33. Le temps de Satan (Is 4, 2-6). / À l’aube d’une ère nouvelle – Maria Valtorta (durée 9:39)


Le temps de Satan

 Le Sentier de la Croix Glorieuse



22. Je vais tout enlever de la surface de la terre. / À l’aube d’une ère nouvelle – Maria Valtorta – LE TEMPS DE L’ANTICHRIST – Durée 16:01




Maria Valtorta est l’une des élues par Jésus-Christ, élue pour nous transmettre la bonne parole !

À l’aube d’une ère nouvelle dérange, parce qu’il dévoile le monde d’aujourd’hui atteints par le manque de foi en Dieu et ce manque de Foi permet à Satan de s’installer dans nos vies sans faire aucun effort. Jésus dévoile comment le combat engagé par les Cieux pour sauver nos Âmes est difficile, parce que nous devons radicalement changer nos habitudes de vies. Le cinéma, les médias tous ce qui empoisonne le Cœur et l’Âme par la peur et la haine.

La destinée de chacun est liée à son prochain, tu fais du bien à ton prochain tu fais du bien à toi même et surtout à Dieu ! Mais cela passe aussi par des Sacrifices qu’ils nous faut réapprendre à faire pour atteindre la Paix. La Paix du Christ contre la haine de Satan !


Le Sentier de la Croix Glorieuse


ASDE 016/1 – Maria Valtorta : 13 juillet 1943 / Suivez-moi en négligeant toute voix qui ne serait pas la mienne. Suivez-moi sans avoir d’autre préoccupation que celle de faire ce que je vous demande..


Extrait des cahiers de

Maria Valtorta

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Le 31 juillet 1943,

Matthieu 8, 22

Jésus vient me parler à l’improviste, alors que je suis en train de faire mes offrandes quotidiennes, et donc sans avoir ouvert aucun livre. J’entends sa voix, nette et soudaine, qui dit le verset et me fait aussitôt comprendre que c’est la leçon d’aujourd’hui. Jésus dit donc :

« Laisse les morts enterrer leurs morts. Les morts des morts sont les vaines préoccupations, les soucis du monde, les affections ressenties humainement. Les ‘vivants’ ne doivent pas s’occuper de ces choses mortes. »

C’est ce qu’il m’a dit immédiatement. Plus tard, il reprend :

  • « Je qualifie de morts ceux qui, pour ne s’être pas donnés entièrement à la Vie, sont demeurés lourds et lents, froids et inertes comme des corps morts ou mourants. Les morts ne sont pas uniquement les grands morts qui n’ont plus trace de vie, c’est-à-dire ceux qui, par leurs fautes, appartiennent à Satan. Ceux-qui, par tiédeur, leur quiétisme, n’ont aucun élan vers le Bien le sont également. Ils ressemblent à des cailloux qui, sans être ensevelis dans les entrailles du sol, sont posés dessus. Un caillou, même s’il n’est pas enseveli, ne bouge pas par ses propres forces. Pour qu’il change de place, il lui faut un pied qui le fasse rouler ou une main qui le lance.

Ces âmes que je qualifierais d’embryons d’âmes parce que, par leur apathie, elles se sont atrophiées au point de devenir bien chétives et extrêmement faibles, ne diffèrent guère de ces cailloux. Ma main miséricordieuse les ramasse parfois et les lance, pour voir si je peux leur donner le désir de bouger. Mais elles ne vont pas plus loin que là où je les lance, puis elles retombent dans leur immobilisme. Mes amis, par leurs pénitences, leurs exemples et leurs paroles, les poussent, les entraînent vers le haut.

  • Mais à peine lancées elles s’arrêtent, si encore elles ne retombent par à leur place initiale, en bas. Attachées comme des huîtres au rocher de la vie, comme de la mousse au tronc de l’humanité, elles vivent pour ces deux choses qui passent aussi rapidement qu’un éclair d’été. Je les appelle, je leur fais signe : « Venez. Suivez-moi. » Mais elles ne savent pas le faire. Me suivre, cela veut dire donner la seconde place à la vie et à l’humanité, et la première à Dieu et à l’âme. Elles ne savent pas le faire, parce qu’elles ne le veulent pas.

Mais je vous dis, à toi comme à mes disciples fidèles : ‘Laissez les morts enterrer leurs morts. En ce qui vous concerne, suivez-moi en passant au-dessus de tout ce qui n’est pas Dieu. Suivez-moi en négligeant toute voix qui ne serait pas la mienne. Suivez-moi sans avoir d’autre préoccupation que celle de faire ce que je vous demande.

  • Mes vrais disciples doivent être encore plus libres que les renards et que les oiseaux. Ne vous attachez pas aux choses de ce monde, pas même à votre nid ou à votre tanière. N’ayez aucun attachement qui vous crée un obstacle pour me suivre, car je ne condamne pas une sainte affection pour sa maison de naissance. Moi aussi, j’en avais une. Or vous le voyez ? J’ai su me détacher de cette maison et de ma Mère pour accomplir la volonté de Dieu.

Aimez tout en Dieu, saintement. Dès cette terre, commencez à aimer comme vous aimerez au ciel, en d’autres termes apportez à ceux qui vous sont chers, à votre parenté et à vos amis, cette assistance que la charité conseille, mais pas ces affections absolues qui vous empêchent de m’aimer plus qu’eux. Vous les aimez plus que moi lorsque, mis en condition de choisir entre faire ce qui est agréable à Dieu ou à eux, vous préférez les satisfaire, eux, plutôt que moi.

  • Mes bien-aimés, avancez le visage tourné vers votre Jésus. Voyez en lui ce qu’il y a de plus beau et qui mérite tous les regards. Considérez tout le reste et les autres personnes à travers moi. Oh ! Si vous passiez tout ce que vous pouvez faire, dire ou aimer au crible de votre amour pour moi, comme toutes vos affections deviendraient pures et saintes ! Elles se dépouilleraient de tout égoïsme et, rendues plus délicates mais bien plus précieuses, parfaitement précieuses, elles deviendraient source de bien pour vous et ceux que vous aimez.

Voilà ce que je te dis, petit Jean. Je veux que tu deviennes sans qu’aucun lien ne ralentisse ton vol. Elèves-toi au-dessus de ce qui est terrestre. Il y a tant de ciel pour toi !

  

  • Les renards ont leur tanière et les oiseaux leur nid. Le Fils de l’Homme n’avait pas de pierre où reposer la tête. Le petit Jean, au contraire, a un oreiller et un nid : le cœur et la poitrine de son Jésus. Mais il ne doit posséder que cela.

Laisse tomber tout ce qui n’est pas ton Maître ou ne lui appartient pas. Il y a tellement de ‘morts’ pour s’occuper des morts ! Toi, sois une ‘vivante’ et occupe-toi uniquement de Jésus, qui est la Vie.

