, par fidélité à la justice, je suis persécuté : pour me dédommager des persécutions de la terre, Dieu, mon Père, me donnera le Royaume des Cieux !

Bienheureux si je suis outragé et accusé à tort pour savoir être ton fils, ô Dieu ! Ce n’est pas la désolation, mais la joie que cela doit m’apporter, car cela me mettra au niveau de tes meilleurs serviteurs, les prophètes, qui furent persécutés pour la même raison et avec lesquels je crois fermement que je partagerai la même récompense, grande, éternelle, dans le Ciel qui m’appartient ! ”

Tel est le regard que nous devons porter sur le chemin du salut, à travers la joie des saints

« Ce qui a contribué en tout premier lieu à te justifier est mon amour. Combien de tests ne t’a-t-il pas fait subir dans le but d’être sûr de ton amour ? En second lieu, ce fut la croix qui t’éprouva sévèrement, au point que ma Volonté, guidée par mon amour et par la croix, descendit en toi et te fit vivre en elle. Ma Volonté, jalouse, ne voulait pas être en reste avec mon amour et la croix et, ainsi, elle se retira pour voir si tu allais continuer à voler dans ma Volonté sans moi. »

Vol 16, 21 septembre 1923

« Mais sais-tu qui, au Ciel, participe le plus à cette nouveauté continuelle qui ne s’épuise jamais ? La personne qui a pratiqué le plus de bien sur la terre. Ce bien est comme la semence qui lui apporte la connaissance des béatitudes, des joies, de la beauté, de l’amour, de la bonté, etc. Suivant le bien qu’elle a pratiqué sur la terre, en harmonie avec nos diverses béatitudes, elle s’approche de nous et se remplit à grosses gorgées de cette béatitude dont elle porte la semence, au point de déborder. Elle participe à tout ce que le cercle d’éternité comporte, elle en est remplie en accord avec les semences acquises sur terre.

Cela arrive comme à quelqu’un qui a appris la musique, ou un métier, ou une science. Lorsque la musique est jouée, plusieurs écoutent et prennent plaisir ; mais qui comprend, ressent toutes ces notes de joie ou de tristesse envahir son intelligence et descendre dans son cœur, se sent tout pénétré par les scènes que cette musique évoque ? Celui qui a étudié, qui a travaillé dur pour apprendre. Les autres prennent plaisir mais ne comprennent pas ; leur plaisir est dans ce qui résonne à leurs oreilles, mais leur intérieur reste vide. Il en va ainsi pour celui qui a étudié les sciences. Qui en profite le plus ? Est-ce celui qui a étudié et appliqué son intelligence à bien comprendre ou celui qui n’a fait que regarder ? Celui qui a étudié peut en tirer un juste profit, il peut occuper différents postes, tandis que l’autre peut seulement se contenter de voir des choses concernant les sciences. Il en va ainsi pour toutes les autres choses.

Vol 16, 2 février 1924


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


MON SEIGNEUR ET MON DIEU ! Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Dimanche 6 Juin 2021 – Fête du Très Saint-Sacrement – Durée 34:15.


En entendant cela, je me disais : « Il va finir par me dire que vivre dans sa Volonté est plus grand que la communion elle-même.»

Il poursuivit : « Bien sûr, bien sûr, car la communion sacramentelle dure quelques minutes alors que la vie dans ma Volonté est une communion perpétuelle, plus encore, une communion éternelle : elle se prolonge éternellement dans le Ciel. La communion sacramentelle peut rencontrer des obstacles : par exemple, on peut ne pas pouvoir communier à cause de la maladie ou pour d’autres raisons, ou encore celui qui doit l’administrer peut-être indisposé. La communion dans ma Divine Volonté n’est sujette à aucun empêchement, il suffit que l’âme la veuille et c’est fait. Personne ne peut empêcher l’âme d’obtenir ce si grand bien, lequel constitue le bonheur de la terre et du Ciel : ni les démons, ni les créatures, ni même mon omnipotence elle-même. L’âme est libre, personne n’a de droits sur elle et ne peut l’empêcher de vivre dans ma Volonté. C’est pourquoi je fais la promotion de ma Volonté et veux tant que les créatures l’acceptent. C’est la chose qui m’importe le plus, que je chéris le plus. Toutes les autres choses ne m’intéressent pas autant, même les plus saintes. Et quand j’obtiens que l’âme vive dans ma Volonté, je triomphe parce que c’est ce qu’il y a de plus grand dans le Ciel et sur la terre. »

Vol 9, 23 mars 1910

Pourquoi Jésus reste dans les tabernacles?

