Jésus explique :
Mais l’enfant qui, devant son jugement, choisit de ne pas résister aux attaques des esprits impurs :
• celui-là est une victime de Satan qui lui fait goûter à son pouvoir : le mal qu’il a en lui.
• Il ne peut percevoir ce qui l’a poussé à faire ce qui était contre lui : le mal est son esprit obscurci.
• Il ne veut pas savoir que le bien était en lui : le mal est son entêtement.
• Il ne veut pas se voir tel qu’il était : le mal est son aveuglement.
• Il ne peut pas comprendre pourquoi il avait de la haine en lui : le mal est son désespoir.
• Il refuse l’amour de Dieu, il se sent affaibli par l’amour : le mal est sa puissance.
• Il ne veut pas se regarder comme un enfant voulu de Dieu : le mal est son refuge.
• Il voit sa culpabilité devant son prochain : le mal est son accusateur.
• Il ne peut concevoir qu’il est le seul à avoir des torts, et pas Dieu : le mal est son orgueil.
• Il ne croit pas en la miséricorde de Dieu : le mal est son amertume.
• Il rejette tout ce qui touche à l’existence d’un Dieu créateur : le mal est sa prétention.
• Il est dans son raisonnement, pas dans l’évidence : le mal est sa conception.
• Il sait qui il est, et cela lui suffit : le mal est sa fatalité.
• Il se détourne de lui-même pour ne pas souffrir davantage : le mal est sa fuite.
• Il ne croit pas qu’il a été créé à l’image de Dieu : le mal est sa préférence.
• Il dépense ses forces à se défendre contre ce qui le gruge : le mal est sa colère.
• Il accuse Dieu de l’avoir laissé dans ses conséquences : le mal est son juge.
• Il se sent piégé : le mal est sa prison.
• Il est devant son choix : la vie éternelle ou la mort éternelle.
• Le Prince des ténèbres s’acharne à lui démontrer qu’il n’est aux yeux de tous les vivants qu’un être d’aucune valeur : Satan est son ennemi.
Au moment de sa mort terrestre, c’est avec ce qui est en lui qu’il se présente pour son jugement. À l’instant où la vie le quitte, il se retrouve devant sa vie, tel qu’il était à l’instant auparavant : c’est avec ce qu’il a en lui qu’il choisira où il veut être éternellement.
Par exemple, s’il n’a pas la foi, Satan use de son pouvoir sur lui pour le maintenir dans son manque de foi, parce que sur la terre et maintenant devant son jugement, cet enfant ne croit pas en la Parole de Dieu. Dieu lui montre sa vie : il voit ses bons actes de vie et ses mauvais actes de vie. Les bons sont lumineux, les mauvais sont sales et nauséabonds : Dieu lui fait connaître que ses péchés sont tous purifiés et pardonnés au moment de sa mort sur la Croix.
Dieu veut son regret, il l’aime tellement qu’il déploie sur lui sa miséricorde : une grande lumière se montre, et, dans cette lumière, c’est l’amour inconditionnel que Dieu a pour lui.
Le présent est devant lui : « Aujourd’hui, je te donne la force de croire en moi. C’est par amour que j’ai donné des lois afin de préserver ta vie qui est éternelle. Ma mort sur la Croix est l’Acte qui a purifié tous tes péchés ; ils n’existent plus, mais c’est à toi d’y croire. Croire en moi, c’est croire que tu es éternel. Tu n’as qu’à regretter tes fautes, et cela fait de toi un enfant sauvé de la mort éternelle. Croire en moi est un gage d’amour en ta vie éternelle.
« Vois comme je t’aime et vois comme tes frères et tes sœurs qui ont accepté mon Acte d’amour t’aiment. Tu fais partie de ma Vie, comme eux font partie de ma Vie ; c’est pourquoi je t’ai envoyé sur la terre afin qu’ensemble vous viviez, par amour, la vie que j’ai déposée en chacun de vous. Mon amour est ma loi ; vois par toi-même, il n’y a que de l’amour dans les lois de mon Père : malgré tes refus à ne pas suivre ses lois, il ne t’a jamais laissé sans l’amour, car l’amour était dans ton quotidien.
Partout, tu pouvais voir l’amour à travers un bonjour, un sourire, un jour de pluie ou de soleil, des moissons abondantes, le courage d’un enfant orphelin : rappelle-toi, l’amour, c’est en toi ! Sur la terre, je ne t’ai pas forcé à m’écouter, mais à cet instant, je te supplie d’écouter l’amour qui est toi-même.