  • Viens et repose-toi. »

ASDE 016/1 – Maria Valtorta : 13 juillet 1943


Extrait des cahiers de Maria Valtorta / 19 septembre 1944 / En réponse à certaines réflexions, Jésus dit : « Outre son astuce, Lucifer est très intelligent…


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………… Il se sert de l’astuce pour tromper, mais de l’intelligence pour imaginer si, quand et comment il peut me faire souffrir et perdre une créature. Tu peux d’ailleurs être sûre qu’il ne gaspille jamais inutilement son temps.

Il s’ensuit donc que, bien qu’il soit omniprésent sur terre, il a beaucoup à faire auprès de la multitude des hommes qui y habitent. La piètre attention de l’homme et son rare désir de bien ont beau laisser à la puissance de Lucifer (qui est immense) une quasi-omnipotence sur les créatures, il lui faut bien calculer son temps et n’en pas perdre un seul instant pour œuvrer utilement. Avec pour infâme profit celui de grossir ses forces infernales de trésors volés à Dieu : les âmes.

C’est réellement un travailleur infatigable. En haut, l’Infatigable fait le bien pour vous. En bas, l’infatigable fait le mal contre vous. Et je te dis que, en vérité, il réussit mieux que Dieu. Ses conquêtes sont plus nombreuses que les miennes. Mais, tu le comprendras aisément d’après ce qui précède, il ne peut, astucieux, intelligent et affairé comme il est, s’accorder le luxe de s’occuper de tous dans la même mesure. Et il ne se le permet pas.

…………………………

Dans son mal, c’est un ascète de l’idée qu’il poursuit, il s’y consacre entièrement, ne s’en distrait pas, n’accorde aucune concession à sa fatigue, ne remet rien à plus tard ! Si seulement vous, les hommes, faisiez le bien avec la même détermination que Satan fait le mal ! Mais non.

Chaque fois qu’une créature naît à l’intelligence, Lucifer s’en occupe fort peu de prime abord, il se borne à la surveiller et à voir en elle une probable brebis future de son troupeau infernal ; mais à mesure qu’elle commence à savoir vouloir, à savoir raisonner – autrement dit après sept ans –, son attention augmente et il ébauche son enseignement.

Le ministère angélique instruit et dirige les âmes par des paroles de lumière. A l’opposé, le ministère satanique instruit et incite les âmes par des paroles de ténèbres. C’est un combat sans fin. L’ange de lumière et l’ange des ténèbres, vainqueurs et vaincus tour à tour, luttent autour d’une âme jusqu’à sa dernière heure pour s’arracher cette proie l’un à l’autre, le premier pour la ramener à son Seigneur dans la lumière, après en avoir exercé la tutelle pendant son parcours terrestre, le second pour l’entraîner à sa suite dans les ténèbres s’il remporte la dernière victoire.

Au centre du combat de ces deux anges se trouve une troisième personne, et c’est au fond la plus importante. Il y l’homme pour lequel ils combattent tous deux, l’homme libre de suivre sa volonté, doué d’intelligence et de de raison et muni de la force inestimable de la grâce que le baptême lui a rendue et que les sacrements lui gardent et augmentent.

Comme tu le sais, la grâce est l’union de l’âme à Dieu. Elle devrait par conséquent vous donner une force capable de vous rendre imprenables et incorruptibles face aux pièges et aux corruptions sataniques, car l’union à Dieu devrait faire de vous des demi-dieux. Mais encore faut-il vouloir le demeurer.

Il importe de dire à Satan et à soi-même : « J’appartiens à Dieu, et c’est à lui seul que je veux appartenir. » Cela entraîne l’obéissance à ses préceptes et conseils, un effort de tout instant pour suivre, poursuivre et conquérir un bien toujours plus grand, la fidélité absolue et une vigilance constante, enfin de l’héroïsme pour se dominer et vaincre le monde extérieur et les séductions de la triple concupiscence, sous ses aspects les plus divers.

Rares, bien rares, trop rares sont ceux qui savent faire cela. Que se passe-t-il alors ?

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ASDE 015 – Maria Valtorta : Amour de Dieu et Communion des Saints / Moi, le Fils de l’Amour, je suis venu instaurer l’Amour sur la terre, or l’Amour est patience et pardon..


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Jésus dit :

Non. Ce n’est ni une fois ni trois, comme le prétend Elihu, mais avec une patience inépuisable que Dieu vous parle pour vous ramener au bien. Par des songes – comme tu le sais –, par des inspirations et des conseils, par des exemples, des lectures, des souffrances, des maladies, des morts, par tous les moyens les plus doux comme les plus sévères. Il s’adresse à vous pour vous dire ‘Je suis. Souvenez-vous de moi. Sachez que m’oublier, moi et ma Loi signifie un malheur inhumain’.

Si Dieu devait s’adresser à votre âme une fois seulement pour la remettre sur la bonne voie, pas un d’entre vous ne parviendrait au but, qui est la Vie éternelle. Ceux qui étaient soumis à l’ancienne Loi pouvaient certes le penser.

Mais depuis que je règne par ma Croix, c’est une autre Loi qui vous juge et vous régit, la loi de la miséricorde ; celle-ci a embrassé La Justice et la Loi du Sinaï, inchangée et immuable, et l’a tellement étreinte et recouverte de ses fleurs que la pierre dure et sévère a été complètement enveloppée d’un vêtement fleuri dont chaque étamine est une miséricorde du Seigneur pour vous. Le voile de mon Sang s’est étendu sur la Loi antique, et il crie au Père miséricorde pour vous.

Moi, le Fils de l’Amour, je suis venu instaurer l’Amour sur la terre, or l’Amour est patience et pardon. Moi, le Maître, j’ai enseigné à l’homme à pardonner à son prochain soixante-dix fois sept fois, pour leur dire de pardonner sans compter. J’attends cela de l’homme, de ce pauvre homme en qui, en dépit de ma volonté, de mes miracles et de mon aide sacramentelle, la haine est inoculée par l’Ennemi et y fermente, car la chair est un terrain propice à la fermentation des vices sataniques.

Je dois par conséquent l’attendre de moi-même, qui suis la Perfection, et parfaitement. C’est pourquoi je parle, conseille et pardonne, non pas soixante-dix fois sept fois, mais soixante-dix fois soixante-dix fois soixante-dix fois, c’est-à-dire toujours, dès l’instant où les lumières de votre raison s’ouvrent et jusqu’à celui de votre dernière agonie ; encore faut-il que vous veniez à moi avec une intention droite.