Ma bonne fille, ma première prison fut l’Amour. Il m’emprisonna si bien que Je n’avais même pas la liberté de respirer, de palpiter ou d’œuvrer si ces deux n’étaient pas emprisonnés dans mon Amour. Par conséquent, mon amour m’emprisonnait dans le Tabernacle, mais avec raison et une très haute Sagesse Divine. Tu dois savoir que les chaînes de mon Amour m’ont fait quitter le Ciel durant mon Incarnation. Je suis descendu sur la terre à la recherche de Mes enfants, de Mes frères et de Mes sœurs, afin de former pour eux, avec mon Amour, des prisons d’amour pour rendre leur fuite impossible. Mais en partant, Je continuais à rester au Ciel puisque mon Amour – étant Ma prison – Me gardait dans les Célestes Régions.

Ayant rempli mon Ministère ici-bas, Je suis remonté au Ciel tout en demeurant emprisonné dans chaque petite Hostie Sacramentelle. Sais-tu pourquoi? Parce que mon Amour, mon doux emprisonnement, Me disait : « Le dessein pour lequel Tu es descendu du Ciel sur la terre n’est pas accompli. Où est le Royaume de notre Volonté? Il n’existe pas et n’est pas connu. Demeure Prisonnier dans chaque Hostie Sacramentelle, ainsi il n’y aura pas seulement un Jésus, comme dans notre Humanité, mais un Jésus pour chaque Hostie Sacramentelle.

Dans une furie d’amour, tes nombreuses Vies seront un chemin vers la Divinité ainsi que dans chaque cœur qui Te recevra. Ces Vies auront un petit mot à dire pour faire connaître notre Volonté parce que, lorsqu’elles descendront dans chaque cœur, Elles ne seront pas muettes, mais parleront de notre Fiat dans le secret de leur cœur. Tu seras le porteur de notre Royaume. » J’ai reconnu que les demandes de mon Amour étaient justes et j’ai accepté de rester sur terre afin de former le Royaume de ma Volonté – jusqu’au complet accomplissement de l’œuvre.

En partant pour le Ciel tout en demeurant sur terre, ma Vie répandue en de nombreuses Hosties Sacramentelles ne sera pas inutile. Je formerai le Royaume de ma Volonté. Je ne serais jamais resté si Je savais que Je n’obtiendrais pas ce que Je désire; d’autant plus que cela est pour Moi un sacrifice plus grand que celui de Ma vie mortelle. Combien de larmes secrètes, combien de soupirs amers au milieu des flammes d’un amour dévorant! Je voudrais dévorer toutes les âmes dans mon Amour pour que celles qui vont vivre dans mon Divin Vouloir renaissent à une Vie nouvelle. Ce Royaume viendra du centre de mon Amour. Il brûlera le mal de la terre en s’armant de son Omnipotence; victoire après victoire, Il obtiendra notre Règne au milieu des créatures pour le leur donner.

Vol 35, 24 janvier 1938


ÊTRE MISSIONNAIRE DE LA DIVINE VOLONTÉ

 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


LE SACRIFICE DE NOTRE VOLONTÉ, Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Samedi 5 juin 2021..Durée 26:09


Ma fille, pour entrer dans mon Vouloir il n’y a ni chemin, ni porte, ni clef, parce que mon Vouloir se trouve partout, il courre sous les pieds, à droite, à gauche et au dessus de la tête, partout ; pour y entrer, la créature ne doit rien faire d’autre que d’enlever le petit caillou (pietruccia) de sa volonté, car sans cela même si elle est dans ma Volonté, elle ne peut jouir de ses effets, et devient comme une étrangère dans ma Volonté, car le petit caillou de sa volonté empêche ma Volonté de courir en elle, de la même manière que les pierres du rivage empêche les eaux d’aller où elles veulent.

