« J’écris en obéissance à Vous, mon DIEU, qui me le commandez par l’intermédiaire de l’évêque de Leiria et de votre Sainte Mère, qui est aussi la mienne. (Lucie de Fatima)
« Après les deux parties que j’ai déjà exposées, nous avons vu sur le côté gauche de Notre-Dame, un peu plus en hauteur, un ANGE avec une épée de feu dans la main gauche, laquelle scintillait et émettait des flammes qui, semblait-il, devaient incendier le monde.
Mais elles s’éteignaient au contact de la splendeur qui émanait de la main droite de Notre-Dame en direction de lui. L’ANGE, indiquant la Terre avec sa main droite, dit d’une voix forte :
« Pénitence ! Pénitence ! Pénitence ! »
Et nous vîmes, dans une LUMIÈRE immense, qui est DIEU : « Quelque chose de semblable à la manière dont se voient les personnes dans un miroir, quand elles passent devant. » (Nous vîmes aussi) un évêque vêtu de blanc, « nous avons eu le pressentiment que c’était le Pape. » (Nous vîmes) divers autres évêques, prêtres, religieux et religieuses monter sur une montagne escarpée, au sommet de laquelle il y avait une grande Croix en troncs bruts, comme s’ils étaient en chêne-liège avec leur écorce.
« Avant d’y arriver, le Pape traversa une grande ville à moitié en ruine et, à moitié tremblant, d’un pas vacillant, affligé de souffrance et de peine, il priait pour les morts qu’il trouvait sur son chemin. Parvenu au sommet de la montagne, prosterné à genoux au pied de la grande Croix, il fut tué par un groupe de soldats, qui tirèrent plusieurs coups avec une arme à feu et des flèches.
Et de la même manière moururent les uns après les autres les évêques, les prêtres, les religieux et religieuses et divers laïcs, hommes et femmes de classes et de catégories sociales différentes.
« Sous les deux bras de la Croix, il y avait deux ANGES, chacun avec un arrosoir de cristal à la main, dans lesquels ils recueillaient le sang des Martyrs et avec lequel ils irriguaient les personnes qui s’approchaient de DIEU. »
Comme c’est, hélas !, bien souvent le cas, d’autres versions ont circulé, émanant de personnes qui prétendaient « savoir ». Ces versions sont fausses et créent une déplorable confusion. Seule la version officielle, reproduite ci-dessus, doit être prise en considération.
Par Edson (Apparitions d’Itapiranga, au Brésil), Marie
nous dit, le 17 mars 2013 : « Ce que j’ai révélé, à Fatima,
à mes trois pastoureaux Lucie, Jacinthe et François,
au sujet du secret sur l’Église (il s’agit du 3e secret) est
en train de prendre forme pour bientôt se réaliser. »
(Cité dans « L’Appel du Ciel », n° 53, juin 2013, p. 10 & 11)
Le fait que le pape François, le 13 mai 2013, ait demandé
au cardinal patriarche de Lisbonne de consacrer son ponti-
ficat à Notre-Dame de Fatima, peut aussi être considéré
comme un signe avant-coureur de la réalisation du 3e secret.