Mais la faiblesse de l’homme est si grande que, de lui-même, il ne saurait comprendre et agir, ni se repentir et se sauver. Plus l’homme est faible – car, pour l’âme, le péché est une faiblesse, une faiblesse qui augmente dans la mesure où le péché est plus grave ou plus fréquent et répété, et il parvient à tuer les forces de l’âme comme par consomption –, moins il est apte à comprendre, à agir, à se repentir et à se sauver. C’est alors que, par la communion des saints, des forces surnaturelles lui sont infusées, qui l’en rendent capables.

Elihu dit : ‘S’il se trouve près de lui un ange qui parle en sa faveur, Dieu aura pitié de lui.’ Au temps de Job, le ciel était uniquement peuplé d’anges. Les justes attendaient le Christ dans le séjour des limbes pour devenir citoyens des cieux. Mais maintenant, les processions des saints du ciel et de la terre se joignent aux anges.

Quelle douce chaîne unit et enserre, entre ses mailles faites de l’or de la charité, la terre et le ciel, les saints du ciel et les justes de la terre, pour entourer les pauvres de la terre d’une étreinte dont le fruit consiste en aide et en salut ! Je parle des vrais pauvres, de ceux qui sont privés de grâce ou en ont bien peu.


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Celui qui vit en Moi –devient une partie de moi Maria Valtorta. Du site Au Souffle de l’Esprit


Extrait des cahiers de Maria Valtorta

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Le 12 août

Jésus dit :Lorsque la nature humaine se rappelle si bien son origine qu’elle sait vivre dans le surnaturel, elle s’élève au-dessus de la nature angélique et devient motif d’admiration pour les anges.

Quand cela arrive-t-il ? Quand Une créature vit plongée sans volonté, entièrement abandonnée à moi, ne vivant, n’aimant, n’agissant que pour moi et avec moi. Elle élève sa chair à un niveau qui n’est pas accordé aux anges, qui ne connaissent pas les angoisses de la chair et n’ont pas le mérite de les dompter. Si de plus la créature crucifie par amour du Maître crucifié, elle devient un motif d’admiration aux légions d’anges, lesquels ne peuvent pas souffrir par amour pour moi et se crucifier comme Jésus, Rédempteur du monde et Fils de l’Éternel.

Autour de ma croix, comme déjà autour de mon berceau, se tenaient des légions d’anges, car le berceau et la croix étaient l’alpha et l’oméga de ma mission de Rédempteur. Mais les légions des esprits angéliques se tiennent aussi autour des petits crucifiés qui s’immolent silencieusement selon la loi du parfait amour, car ils me voient en vous qui mourez pour moi.

Laisse-moi donc faire. Faire jusqu’au bout. Sous peu, je serai père et mère pour toi, en plus d’être frère et époux. Sous peu, tu n’auras plus que moi. Viens, c’est un coup dur, mais sois-en avertie et sois généreuse. Laisse-moi faire. Je ne fais rien qui n’ait le sigle de l’amour. Sois comme un agneau né depuis peu entre mes mains de bon pasteur. Si ton Pasteur te fait manger de cette herbe amère, encore une, c’est parce ce qu’il veut te donner une meilleure place dans son cœur. Et n’aie pas peur. Je t’aiderai. Je t’aide toujours, tu le vois.

J’ai besoin de ta douleur. D’une douleur absolue, complète, profonde. Tu ne sais pas quelle valeur elle aura entre mes mains. Tu le sauras, tu diras que j’ai valorisé tes souffrances de mille pour cent et tu m’en remercieras. Mais remercie m’en dès maintenant avec confiance et amour.

Dans le chœur des voix qui s’élèvent de la terre au ciel, il manque des voix qui remercient. C’est une note muette et cela est très mauvais. C’est un grand démérite pour la lignée d’Adam, laquelle, tout en ayant reçu de façon suprême l’amour et les bienfaits du Dieu unique et Trin, ne sait pas remercier. Mais si cela est pardonné aux analphabètes de l’amour, il n’est pas permis de ne pas le faire à ceux que l’Amour lui-même instruit. Lorsqu’un petit enfant ou un pauvre ignorant commet une erreur, on l’excuse. Il n’en va pas de même quand c’est un adulte ou une personne cultivée.

Tu as appris du Maître et tu ne dois pas manquer à l’enseignement du Maître. Je t’ai élevée avec mon amour comme on élève un enfant avec le lait. Sois fidèle à l’Amour en toute chose, en absolument toute chose.


Le soir

Jésus dit :

Ma chère âme, écoute la parabole de la perle.

Un grain de sable emporté par les vagues de la mer est avalé par les valves d’un mollusque. Un petit caillou, brut et sans valeur, un minuscule fragment de roche, un éclat de ponce, toutes choses qui ne méritent pas un regard.

Un premier temps, ce grain de sable avalé regrette sans doute les étendues sans fin de la mer où il roulait librement au gré des courants et où il voyait tant de beautés créées par mon Père. Mais au bout de quelque temps, une pellicule blanche se forme autour du grain gris et rêche, une pellicule blanche, de plus en plus belle, dure, régulière. Et le petit caillou ne regrette plus alors la sauvage liberté d’avant, mais bénit l’instant où une volonté supérieure à ses intentions l’a précipité entre les valves de ce mollusque. S’il pouvait parler, il dirait : ‘Que l’instant où je perdis ma liberté soit béni ! Que soit bénie la force qui m’a enlevé la liberté et qui a fait de moi, pauvre caillou brut, une précieuse marguerite’.

L’âme est un caillou brut de par sa nature. Il porte le signe de la création divine, mais, à force de rouler, il est en piteux état, de plus en plus rude et gris. La grâce, tel un courant céleste, le pousse à travers les espaces infinis de l’univers, vers le cœur de Dieu, ouvert pour recevoir ses créatures. Il attend, le cœur ouvert, votre Dieu, et vous désire, vous, pauvres créatures.


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ASDE 61 : Celui qui vit en Moi – Maria Valtorta

Peut-on lire Maria Valtorta ? L’enquête. Audio: 6:13


Peut-on lire Maria Valtorta ?

L’enquête.

Peut-on lire Maria Valtorta ? Une enquête objective sur les éléments troublants concernant cette mystique qui a vu, en 1943, depuis son lit, la vie de Jésus, dans son contexte. Paralysée dans son lit, Maria Valtorta a reçu des centaines de visions de la vie de Jésus, avec des détails troublants.

Durée : 6:13

Petite vidéo sur Maria Valtorta

Association Maria Valtorta


Pour découvrir l’œuvre : http://www.asonimage.fr


EXTRAIT- MARIA VALTORTA – Vision du mardi 28 mars 1944… * Vers les hauteurs du Ciel en ce Jour de l’Assomption…‏*


Marie dit :

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« Je ne vais pas te parler longuement, parce que tu es bien lasse, ma pauvre fille. J’attire uniquement ton attention et celle des lecteurs sur l’habitude constante de Joseph et la mienne de donner toujours la première place à la prière.