Mais si l’âme enlève le petit cailloux de sa volonté, à ce même instant elle courre [sa volonté] en moi et moi en elle, et trouve tous mes biens à sa disposition, la force, la lumière, de l’aide, ce qu’elle veut. Voilà, car dans ma Volonté il n’y a ni porte, ni clef, il suffit de vouloir et tout est fait, mon Vouloir se charge de tout et donne ce qui lui manque, il l’a fait s’étendre jusqu’au confins interminables de ma Volonté. C’est tout le contraire pour les autres vertus, de combien d’efforts elles ont besoin, de combats, que de longs chemins, et juste quand la vertu commence lui sourire survient une passion un peu violente, une tentation, une rencontre inattendue, qui la jettent en arrière et lui font de nouveau commencer le chemin.

Vol 12, 16 février 1921

Je me demande pourquoi Jésus est si intéressé à ma volonté pour me donner la Sienne en échange? C’est moi qui en profite. En ayant une Divine Volonté en mon pouvoir, je possède et enferme toute chose en moi, et même Dieu lui-même. Mais la chose la plus étonnante c’est qu’en échange pour tout cela, Il veut ma volonté. À quoi peut Lui servir cette faible et insignifiante volonté qui peut seulement produire plus de mal que de bien? Il est évident que Jésus ne comprend pas la valeur exacte de ce qu’Il donne comparé à ce qu’Il reçoit en échange. Pourvu qu’Il obtienne ce qu’Il veut, Il ne tient pas compte du fait que ce soit peu ou rien en comparaison de la valeur de ce qu’Il a donné. Mais c’est à cela que l’on voit que cet amour est un amour vrai. » Mon esprit était plongé dans ces bêtises lorsque je vis Jésus qui écoutait attentivement mes idioties; Il semblait heureux et Il me dit :

Ma bienheureuse fille, Je n’aurais jamais rien à donner à la créature si Je devais considérer qu’elle peut Me donner quelque chose, parce que pour commencer, tout ce qu’une créature peut Me donner lui a déjà été donné par Moi.

Aussi, en Me donnant, elle ne peut rien Me donner d’autre que ce qui est à Moi. Par conséquent, mon Amour Me fait toujours agir sans tenir de compte. Tenir des comptes avec les créatures serait restreindre mon Amour et perdre la liberté de donner librement ce que Je veux aux créatures. Ce serait difficile. De plus, pour vous donner ma Divine Volonté il est nécessaire que vous Me donniez la vôtre parce que deux volontés ne peuvent régner dans un cœur. Ils seraient en guerre et votre volonté serait un obstacle à la Mienne qui ne serait pas libre de faire ce qu’Elle veut.

Et Moi, pour que ma Volonté soit libre, j’insiste toujours pour que vous Me donniez la vôtre. Mais ce n’est pas tout! Tu dois savoir que ta volonté est faible, insignifiante, mais lorsqu’elle vient entre mes Mains Créatrices et Transformantes, elle change d’aspect. Je la rends puissante, Je lui donne Vie, Je mets en elle le mérite qui produit le bien et Je l’utilise afin de ne pas la laisser oisive. Je deviens le Céleste Jardinier qui travaille dans le champ de ta volonté et j’en fais un magnifique champ de fleurs et le jardin de Mes délices.