Tu es mon enfant, je suis ton Dieu. Reconnais qui tu es, et manifeste-toi de l’amour par un seul regret, le reste viendra. Crois en ma miséricorde, et tu seras heureux éternellement. »
Il est grand le danger qui guette l’enfant qui a refusé de croire totalement en tout ce qui concerne Dieu, car Satan n’attendra pas sa réponse finale : il le troublera ; il sait qu’il n’a pas la foi, puisque ce sont ses attaques qui l’ont maintenu dans son manque d’amour envers Dieu. L’enfant, par son comportement devant la grâce du pardon laisse prévoir sa réponse : l’amour de Dieu pour lui le rend froid, car devant cet élan d’amour rien ne sort de lui.
En son intérieur, il refuse d’être l’amour. Son refus de reconnaître qu’il est l’amour vient de ce qu’il sait maintenant : Dieu est l’Amour et l’amour n’est qu’en Dieu. Satan lui fait remarquer que tout être qui a fait de bons actes de vie était manipulé par l’amour : Satan l’incite à regretter d’avoir fait de bonnes œuvres.
Dieu est amoureux de lui. En un instant, il lui fait ressentir la récompense qu’il aura pour chaque bon acte de vie qu’il a fait sur la terre, alors que Satan, hypocritement, lui fait ressentir la haine qu’il avait eue envers Dieu lorsqu’il se sentait seul devant ses souffrances et malheureux devant ses échecs.
Dieu se penche sur sa douleur, une présence lumineuse, chaude et douce comme une caresse se fait sentir en lui. Malgré cette douceur qu’il ressent, il refuse de fléchir, car en lui le mal le fouette de paroles obscènes contre Dieu. Il entre dans un gouffre de désespoir où il se sent emprisonné, et il se maintient dans son refus : ‘Je ne crois pas à l’amour.’
Dieu lui montre l’amour du prochain : leurs pardons, leurs prières, leurs sacrifices, leurs efforts pour lui venir en aide. Dieu n’oublie rien pour lui venir en aide afin qu’il se pardonne, mais comme il se refuse toujours de l’amour, il refuse toujours la miséricorde de Dieu.
Satan déploie férocement ses armes diaboliques contre lui, et l’enfant se ferme à la lumière :
• plus il se ferme à la douceur de Dieu, plus il refuse l’amour qui guérit les blessures ;
• plus il se maintient dans son manque d’amour envers Dieu, envers lui-même et envers son prochain, plus il s’éloigne de sa vie.
Je l’enveloppe de mon amour afin qu’il ressente son amour : « Mon enfant, mon Être déborde d’amour pour toi, tu es l’enfant de ma Vie, ta chair vient de ma Chair. Je t’aime. Regarde ta vie qui a été soutenue par ma Vie » :
• Devant lui, il voit ses pensées nébuleuses : « Mon esprit les a nourris de grâces afin que tu ne te détruises pas. »
• Il voit ses regards froids : « Mes regards de miséricorde t’ont soutenu, malgré la malice des esprits impurs qui te voulaient malheureux. »
• Il voit ses écoutes indifférentes : « Mes écoutes de tendresse ne se sont pas fermées à ton malheur, car j’ai entendu tes pleurs, et je t’ai donné du courage. »
• Il voit ses paroles acerbes : « Mes paroles de vie t’ont maintenu dans ta vie éternelle, car sans moi Satan t’aurait emmené à raccourcir ton temps d’amour sur la terre. »
• Il voit ses sentiments injustes : « Mes élans d’amour ont toujours été présents dans ton quotidien, et cela t’a aidé à reconnaître qu’il faut avancer malgré la souffrance qui gît sur la terre. »
• Il voit ses actions égoïstes : « Mon enfant, est-ce qu’un Homme qui donne sa Vie par amour pour tous les enfants de Dieu pouvait être indifférent devant l’amour que tu as manifesté à ton prochain ? Non, tu as en toi l’amour, et c’est le même qui est en moi, et pour toi je suis mort sur la Croix ; tu peux donc comprendre ce que veut dire : se donner pour les autres. Vois-tu qui tu es ? Un enfant de Dieu. »
• Mais plus il entend parler d’amour, plus il demeure dans son entêtement ;
• plus il ne veut pas s’ouvrir à l’amour, plus il s’éloigne de la vie éternelle ;
• plus il ne veut pas reconnaître la vérité, plus il s’éloigne de la vie éternelle ;
• plus il s’engouffre dans son mutisme, plus il s’éloigne de la vie éternelle ;
• plus il ne veut pas regretter, plus il s’éloigne de la vie éternelle ;
• plus il garde sa rancœur au plus profond de lui, plus il s’éloigne de la vie éternelle.