Sécheresse, hâte, chagrin, occupations c’était des choses qui n’empêchaient pas la prière, mais au contraire ils la favorisaient. Elle était toujours la reine de nos occupations, notre réconfort, notre lumière, notre espérance.

Si aux heures de tristesse elle était le réconfort, aux heures heureuses elle devenait un chant. Mais elle était l’amie fidèle de notre âme.

Elle nous détachait de la terre, de l’exil, elle nous tournait vers les hauteurs du Ciel, la Patrie. 

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Ce n’était pas seulement moi, qui portais Dieu en moi et qui n’avais qu’à regarder mon sein pour adorer le Saint des Saints, mais Joseph aussi se sentait uni à Dieu quand il priait, parce que notre prière était une adoration véritable de tout l’être qui se fondait en Dieu en l’adorant et recevant ensuite son embrassement.     

Et regardez, moi qui portais l’Éternel, je ne me pensais pas dispensée de la fréquentation respectueuse du Temple.

La sainteté la plus élevée ne dispense pas de se sentir un rien devant Dieu, et d’humilier ce néant, puisque Lui nous le permet, en un continuel hosanna à sa gloire.     

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Êtes-vous faibles, pauvres, pleins de défauts ?

Invoquez la sainteté du Seigneur : « Saint, Saint, Saint ! »

Appelez-le, ce Saint béni, au secours de votre misère.

Il viendra faire passer en vous sa sainteté.

Êtes-vous saints et riches de mérites à ses yeux ?

Invoquez également la sainteté du Seigneur.

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Cette sainteté infinie fera croître toujours plus la vôtre. Les anges, qui sont des êtres supérieurs aux faiblesses de l’humanité, ne cessent pas un instant de chanter leur « Sanctus » et leur beauté surnaturelle s’accroît à chaque invocation de la Sainteté de notre Dieu. Imitez les anges.  

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Ne vous dépouillez jamais de la protection de la prière, contre laquelle s’émoussent les armes de Satan, les malices du monde, les désirs de la chair et l’orgueil de l’esprit.

Ne déposez jamais ces armes qui ouvrent le Ciel et en font pleuvoir grâces et bénédictions.

La terre a besoin d’un bain de prières pour se purifier des fautes qui attirent les châtiments de Dieu. Et, étant donné que les âmes de prière sont peu nombreuses, elles doivent prier beaucoup pour suppléer à la carence des autres.

Il leur faut multiplier leurs prières vivantes pour faire le poids nécessaire à l’obtention de la grâce, Des prières vivantes elles le seront quand elles auront leur source dans l’amour et le sacrifice. 

Et que toi, ma fille, tu souffres car c’est une chose excellente que ta souffrance unie à la mienne et à celle de mon Jésus, elle est agréable à Dieu et méritoire. Il m’est si cher ton amour de compatissant.

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Mais veux-tu me donner un baiser ?

Embrasse les plaies de mon Fils:

Mets-leur le baume de ton amour.

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J’ai ressenti en mon esprit la douleur

des fouets et des épines,

la torture des clous et

de la Croix.19-viergeMais je ressens également toutes les caresses données à mon Jésus. Ce sont autant de baisers qui me sont donnés. Et puis, viens. Je suis la Reine du Ciel, mais je suis toujours la Maman… »    

Me voilà heureuse !  

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Source : L’ÉVANGILE TEL QU’IL M’A ÉTÉ RÉVÉLÉ

TOME 1 – (chapitre 31).


 

Événements des temps derniers. / Maria Valtorta / Les Cahiers de 1943 – / 29 Octobre 1943 / Audio




Événements des temps derniers

Notre Temps..

Durée 17:04


 Le Sentier de la Croix Glorieuse


 

LA PENTECÔTE Selon Maria Valtorta…


CÉNACLE priere-jour-08

 

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225> Marie a le visage transfiguré par un sourire extatique. Qui sait ce qu’elle voit, de si capable d’allumer ses yeux comme deux claires étoiles, et de rougir ses joues d’ivoire comme si une flamme rose se réfléchissait sur elle ? C’est vraiment la Rose mystique…         

Les apôtres se penchent en avant, en se tenant un peu de biais pour voir son visage pendant qu’elle sourit si doucement et qu’elle lit. Sa voix semble un cantique angélique. Pierre en est tellement ému que deux grosses larmes tombe de ses yeux et, par un sentier de rides gravées aux côtés de son nez, elles descendent se perdre dans le buisson de sa barbe grisonnante. Mais Jean reflète son sourire virginal et s’enflamme d’amour comme elle, pendant qu’il suit du regard ce que lit la Vierge sur le rouleau, et quand il lui présente un nouveau rouleau il la regarde et lui sourit.     

La lecture est finie. La voix de Marie s’arrête et on n’entend plus le bruissement des parchemins déroulés et enroulés. Marie se recueille en une oraison secrète, en joignant les mains sur sa poitrine et en appuyant sa tête contre le coffre. Les apôtres l’imitent…  

Un grondement très puissant et harmonieux, qui rappelle le vent et la harpe, et aussi le chant d’un homme et le son d’un orgue parfait, résonne à l’improviste dans le silence du matin. Il se rapproche, toujours plus harmonieux et plus puissant, et emplit la Terre de ses vibrations, il les propage et il les imprime à la maison, aux murs, au mobilier. La flamme du lampadaire, jusqu’alors immobile dans la paix de la pièce close, palpite comme investie par un vent, et les chaînettes de la lampe tintent en vibrant sous l’onde de son surnaturel qui les investit.       

Les apôtres lèvent la tête effrayés. Ce bruit puissant et très beau, qui possède toutes les notes les plus belles que Dieu ait données au Ciel et à la Terre, se fait de plus en plus proche, alors certains se lèvent, prêts à s’enfuir, d’autres se pelotonnent sur le sol en se couvrant la tête avec leurs mains et leurs manteaux, ou en se frappant la poitrine pour demander pardon au Seigneur.   

D’autres encore se serrent contre Marie, trop effrayés pour conserver envers la Toute Pure cette retenue qu’ils ont toujours eue. Seul Jean ne s’effraie pas car il voit la paix lumineuse de joie qui s’accentue sur le visage de Marie qui lève la tête en souriant à une chose connue d’elle seule, et qui ensuite glisse à genoux en ouvrant les bras, et les deux ailes bleues de son manteau ainsi ouvert s’étendent sur Pierre et Jean qui l’ont imitée en s’agenouillant. Mais tout ce que j’ai gardé en détail pour le décrire s’est passé en moins d’une minute.    

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226>  Et puis voilà la Lumière, le Feu, l’Esprit-Saint, qui entre avec un dernier bruit mélodieux sous la forme d’un globe très brillant et ardent dans la pièce close, sans remuer les portes et les fenêtres, et qui plane un instant au-dessus de la tête de Marie à environ trois palmes [1][1] de sa tête qui est maintenant découverte, car Marie, voyant le Feu Paraclet, a levé les bras comme pour l’invoquer et a rejeté la tête en arrière avec un cri de joie, avec un sourire d’amour sans bornes.