Vol 31, 22 janvier 1933


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


ÉCOUTONS JÉSUS AVEC PLAISIR ! Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Vendredi 4 Juin 2021 / Durée 22:08


Ma fille, chaque fois que je te parle, je veux ouvrir une petite fontaine dans ton cœur. Pour tous, mes paroles veulent être des fontaines jaillissant en vie éternelle. Mais, pour que se forment ces fontaines dans ton cœur, tu dois faire ta part, c’est-à-dire bien mastiquer mes paroles pour les avaler et ouvrir la fontaine en toi. En pensant constamment aux paroles que je te dis, tu les mastiques ; en les répétant à ceux qui ont autorité sur toi et en étant assurée que ces paroles sont de moi, tu les dévores et ouvres la fontaine en toi.

« Quand ce sera nécessaire, tu t’abreuveras par grandes lampées à la fontaine de ma Vérité. En écrivant les mots que je te donne, tu ouvres des canaux qui serviront à tous ceux qui voudront se rafraîchir pour ne pas mourir de soif. Mais si tu ne communiques pas ces mots, tu n’y penseras pas ; en ne les mastiquant pas, tu ne pourras les dévorer et tu cours le risque que la fontaine ne soit pas formée en toi et que l’eau ne jaillisse pas. Quand tu sentiras le besoin de l’eau, la première à souffrir de la soif sera toi. Si tu n’écris pas et, conséquemment, n’ouvres pas les canaux, de combien de bonnes choses priveras-tu les autres ? »

Pendant que j’écrivais, je me disais : « Ça fait quelque temps que mon doux Jésus ne m’a pas parlé de sa très sainte Volonté. Je me sens plus portée à écrire à son sujet ; j’y sens plus de plaisir, comme si elle était mon exclusivité. Sa Volonté me suffit pour tout. »

Venant vers moi, mon Jésus au cœur toujours tendre me dit : « Ma fille, ne sois pas étonnée si tu es plus encline à écrire concernant ma Volonté et que tu y trouves plus de plaisir parce qu’entendre, parler ou écrire au sujet de ma Volonté est la chose la plus sublime qui puisse exister sur la terre et au Ciel. C’est ce qui, à la fois, me glorifie le plus, comprend toute bonne chose et toute sainteté.

Vol 13, 13 octobre 1921

 » Ma fille, le fait de désirer un bien, de vouloir le connaître, purge l’âme préparant l’intelligence à le comprendre, sa mémoire à s’en rappeler, et sa volonté sent son appétit s’ouvrir afin de l’obtenir, pour en faire sa nourriture et sa vie, poussant Dieu à lui donner ce bien et à le faire connaître. En fait, le désir d’un bien, de le connaître, est comparable à l’appétit par rapport à la nourriture et, grâce à lui, on sent le goût, on mange avec plaisir en étant satisfait d’avoir pris cette nourriture et espérant pouvoir à nouveau en déguster; si par contre, on manque d’appétit, cette même nourriture tellement appréciée par une personne, sera nauséabonde pour une autre, pouvant presque provoquer de la souffrance. Le désir de l’âme, est tel l’appétit, et Moi, voyant que le désir envers mes choses est comparable à son goût, jusqu’à en faire nourriture et vie,

Je donne abondamment, ne me lassant jamais de donner. Par contre, celui qui ne le désire pas, manquant d’appétit, il éprouvera de la nausée envers mes choses et, comme dit l’évangile:  » Il sera donné à celui qui possède et il sera enlevé le peu qu’il possède à celui qui n’apprécie pas mes biens, mes vérités, les choses célestes . » Juste sentence pour celui qui ne désire, n’apprécie, ne veut rien savoir des choses qui m’appartiennent et, s’il possède quelque petite chose, il est juste qu’on la lui enlève pour la donner à ceux qui en ont beaucoup. »

Vol 19, 3 septembre 1926


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


AIMER COMME ÇA ? C’EST FOU ! Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Jeudi 3 Juin 2021 – Durée 20:15


Luisa, tu es mon Paradis sur terre et ton amour me rend heureux».

Moi : « Jésus, mon amour, que dis-tu ? Tu te ris de moi ? Tu es déjà heureux par Toi-même, pourquoi dis-tu l’être grâce à moi ?»