Je le supplie de ne pas renoncer à sa vie éternelle : « Accroche-toi à la vie, elle t’est nécessaire pour continuer à être toi-même. Ne te détourne pas de ce que tu es. Tout ce que tu as fait, tu l’as fait avec ta liberté, et cette liberté est en ta vie. Si tu renonces à ta vie, tu perdras ta liberté. Fais un effort pour te sortir de cette léthargie, c’est le mal en toi qui te rend faible devant les attaques des démons. Tu n’as qu’un seul mot à dire à Satan : ‘non’, et il ne pourra rien contre toi qui veux le bonheur éternel. »
Mais il n’a plus d’intérêt à vivre, car la noirceur a fait son œuvre : elle l’a enveloppé, et le châtiment l’invite à s’approcher de lui. La vie éternelle est toujours en lui, mais elle perd de la place en son être, car la présence de son amour dans sa vie l’indiffère. Il ressent profondément le vide qui s’installe et plus rien ne l’intéresse, car il s’est fermé à l’appel de Dieu. Il est ce qu’il veut être : un refus. Il refuse l’amour, il refuse la Purification, il refuse la vie éternelle, il hait Dieu : l’enfant a choisi.
La vie éternelle quitte l’âme et la mort éternelle prend son âme. Ses péchés la recouvrent et la pénètrent pour l’éternité. Elle est entrée en enfer, où la souffrance l’attendait. Dans ce vide éternel où le néant règne, l’âme goûte aux péchés.
• Que goûte le péché ? Le rien : le rien la dénude ; le vide : le vide l’apostrophe ; le néant : le néant la saisit. Le péché ne vient de nulle part, ne mène nulle part : le péché lui enlève toute connaissance. Le péché n’apporte rien, ne produit rien : le péché lui démontre son inutilité. Le péché ne nourrit rien : le péché excite ses faims. L’acte du péché est dans ce qu’il est : l’anéantissement total.
(…) Ce jour arrivera lorsque l’épreuve de l’amour, qui est la raison de sa présence sur la terre, sera terminée. L’enfant doit aller jusqu’au bout de son épreuve d’amour, et c’est devant ses actes de vie, lors de son jugement, que l’épreuve se terminera par un choix. Avec sa liberté, devant ses actes de vie, il devra choisir entre :
• la Vie Éternelle : l’amour inconditionnel de Dieu nourrira sa vie éternelle
• ou la mort éternelle : la haine de Satan nourrira son âme éternellement.
VOLUME-5-B L’ENFER EXISTE-T-IL ?
FIN
Messages reçus par La Fille du Oui à Jésus
Extrait-Volume-5-A *Amour pour tous les miens-Jésus * Comment pouvez-vous trouver la paix en vous si vous tourmentez ceux que vous aimez ? *
(…) Vos enfants sont à Dieu, ils sont une grâce pour vous qui priez pour eux. Oui, mes enfants, lorsque vos enfants sont dans la souffrance, vous devez rendre grâce à Dieu de vous démontrer qu’ils sont à Dieu, pas à vous. S’ils souffrent : leur souffrance vous fait prier pour connaître la paix, et vous entrez dans la grâce à cause d’eux. Faites totalement confiance en Dieu, Dieu vous bénit à travers vos enfants.
Abraham, Isaac et Jacob ont été bénis à travers toutes les générations, et Dieu en fait de même pour vous. J’aime vos enfants et je vous aime. Cessez de régenter la grâce et vivez-la.
La croix vous conduit au sommet de votre oui à Dieu. Mais lorsque vous vous attristez face à leur comportement, vous vous attristez devant votre comportement : vous ne profitez pas des grâces de Dieu. Dieu veut vous accorder la force de vivre avec vos enfants et vous pleurez sur votre impuissance.
Vous priez pour eux, mais vous détruisez ce moment que Dieu vous donne, par vos enfants, de voir et de vivre avec eux la force de la croix.
La force de la croix, vous en avez besoin et eux en ont besoin pour se fortifier en ce monde perdu dans ses faussetés.
S’il y a la croix, c’est pour vous montrer que je suis victorieux d’un monde sans amour pour chacun. Êtes-vous de ce monde ou de mon monde vous qui vous inquiétez lorsque vous voyez que vos enfants ne vont pas puiser en chacun la force par la puissance de l’amour, afin de vivre dans ce monde sans amour? La joie qu’un monde d’amour se bâtit doit être en vous pour eux. Le partage du quotidien doit s’abreuver à cette source de joie. La joie nourrit votre être entier : vous en vos enfants et en tous les enfants de Dieu.
Comme il est bon de regarder les autres et de demeurer dans la confiance que Dieu sait tout et voit tout.
Il vous connaît parce qu’il sait tout et il accomplit sa Volonté à travers votre regard parce qu’il voit tout. Je vous aime tels que vous êtes, et c’est ainsi que vous devez vous aimer : je ne vous juge pas et je ne vous ignore pas. Je prends d’un tel ou d’un tel autre ce qu’il est et je donne cette semence comme nourriture à chacun qui apporte de la joie en les cœurs.