 

Et après cet instant où tout le Feu de l’Esprit-Saint, tout l’Amour est rassemblé au-dessus de son Épouse, le Globe très Saint se partage en treize flammes mélodieuses et très brillantes, d’une lumière qu’aucune comparaison terrestre ne peut décrire et descend pour baiser le front de chaque apôtre.

 

Mais la flamme qui descend sur Marie n’est pas une flamme dressée sur son front qu’elle baise, mais une couronne qui entoure et ceint, comme un diadème, sa tête virginale [2][2], en couronnant comme Reine la Fille, la Mère, l’Épouse de Dieu, la Vierge incorruptible, la toute Belle, l’éternelle Aimée et l’éternelle Enfant, que rien ne peut avilir, et en rien, Celle que la douleur avait vieillie, mais qui est ressuscitée dans la joie de la résurrection, partageant avec son Fils un accroissement de beauté et de fraîcheur de la chair, du regard, de la vitalité, ayant déjà une anticipation de la beauté de son Corps glorieux monté au Ciel pour être la fleur du Paradis. 

COLOMBE BOUGE PETITE

L’Esprit-Saint fait briller ses flammes autour de la tête de l’Aimée. Quelles paroles peut-Il lui dire ? Mystère ! Son visage béni est transfiguré par une joie surnaturelle, et rit du sourire des Séraphins pendant que des larmes bienheureuses semblent des diamants qui descendent le long des joues de la Bénie, frappées comme elles le sont par la Lumière de l’Esprit-Saint.

Le Feu reste ainsi quelque temps… Et puis il se dissipe… De sa descente il reste comme souvenir un parfum qu’aucune fleur terrestre ne peut dégager… Le Parfum du Paradis…     

Les apôtres reviennent à eux…  

Marie reste extasiés. Elle croise seulement les bras sur sa poitrine, ferme les yeux, baisse la tête… Elle continue son colloque avec Dieu… insensible à tout…   

Personne n’ose la troubler.         

Jean dit en la désignant : « C’est l’autel. Et c’est sur sa gloire que s’est posée la Gloire du Seigneur… »    

« Oui. Ne troublons pas sa joie. Mais allons prêcher le Seigneur et que soient connues ses œuvres et ses paroles parmi les peuples » dit Pierre avec une surnaturelle impulsivité.     

227> « Allons ! Allons ! L’Esprit de Dieu brûle en moi » dit Jacques d’Alphée.

« Et il nous pousse à agir. Tous. Allons évangéliser les gens. » 

Ils sortent comme s’ils étaient poussés ou attirés par un vent ou par une force irrésistible.

 


http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2010/10-025.htm

Les Nouveaux évangélisateurs…selon Maria Valtorta *En réalité, ils sont déjà à l’œuvre, même si le monde les ignore ou s’oppose partiellement à eux….Ils seront de plus en plus nombreux !


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« Et le Verbe du Père ne viendra pas pour une seconde Évangélisation.

Il ne viendra pas personnellement.

Et pourtant il évangélisera, en suscitant de nouveaux évangélisateurs qui évangéliseront en son Nom.

Ils évangéliseront sous une forme nouvelle, adaptée aux temps, mais cette forme nouvelle ne changera pas la substance de l’Évangile éternel ni de la grande Révélation ; elle les agrandira, les complétera et les rendra compréhensibles et acceptables aussi à ceux qui, de par leur athéisme ou leur incrédulité envers les Fins Dernières et beaucoup d’autres vérités révélées, allèguent comme prétexte ‘qu’ils ne peuvent pas croire ce qu’ils ne comprennent pas, ni aimer des êtres qu’ils connaissent trop peu et que ce peu est tel qu’il les effraie et les décourage au lieu de les attirer et de les encourager’.

Nouveaux évangélisateurs. En réalité, ils sont déjà à l’œuvre, même si le monde les ignore ou s’oppose partiellement à eux. Résultats de recherche d'images pour « Les Nouveaux évangélisateurs »

Mais ils seront de plus en plus nombreux et le monde, après les avoir ignorés, méprisés ou combattus, lorsque la terreur s’emparera des insensés qui actuellement se moquent d’eux, se tournera vers eux parce qu’ils seront force, espérance et lumière dans les ténèbres, dans l’horreur, dans la tempête de la persécution menée par les antéchrists en action.

C’est pourquoi s’il est vrai qu’avant la fin des temps surgiront de plus en plus de faux prophètes au service de l’Antéchrist, de même il est vrai que le Christ Seigneur leur opposera des serviteurs à lui de plus en plus nombreux, suscitant de nouveaux apôtres là où on le croit le moins.

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Et étant donné de l’infinie Miséricorde, par pitié pour les pauvres humains bouleversés par la tempête de sang, de feu, de persécution et de mort, fera resplendir sur la mer de sang et d’horreur la pure Étoile de la Mer, Marie, qui sera le nouveau précurseur du Christ pour sa dernière venue, ces nouveaux évangélisateurs annonceront Marie, vraiment trop laissée dans l’ombre par les Évangélistes, les Apôtres et tous les disciples, alors qu’une connaissance d’elle plus étendue aurait instruit un si grand nombre, permettant d’éviter tant de chutes.

Car elle est Corédemptrice et Guide. Guide de vie, pure, humble, fidèle, prudente, pieuse et miséricordieuse, à la maison et parmi les gens de son temps. Guide et Maitresse au cours des siècles, digne d’être d’autant plus connue que le monde descend de plus en plus vers la boue et les ténèbres, et d’être de plus en plus imitée pour ramener le monde vers ce qui n’est pas boue ni ténèbres. »

 

Maria Valtorta – A l’aube d’une ère nouvelleRésultats de recherche d'images pour « Les Nouveaux évangélisateurs »



L’Amour et l’Humilité….Parabole que Jésus raconte au petit Benjamin…Vision de Maria Valtorta…Si nous avions l’humilité des petits enfants…le Ciel s’ouvrirait devant nous à l’instant même !


 

jésus aime enfant

Un enfant de sept à huit ans court derrière Jésus en sautant. Il le rejoint en dépassant le groupe plus qu’animé des apôtres. C’est un bel enfant aux cheveux châtains foncés tout bouclés, courts. Dans son visage brun, il a deux yeux noirs intelligents. Il appelle avec familiarité le Maître, comme s’il le connaissait bien. « Jésus !, » dit-il « laisse-moi venir avec Toi jusqu’à ta maison, veux-tu ? »  

« Ta mère le sait-elle ? » demande Jésus en le regardant avec un doux sourire.     