Lui : « Écoute-moi bien, ma fille, et tu comprendras ce que j’ai voulu dire. C’est mon cœur qui donne vie à toute chose ; toutes les créatures sont semblables à des cordes sortant de mon cœur à qui je donne la vie et, de ce fait, tout ce qu’elles font, mon cœur le ressent, jusqu’au moindre petit mouvement ; par conséquent, s’ils font le mal, s’ils ne m’aiment pas, ils me maltraitent et leurs cordes me renvoient des sons de chagrins, d’amertumes et de péchés ; ces sons lugubres me rendent malheureux puisque ces cordes là, ces vies sortent de MOI.

Vol 10, 8 février 1911

Dieu créa l’homme pour qu’il lui tienne compagnie.

Poursuivant dans mon état habituel, je m’unissais à Jésus, le priant de me tenir compagnie. Bougeant en mon intérieur, il me dit : «Ma fille, si tu savais à quel point j’aime la compagnie des créatures ! Quand j’ai créé l’homme, j’ai dit : “Il n’est pas bon que l’homme soit seul, créons une autre créature semblable à lui pour lui tenir compagnie, afin qu’ils soient la joie l’un de l’autre.” Avant de créer l’homme, je me suis dit à moi-même des paroles semblables : “Je ne veux pas être seul; je veux des créatures pour me tenir compagnie, pour que je puisse me réjouir avec elles, pour qu’elles puissent partager mon bonheur. Avec elles, je donnerai libre cours à mon Amour.” C’est pour cela que j’ai fait les créatures à ma ressemblance.

«Quand leur intelligence pense à moi, elles tiennent compagnie à ma sagesse. Si leur regard se porte vers moi ou vers les choses créées pour m’aimer, je sens la compagnie de leur regard.

Si leur langue prie ou enseigne ce qui est bien, je sens la compagnie de leur voix. Si leur cœur m’aime, je sens la compagnie de leur amour, etc. Mais, si les créatures font l’opposé, je me sens seul, comme un roi destitué.

Hélas ! combien me laissent seul et m’ignorent !»

Vol 12, 24 janvier 1920

Une volonté libre…

Ma fille, une volonté qui ne m’aime pas librement, mais par force, dit qu’il existe une distance entre la créature et le Créateur; elle dit esclavage et servitude; elle dit dissemblance. Au contraire, une volonté libre qui fait la Mienne dit qu’il y a union entre l’âme et Dieu. Elle dit filiation, et ce qui est à Dieu est aussi à l’âme. Elle dit qu’il y a similitude de Sainteté et d’Amour, de telle sorte que ce que l’un fait, l’autre le fait aussi, et que là où l’un peut se trouver, on y voit l’autre également. J’ai créé l’homme afin qu’il puisse recevoir ce grand honneur qui est digne d’un Dieu. Je ne sais que faire d’une volonté qui est forcée de m’aimer et de se sacrifier. Je ne la reconnais même pas et elle ne mérite aucune récompense. C’est pour- quoi tous Mes regards se portent sur l’âme qui spontanément vit avec sa volonté dans la Mienne. Un amour forcé appartient aux hommes, et non à Dieu, car les hommes se contentent des apparences et ne descendent pas dans les profondeurs où est l’or de la volonté pour y trouver un amour sincère et loyal.

Vol 21, 3 avril 1927


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


POUR COMPRENDRE IL FAUT ÊTRE VIVANT ! Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Mercredi 2 Juin 2021 – Durée 18:25.


Ma fille, toutes mes Œuvres se soutiennent les unes les autres. Et le signe qu’elles sont mes Œuvres, c’est que l’une ne s’oppose pas à l’autre. Elles sont tellement reliées entre elles que l’une s’appuie sur l’autre. Cela est si vrai qu’après avoir formé Mon peuple élu, d’où devait naître le Messie annoncé, j’ai formé les Prêtres dans ce même peuple pour instruire et préparer au grand Bien de la Rédemption. Je leur ai donné des lois, des manifestations et des inspirations qui ont constitué les Saintes Écritures, que l’on appelle la Bible, et chacun s’appliquait à l’étudier. C’est pourquoi avec Ma venue sur terre Je n’ai pas détruit, mais plutôt soutenu les Saintes Écritures. Et mon Évangile annoncé ne s’opposait en rien aux Écritures; les deux se soutenaient admirablement. Je formais l’Église naissante et le nouveau Sacerdoce qui ne se détachent ni des Saintes Écritures ni de l’Évangile. On les étudiait attentivement pour instruire le peuple, et l’on peut dire que quiconque ne veut pas puiser à cette Source bienfaisante ne M’appartient pas, car elle est le fondement de mon Église et la vie même qui forme le peuple.