Soyez des êtres de joie et faites savoir à votre intérieur ce qui est bon pour vous. En regardant le regard de l’autre, vous découvrez l’amour qui est en vous. Ce que vous êtes est en la vie de votre prochain; c’est lui qui se donne pour vous nourrir : c’est l’amour en mouvement.
Si je me suis fait Homme, n’est-ce pas pour que vous regardiez mon regard? J’ai donné ma Vie et ma Vie est en vous : vous avez le regard de Dieu en vous. Faites de vous des enfants d’amour prêts à ne pas fuir le regard des autres, afin de les aimer comme je vous aime. JE SUIS est avec vous tous et vous êtes avec moi. Ces mots sont pour vous afin que vous avanciez dans ma terre d’amour.
Oui, une terre remplie d’enfants qui s’aiment devant Dieu, qui se regardent, qui se comprennent et qui se donnent de la joie pour que tous soient dans la joie. À celui qui a faim, donnez-lui une nourriture d’amour en vous donnant la joie d’être en joie pour ceux qui sont autour de vous et en vous, et il recevra de quoi manger : vous verrez que la face de la terre changera.
Il est de Dieu de vous instruire. Faites connaître votre joie en vous aimant comme des frères et des sœurs et ne vous dites pas être capables sans votre prochain, vous allez tomber dans l’orgueil. Vous avez besoin de tous les enfants de mon Père. Pas un seul ne peut avancer sans un autre. Vous avez en vous ce qu’un autre a besoin, comme il a en lui ce qu’un autre a besoin. C’est la communion des enfants de Dieu qui s’unissent pour donner à Dieu ce qui vient de Dieu : l’amour de tous pour Dieu.
Mes enfants d’amour, soyez bons envers vous-mêmes. Quand vous voulez connaître ce qui est bon pour vous, nous vous donnons la joie de le découvrir. Ayez confiance en Dieu et tout vous semblera possible.
La confiance en Dieu :
– c’est abandonner votre être entre les mains du Fils de Dieu,
– c’est laisser Dieu le Père vous donner une paix qui vous nourrit et nourrit votre prochain,
– c’est accueillir la puissance d’amour de l’Esprit Saint qui voit votre abandon accompagné de votre paix,
– c’est vous reconnaître amour,
– c’est donner de l’amour à votre prochain,
– et c’est accepter que votre prochain vous donne la paix.
Une paix durable est enveloppée de patience et de reconnaissance envers Dieu qui vous regarde tous dans ce que vous êtes. Si vous n’êtes pas dans votre paix, il n’y a pas d’abandon d’amour. Ceux qui sont sur la terre avec vous et en vous et qui ont besoin de paix ne reçoivent pas la paix de Dieu. Tout vient de Dieu. Notre agir ne peut pas être pour vous tous agissant si l’harmonie qui doit partir de sa source qui est en vous ne coule pas : vous ne vous abandonnez pas en notre Volonté.
Voyez-vous, quand quelqu’un est fier d’être un enfant de Dieu, il se comporte comme un enfant qui fait totalement confiance à son Père du Ciel. Il sait que Dieu l’aime, il ne s’inquiète pas pour sa vie, elle est entre ses mains.
Il reconnaît que sa vie vient de Dieu et elle est à lui pour Dieu. Si vous retenez à l’intérieur de vous des ‘non’, des ‘peut-être’, des ‘si’, des ‘je ne sais pas’, croyez-vous que c’est faire confiance en Dieu? Ce sont vos peurs, vos interrogations, vos analyses, vos hésitations qui vous nourrissent et vous nourrissez ceux qui sont avec vous sur la terre avec ce que vous avez en vous.
La chair créée doit nourrir toute chair créée avec de l’amour et de la paix. Comment pouvez-vous trouver la paix en vous si vous tourmentez ceux que vous aimez? Mes enfants, voyez comme il serait bon de vous dire : ‘Moi, je sais que Dieu est mon Père et que mon Père m’aime, il me donne ce qui est bon pour moi.
Ce qui est bon pour moi est en ceux que j’aime. Apprends-moi, Dieu, à aimer tous tes enfants tels ils sont, ils ont tant à m’apprendre! J’ai confiance en ta toute-puissance, tu es mon Père d’Amour.’ Mes enfants, vous allez vous retrouver dans une paix et un abandon total en vous, car vous serez avec tous les enfants de Dieu.
Moi qui sais tout, je sais que vous voulez vraiment le bonheur. Vous êtes ignorants de ce qu’il sera fait, moi non….(….)
Reçu par La Fille du Oui à Jésus..Volume-5-A
‘’Moi, l’Agir, je bâtis mon monde d’amour’’
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Publié par Myriamir le 19 septembre 2015
https://myriamir.wordpress.com/2015/09/19/extrait-volume-5-a-amour-pour-tous-les-miens-jesus-comment-pouvez-vous-trouver-la-paix-en-vous-si-vous-tourmentez-ceux-que-vous-aimez/