« Elle le sait. »        

« En vérité ? » Jésus, tout en souriant, le regarde d’un regard pénétrant.        

« Oui, Jésus, en vérité. »  

« Alors, viens. »     

L’enfant fait un saut de joie et prend la main gauche de Jésus qui la lui présente. C’est avec une amoureuse confiance que l’enfant met sa petite main brune dans la longue main de mon Jésus. Moi, je voudrais bien en faire autant !        

« Raconte-moi une belle parabole, Jésus » dit l’enfant en sautant aux côtés du Maître et en le regardant par en dessous avec un petit visage qui resplendit de joie.           

Jésus aussi le regarde avec un sourire joyeux qui Lui fait entrouvrir la bouche qu’ombragent des moustaches et une barbe blonde-rousse que le soleil fait briller comme si c’était de l’or. Ses yeux de saphir foncé rient de joie quand il regarde l’enfant. 

« Qu’en fais-tu de la parabole ? Ce n’est pas un jeu. »          

« C’est plus beau qu’un jeu. Quand je vais dormir, j’y pense, et puis j’en rêve et le lendemain je m’en souviens et je me la redis pour être bon. Elle me rend bon. »

« Tu t’en souviens ? »       

« Oui. Veux-tu que je te dise toutes celles que tu m’as dites ? »   

« Tu es brave, Benjamin, plus que les hommes qui oublient. En récompense, je te dirai la parabole. »  

JÉSUS ET LES PETITS ENFANTS

L’enfant ne saute plus. Il marche, sérieux, attentif comme un adulte, et il ne perd pas un mot, pas une inflexion de la voix de Jésus qu’il regarde avec attention, sans même prendre garde où il met ses pieds. 

« Un berger qui était très bon apprit qu’il y avait dans un endroit de la création un grand nombre de brebis abandonnées par des bergers qui n’étaient guère bons. Elles étaient en danger sur de mauvais chemins et dans des herbages empoisonnés et elles s’en allaient de plus en plus vers de sombres ravins. Il vint dans cet endroit et, sacrifiant tout son avoir, il acheta ces brebis et ces agneaux.        

Il voulait les amener dans son royaume, parce que ce berger était roi aussi comme l’ont été de nombreux rois en Israël. Dans son royaume, ces brebis et ces agneaux auraient tant de pâturages sains, tant d’eaux fraîches et pures, des chemins sûrs et des abris solides contre les voleurs et les loups féroces.  

jesus-agneaux

Alors ce berger rassembla ses brebis et ses agneaux et il leur dit : « Je suis venu pour vous sauver, pour vous amener là où vous ne souffrirez plus, où vous ne connaîtrez plus les embûches et les douleurs, Aimez-moi, suivez-moi, car je vous aime tant et, pour vous avoir, je me suis sacrifié de toutes manières. Mais si vous m’aimez, mon sacrifice ne me pèsera pas. Suivez-moi et allons ». Et le berger en avant, les brebis à la suite, prirent le chemin vers le royaume de la joie.       

À chaque instant, le berger se retournait pour voir si elles le suivaient, pour exhorter celles qui étaient fatiguées, encourager celles qui perdaient confiance, pour secourir les malades, caresser les agneaux. Comme il les aimait ! Il leur donnait son pain et son sel. Il commençait par goûter l’eau des sources pour voir si elle était saine et la bénissait pour la rendre sainte.

Mais les brebis – le crois-tu, Benjamin ? – les brebis, après quelque temps se lassèrent. Une d’abord, puis deux, puis dix, puis cent restèrent en arrière à brouter l’herbe jusqu’à s’empiffrer au point de ne plus se mouvoir et se couchèrent, fatiguées et repues, dans la poussière et dans la boue. D’autres se penchèrent sur les précipices, malgré les paroles du berger : « Ne le faites pas ». Comme il se mettait là où il y avait un plus grand danger, pour les empêcher d’y aller, certaines le bousculèrent avec leurs têtes arrogantes et plus d’une fois essayèrent de le jeter au fond. Ainsi beaucoup finirent dans les ravins et moururent misérablement. D’autres se battirent à coups de cornes et de têtes, et se tuèrent entre elles.    

Seul un agnelet ne s’écarta jamais. Il courait en bêlant et il disait par son bêlement au berger : « Je t’aime ». Il courait derrière le bon berger et quand ils arrivèrent à la porte de son royaume, il n’y avait qu’eux deux : le berger et l’agnelet fidèle. Alors le berger ne dit pas : « Entre », mais il dit : « Viens » et il le prit sur sa poitrine, dans ses bras, et il l’amena à l’intérieur en appelant tous ses sujets et en leur disant : « Voici. Celui-ci m’aime. Je veux qu’il soit avec Moi pour toujours. Et vous aimez-le, car c’est celui que préfère mon cœur ».

jesus-christ-et-les-petits-enfants

La parabole est finie, Benjamin. Maintenant peux-tu me dire quel est ce bon berger ? »       

« C’est Toi, Jésus. »           

« Et cet agnelet, qui est-ce ? »    

« C’est moi, Jésus. »          

« Mais maintenant je vais partir. Tu m’oublieras. » 

« Non, Jésus, je ne t’oublierai pas parce que je t’aime. »     

« Ton amour disparaîtra quand tu ne me verras plus. »      

« Je me dirai à moi-même les paroles que tu m’as dites, et ce sera comme si tu étais présent. Je t’aimerai et je t’obéirai de cette façon. Et, dis-moi, Jésus : Toi, tu te souviendras de Benjamin ? »        

« Toujours. »          

« Comment feras-tu pour te souvenir ? »       

« Je me dirai que tu m’as promis de m’aimer et de m’obéir, et je me souviendrai ainsi de toi. »         

« Et tu me donneras ton Royaume ? » 

« Si tu seras bon, oui. »    

« Je serai bon. »     

« Comment feras-tu ? La vie est longue. »  

« Mais aussi tes paroles sont si bonnes. Si je me les dis et si je fais ce qu’elles me disent de faire, je me garderai bon toute ma vie. Et je le ferai parce que je t’aime. Quand on aime bien, ce n’est pas fatigant d’être bon. Je ne me fatigue pas d’obéir à maman, parce que je l’aime bien. Je ne me fatiguerai pas d’être obéissant pour Toi, parce que je t’aime bien. »       

Jésus s’est arrêté pour regarder le petit visage enflammé par l’amour plus que par le soleil. La joie de Jésus est si vive qu’il semble qu’un autre soleil se soit allumé en son âme et irradie par ses pupilles. Il se penche et dépose un baiser sur le front de l’enfant.       