Or ce que Je manifeste sur ma Divine Volonté et que tu écris peut être appelé « l’Évangile du Royaume de la Divine Volonté ». Il ne s’oppose en rien aux Saintes Écritures ni à l’Évangile que J’ai annoncé lorsque J’étais sur terre; en fait, on peut l’appeler le soutien des deux. C’est pourquoi Je permets et demande aux Prêtres de venir, qu’ils lisent l’Évangile du Royaume de mon Divin Fiat pour que Je puisse leur dire comme à mes Apôtres : « Allez dans le monde entier prêcher l’Évangile », car Je me sers de mes Prêtres dans mes Œuvres. Et tout comme j’avais des Prêtres avant Ma venue pour préparer le peuple, et les Prêtres de mon Église pour confirmer Ma venue et tout ce que J’ai dit, J’aurai aussi les Prêtres du Royaume de ma Volonté. Voici, c’est à cela que serviront toutes les choses que Je t’ai manifestées, toutes les Vérités surprenantes, et les promesses de tant de Biens que Je veux accorder aux enfants du “Fiat Voluntas Tua” (Que Ta Volonté soit faite); ce sera l’Évangile, la base, la Source inépuisable où chacun viendra puiser la Vie Céleste, le bonheur terrestre et la restauration de sa Création. Oh! Combien seront heureux ceux qui viendront avidement boire à grandes gorgées à ces sources de Connaissances, car elles ont la vertu d’apporter la Vie du Ciel et de bannir toute tristesse.

Vol 23, 18 janvier 1928

 

Ma fille bien-aimée, qui vint me voir dans la grotte de ma naissance ? Les bergers furent mes premiers visiteurs et les seuls à faire des allées et venues m’offrant des cadeaux et des petites choses à eux, les premiers au courant de ma venue au monde, et par conséquent, les premiers favoris à recevoir ma grâce. Voilà pourquoi je choisis toujours des personnes pauvres, ignorantes, abjectes, et j’en fais des merveilles de la grâce, car ce sont toujours les plus disposées, les plus à l’écoute et à croire en moi sans créer de difficultés et en n’étant pas aussi pointilleux que le sont les personnes cultivées.

Ensuite ce furent les mages; mais aucun prêtre ne me rendit visite alors qu’ils auraient dû être les premiers à m’entourer, du fait qu’ils connaissaient plus que tout autre, d’après les écritures qu’ils étudiaient, la date et le lieu et il leur aurait été aisé de venir me rendre visite, mais personne ne se déplaça, au contraire, bien qu’ils aient indiqué le chemin aux mages, eux-mêmes ne bougèrent ni se dérangèrent pour aller en quête de ma venue.

Ce fut une grande douleur à Ma naissance, une amère souffrance car, ces prêtres-là étaient tellement attachés à la richesse, à la famille, au profit et aux choses extérieures qu’ils en étaient aveuglés et leur cœur s’était endurci et leur intelligence était devenue stupide, incapable de reconnaître les vérités les plus sacro-saintes, les plus certaines. Ils étaient tellement bloqués dans les bassesses de la terre qu’ils n’auraient jamais cru possible qu’un Dieu puisse venir sur terre dans autant de pauvreté et d’humiliation.

Et non seulement à ma naissance mais aussi tout au long de ma vie, et lorsque je faisais des miracles prodigieux, personne ne me suivit, au contraire, ils tramèrent ma mort en me tuant sur la croix.

Vol 10, 25 décembre 1910


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 LA DIVINE VOLONTE – P. Duten


 

LA MISSION DE FAIRE CONNAÎTRE LA DIVINE VOLONTÉ…Par le Père Dominique Duten dans la Divine Volonté, Mardi 1er Juin 2021 // Durée 17:30.


Tome 20, 6 novembre 1926

Après avoir tout fait, et n’ayant plus rien d’autre à faire, j’ai tout confié aux Apôtres afin qu’ils puissent être les annonceurs du Royaume de Rédemption et que les fruits des œuvres que j’ai accomplies pour le Royaume de Rédemption puissent venir. La même chose se passera pour le Royaume du Fiat suprême. Nous le ferons ensemble, ma fille.

Tes souffrances, tes longs sacrifices, tes incessantes prières pour que mon Royaume puisse venir bientôt, et mes manifestations concernant ce Royaume – j’unirai tout cela avec moi pour en faire les fondations. Et lorsque tout sera terminé, je confierai mon Royaume à mes ministres afin que, tels des seconds apôtres du Royaume de ma Volonté, ils puissent en être les annonciateurs. Crois-tu que la venue du Père di Francia, qui témoigne tant d’intérêt et qui a pris à cœur la publication de ce qui concerne ma Volonté, soit arrivée par hasard ? Non, non – je l’ai moi-même organisée. C’est un acte providentiel de la suprême Volonté qui le veut comme premier apôtre et programmateur du divin Fiat.

Et comme il se trouve être le fondateur d’un ordre, il est plus facile pour lui de contacter les évêques, les prêtres et les gens, et également dans son propre institut, afin de proclamer le Royaume de ma Volonté. C’est pourquoi je l’aide tellement et que je lui donne une lumière spéciale, parce que pour comprendre ma Volonté, il faut de grandes grâces – pas de petites lumières, mais un soleil pour comprendre une Volonté divine, sainte et éternelle, de même qu’une grande disposition de la part de celui à qui est confié cette charge. C’est moi également qui ai organisé la venue quotidienne du prêtre afin de pouvoir trouver rapidement les premiers apôtres du Fiat de mon Royaume, et qu’ils puissent proclamer ce qui concerne ma Volonté éternelle. Par conséquent, laisse-moi terminer afin que, lorsque j’aurai fini, je puisse tout confier aux nouveaux apôtres de ma Volonté ; et tu pourras venir au ciel, et voir de là-haut les fruits du Royaume tant attendu du Fiat éternel.

Tome 22, 17 juin 1927

Luisa : Après quoi je me suis retrouvée en dehors de moi-même, et en cherchant mon doux Jésus, j’ai rencontré le père Di Francia. Il était tout joyeux et il me dit :

Sais-tu combien de magnifiques surprises j’ai trouvées ? Je ne pensais pas qu’il en serait ainsi lorsque j’étais sur terre, même si je pensais avoir bien agi en publiant Les Heures de la Passion. Mais les surprises que j’ai trouvées sont merveilleuses, ravissantes, d’une rareté encore jamais vue ; tous les mots de la Passion de Notre Seigneur se sont transformés en lumières, toutes plus belles les unes que les autres – toutes entrelacées ; et ces lumières s’intensifient à mesure que les créatures font Les Heures de la Passion, de sorte que d’autres lumières s’ajoutent aux premières.

Mais ce qui m’a le plus étonné, ce sont les quelques commentaires que j’ai publiés concernant la Divine Volonté : chaque commentaire est devenu un soleil, et ces soleils, revêtant de lumières leurs rayons, forment un tel émerveillement de beauté que l’on en demeure ravi, enchanté. Tu ne peux imaginer ma surprise en me retrouvant au milieu de ces lumières et de ces soleils – à quel point j’étais heureux ; et je remerciais notre Dieu Très-Haut, Jésus, qui m’avait donné l’occasion et la grâce de faire cela. Toi aussi, remercie le pour moi.