Jésus s’est arrêté devant une petite maison modeste, avec un puits devant. Il va ensuite s’asseoir près du puits et c’est là que le rejoignent les disciples, qui sont encore en train de mesurer leurs prérogatives respectives. 

jésus enseigne apotre Jesus walking with disciples

Jésus les regarde, puis il les appelle : 

«Venez autour de Moi, et écoutez le dernier enseignement de la journée, vous qui célébrez sans cesse vos mérites et pensez à vous adjuger une place en rapport avec eux.

Vous voyez cet enfant ?

-Lui est dans la vérité plus que vous.

-Son innocence lui donne les clefs pour ouvrir les portes de mon Royaume.

-Lui a compris, dans sa simplicité de tout petit, que c’est dans l’amour que se trouve la force de devenir grand et dans l’obéissance par amour celle d’entrer dans mon Royaume.

-Soyez simples, humbles, aimants d’un amour que vous ne donniez pas qu’à Moi mais que vous partagiez entre vous, obéissant à mes paroles, à toutes, même à celles-ci, si vous voulez arriver là où entreront ces innocents.

-Apprenez auprès des petits.

-Le Père leur révèle la vérité comme Il ne la révèle pas aux sages. » 

Jésus parle en tenant Benjamin debout contre ses genoux et il lui tient les mains sur les épaules.

-En ce moment le visage de Jésus est plein de majesté. .

-Il est sérieux, pas courroucé, mais sérieux.

C’est vraiment le Maître. Le dernier rayon de soleil nimbe sa tête blonde. 

La vision s’arrête pour moi ici, en me laissant pleine de douceur dans mes souffrances.



http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2005/05-040.htm#CEV35206

 

9ièm COMMANDEMENT*. De Jésus à Maria Valtorta…« TU NE CONVOITERAS PAS LA FEMME D’AUTRUI »


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Jésus vient de guérir de la lèpre un jeune homme qui avait commis l’adultère …

« « Ne pas désirer la femme d’autrui » cela ne fait qu’un avec
« ne pas commettre l’adultère ».

Car le désir précède toujours l’action.
L’homme est trop faible pour pouvoir désirer sans satisfaire son désir.
Et, ce qui est suprêmement triste :
-l’homme ne sait pas faire de même dans ses justes désirs.
-dans le mal, il y a le désir et puis l’accomplissement.
-dans le bien il y a le désir, puis on s’arrête, quand on ne revient pas en arrière.

Comme
– je le lui ai dit,
– je le dis à vous tous,

car le péché de désir est répandu comme le chiendent qui se propage tout seul :
– êtes-vous des enfants pour ne pas savoir
– que cette tentation est un poison et
– qu’il faut la fuir ? « 

J’ai été tenté ». C’est l’antique parole!

Mais, puisque c’est aussi un exemple ancien, l’homme
– devrait se souvenir de ses conséquences et
savoir dire : « Non ».
Notre histoire ne manque pas d’exemples d’une chasteté
qui a su se garder malgré
-les séductions du sexe et
-les menaces des violents.

La tentation est-elle un mal ?
-Elle ne l’est pas.

-C’est l’œuvre du Malin.
Mais elle se change en gloire pour celui qui en triomphe.

Résultats de recherche d'images pour « Le mari qui va à d'autres amours est un assassin »

Le mari qui va à d’autres amours est un assassin
– de son épouse,
– de ses enfants,
– de lui-même.

-Celui qui entre dans la demeure d’autrui pour commettre l’adultère
 est un voleur et des plus vils.
Pareil au coucou il profite sans bourse du nid d’autrui.
-Celui qui surprend la confiance de l’ami est un faussaire,
car il témoigne une amitié qu’en réalité il ne possède pas.
-Celui qui agit ainsi se déshonore lui-même et déshonore ses parents.

Peut-il alors avoir Dieu avec lui ?

J’ai accompli le miracle à cause de cette pauvre mère.
Mais la luxure me dégoûte à tel point que j’en suis révolté.
Vous avez crié par peur et par dégoût de la lèpre.
Pour Moi, mon âme a crié par dégoût de la luxure.
Toutes les misères m’entourent, et pour toutes je suis le Sauveur.

Mais je préfère toucher un mort,
un juste déjà décomposé dans sa chair
qui fut honnête et
-qui est déjà en paix avec son esprit,
que d’approcher d’un luxurieux.


Je suis le Sauveur, mais je suis l’Innocent
.

Que s’en souviennent tous ceux qui viennent ici ou qui parlent de Moi,
en me prêtant les ferments de leurs passions.

Je comprends que vous voudriez autre chose de Moi.
Mais j’en suis incapable.
La ruine d’une jeunesse à peine formée et détruite par la passion, m’a troublé davantage que si j’avais touché la Mort.

Allons vers les malades.
-Ne pouvant, à cause de la nausée qui m’étrangle, être la Parole,
-je serai le Salut de ceux qui espèrent en Moi.

Résultats de recherche d'images pour « mettant son doigt dans la bouche d’un petit muet d’environ dix ans, il lui fait dire : « Jésus » et puis : « Maman. » »

La paix soit avec vous. »

En fait Jésus est très pâle, comme s’il était souffrant.
Il ne retrouve son sourire que quand il se penche sur des enfants malades et sur des infirmes allongés sur leurs brancards.
Alors, il redevient Lui-même.
En particulier quand, mettant son doigt dans la bouche d’un petit muet d’environ dix ans, il lui fait dire : « Jésus » et puis : « Maman. »

Les gens s’en vont tout doucement…


Je viendrai non plus en Maître mais en Roi, prendre possession de mon Église militante, devenue Une et Universelle telle que la fit ma Volonté.


Maria Valtorta – Les Cahiers

– Le 11 décembre 1943.

DERNIER JUGEMENT Armagedon

Je me tiendrai comme une fontaine au milieu de mon troupeau recomposé Je répandrai mon esprit sur tous les rachetés de la Terre. ….

Roi de Justice et de Sagesse

– je disperserai les idoles des fausses doctrines,

– je purgerai la Terre des faux prophètes qui vous ont conduits à tant d’erreurs.

Je me substituerai

-à tous les docteurs,

-à tous les prophètes, plus ou moins saints, plus ou moins méchants.

le dernier enseignement doit être purifié de toute imperfection.

Puisqu’il doit préparer au Jugement dernier ceux qui n’auront pas un temps de purgation, étant tout de suite appelés à la terrible revue.

Le Christ Rédempteur

-dont le but est de vous racheter et

-qui essaie tout pour le faire, et

-qui déjà commence et accélère son deuxième enseignement pour répliquer par la voix de la vérité aux hérésies culturelles, sociales et spirituelles, surgies de tous côtés,

-parlera avec les signes de son tourment.

Des torrents de lumière et de grâce sortiront de mes Plaies,

-blessures qui ont tué le Fils de Dieu,

-mais qui guérissent les enfants des humains.