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VISITE NOTRE MAISON ET NOTRE CŒUR VIERGE MARIE ! Par les Pères Jean-Jacques et Dominique Duten…Lundi 31 Mai 2021 / La Visitation dans la Divine Volonté..Durée 10:56


« Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle. » Saint Luc (1,39-56)

« Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle […] Jean fit un tel soubresaut d’amour et de joie qu’Élisabeth en fut secouée. »

La Reine du Ciel dans le Royaume de la Divine Volonté, appendice 1

« Ma fille, donne-moi ta main et suis-moi pendant que je vais continuer à te donner mes leçons. Accompagnée de saint Joseph, j’ai quitté Nazareth pour me rendre en Judée, affrontant un long voyage à travers les montagnes pour visiter Élisabeth qui, malgré son âge avancé, était miraculeusement devenue maman. Je me rendais chez elle, non pas simplement pour lui rendre visite, mais surtout parce que je brûlais du désir de lui apporter Jésus. La plénitude de grâces, d’amour et de lumière que je ressentais me poussait à porter et à multiplier au centuple la vie de mon Fils chez les créatures. Oui, ma fille, l’amour maternel que j’avais pour tous les hommes — et pour toi en particulier — était tellement grand que je sentais l’extrême besoin de donner mon cher Jésus à tous, afin que chacun puisse le posséder et l’aimer. Le statut de Mère qui m’avait été accordé par le Fiat me conférait le pouvoir de multiplier Jésus autant de fois qu’il y a de créatures désirant le recevoir.

C’était le plus grand des miracles que je pouvais accomplir : donner Jésus à qui le désirait. Comme j’étais heureuse et comme j’aimerais que toi aussi, ma fille, en approchant et visitant les gens, tu sois porteuse de Jésus et impatiente de le faire connaître et aimer ! Après plusieurs jours de voyage, nous sommes finalement arrivés en Judée où je me suis hâtée vers la maison d’Élisabeth. Elle m’a saluée le coeur en fête. Avec les souhaits que je lui ai donnés, un phénomène merveilleux s’est produit : mon petit Jésus exulta dans mon sein et, fixant le petit Jean dans le sein de sa maman avec les rayons de sa Divinité, il le sanctifia, lui donna l’usage de sa raison et lui révéla qu’il était le Fils de Dieu. Jean fit un tel soubresaut d’amour et de joie qu’Élisabeth en fut secouée. Touchée par la lumière de la Divinité de mon Fils, elle comprit, elle aussi, que j’étais devenue la Mère de Dieu et, dans l’ardeur de son amour, pleine de reconnaissance, elle s’exclama : « D’où me vient cet honneur que la Mère de mon Seigneur vienne me visiter ? » Je ne niai pas ce très grand mystère.

Au contraire, je le confirmai humblement en exaltant Dieu par le sublime cantique du Magnificat que l’Église utilise encore pour m’honorer. Par ce cantique, je disais que le Seigneur avait fait de grandes choses en moi, sa servante, et que tous les âges allaient me dire bienheureuse. Ma fille, je me sentais dévorée par le désir de répandre les flammes d’amour qui me consumaient, de révéler mon secret à Élisabeth qui désirait ardemment elle aussi la venue du Messie. Un secret est un besoin du coeur que l’on révèle irrésistiblement aux personnes capables de nous comprendre. Qui pourrait dire tout le bien que ma visite apporta à Élisabeth, à Jean et à toute leur maison ? Chacun fut sanctifié, connut des joies inhabituelles et comprit des choses extraordinaires. Jean reçut toutes les grâces nécessaires pour le préparer à devenir le précurseur de mon Fils.

Ma chère fille, la Divine Volonté accomplit des choses extraordinaires partout où elle règne. Si je fis plusieurs prodiges, c’était parce que la Divine Volonté avait sa place royale en moi. Toi aussi, si tu laisses la Divine Volonté régner dans ton âme, tu deviendras porteuse de Jésus aux créatures, tu sentiras le besoin irrésistible de le donner à tous. »


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