Ces charbons ardents de mes plaies seront

-une épée pour

-les impénitents,

-les obstinés,

-les vendus à Satan, et

-une caresse pour les ‘petits’ qui m’aiment comme un père aimant.

Cette caresse du Christ descendra sur leur faiblesse pour les fortifier.

Et ma main les dirigera vers l’épreuve à laquelle seuls ceux qui m’aiment d’amour véritable résistent. Le tiers. Mais il sera digne de posséder la Cité du Ciel, le Royaume de Dieu.

 

Je viendrai alors, non plus en Maître mais en Roi,

-prendre possession de mon Église militante, désormais

-devenue Une et Universelle telle que la fit ma Volonté.


 

8 ièm.COMMANDEMENT*. De Jésus à Maria Valtorta…« TU NE DIRAS PAS DE FAUX TÉMOIGNAGES »


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« La paix à vous tous.

« Tu ne diras pas de faux témoignages » est-il dit.

Qu’est-ce qu’il y a de plus dégoûtant qu’un menteur ?
Ne peut-on pas dire qu’il unit

-la cruauté à
-l’impureté ?
Oui, qu’on le peut.

Le menteur, je parle de celui qui ment en matière grave, est cruel.
Il tue la réputation avec sa langue.
Il n’est donc pas différent de l’assassin.
Je dis même :
il est pire qu’un assassin.
Ce dernier ne tue que le corps.
Le menteur tue aussi le bon renom, le souvenir d’un homme.
Il est donc deux fois assassin.
C’est l’assassin impuni
-car il ne répand pas le sang,
-mais il blesse l’honneur à la fois
—–de celui qu’il calomnie et
—–de sa famille toute entière.
Et je ne m’arrête même pas au cas de celui qui,
en Prêtant serment,
envoie un autre à la mort.

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Sur celui-là sont déjà accumulés les charbons de la Géhenne.

Mais je parle seulement de celui qui,
-par un mensonge, fait des insinuations et
-persuade d’autres personnes au détriment d’un innocent.

Pourquoi le fait-il ?
-Ou par haine sans raison,
-ou bien par le désir d’avoir ce qu’un autre possède, ou bien par peur.

 

Par haine.
Il est mené par la haine, celui-là seul qui est l’ami de Satan.
Celui qui est bon ne hait jamais, pour aucun motif.
Même
-si on le méprise,
-si on lui fait du tort,
il pardonne.
Il ne hait jamais.

La haine,
-c’est le témoignage qu’une âme perdue donne à elle-même, et
-c’est le plus beau témoignage qui puisse être donné à l’innocent.

Car la haine,
-c’est la révolte du mal contre le bien.
-on ne pardonne pas à celui qui est bon.

barreverte

 

Par avidité.
 « Celui-ci a ce que je n’ai pas. Je veux l’avoir.
-Ce n’est qu’en le faisant mépriser que je puis avoir sa place. Et je le fais.
-Je mens ? Qu’importe ?
-Je vole ? Qu’importe ?
-e puis arriver à ruiner toute une famille ? Qu’importe ? »

Parmi toutes les questions que le menteur rusé se pose,
-il oublie,
-il veut oublier, une question, celle-ci :
 « Et si on me démasquait ? »
Cette question, il ne se la pose pas parce que,
—emporté par l’orgueil et l’avidité,
—c’est comme s’il avait les yeux fermés.

-Il ne voit pas le danger.
-Il est encore comme un homme ivre.
-Il est enivré par le vin de Satan, et
-il ne réfléchit pas que
——Dieu est plus fort que Satan et
——Dieu se charge de venger ceux que l’on calomnie.
-Le menteur s’est donné au Mensonge et
-il se fie stupidement à sa protection.

barreverte

Par peur.
Bien souvent quelqu’un calomnie pour s’excuser lui-même.
C’est la forme la plus commune du mensonge.
-On a fait le mal.
-On craint que notre action soit découverte et reconnue.
Alors,
– usant et
– abusant de l’estime que l’on a encore près des autres,
voilà qu’on dénature
—–le fait et
—–que ce qu’on a fait, on le met sur le compte d’un autre
dont on craint seulement l’honnêteté.
On agit encore ainsi parce qu’un autre,
parfois a été, sans le vouloir, témoin de l’une de nos mauvaises actions,
et alors on veut se mettre à l’abri de son témoignage.
On l’accuse pour le rendre odieux, afin que s’il parle, personne ne le croie.

 

Mais agissez bien !
Agissez bien !
Et vous n’aurez jamais besoin de mentir.

Ne réfléchissez-vous pas,
-quand vous mentez,
-au joug pesant que vous vous mettez sur les épaules ?

Il est fait
-de l’assujettissement au démon,
-de la peur perpétuelle d’un démenti et
-de la nécessité de se rappeler le mensonge, avec les faits et les détails qui l’entouraient, même après des années, sans tomber dans une contradiction.
Un travail de galérien.
Et encore s’il servait au Ciel !
Mais il ne sert qu’à préparer une place dans l’enfer !

barreverte

Soyez francs.
Comme elle est belle la bouche de l’homme qui ne connaît pas le mensonge!
-Il sera pauvre ?
-Il sera fruste ?
-Il sera inconnu ?
-Il l’est même ? Oui.
Mais c’est toujours un roi parce qu’il est sincère.
Et la sincérité est quelque chose de royal plus que l’or et qu’un diadème.
Il élève au-dessus des foules plus qu’un trône.
Et il a une cour de gens honnêtes plus nombreuse que celle d’un monarque.

Le voisinage de l’homme sincère procure la sécurité et le réconfort.
L’amitié d’un homme qui n’est pas sincère

-procure des ennuis et
-même son seul voisinage donne une impression de malaise.

Celui qui ment réfléchit-il qu’il est toujours tenu en suspicion
puisque le mensonge a vite fait de se manifester pour mille raisons?
Comment pouvoir accepter désormais ce qu’il dit ?

Même s’il dit la vérité, et qu’on ne demande pas mieux que de le croire, au fond, il restera toujours un doute : « Va-t-il encore mentir maintenant ? »

Vous allez dire : « Mais où est en cela le faux témoignage ? »
Tout mensonge est un faux témoignage.
Il n’y a pas que le faux témoignage légal.

Soyez simples comme est simple Dieu et un petit enfant.
Soyez véridiques à tous les moments de votre vie.
Vous voulez qu’on vous considère comme bons ? Soyez-le, en vérité.

Même si un médisant voulait dire du mal de vous, il y aurait cent bons pour dire : « Non, ce n’est pas vrai. Il est bon. Ses oeuvres parlent pour lui ».
Dans un livre sapientiel il est dit :
« L’homme inique s’avance avec la perversité sur les lèvres… en son cœur pervers, il prépare de mauvais desseins et en tout temps il sème la discorde…

barreverte

Il y a six choses que le Seigneur hait, et la septième Il l’a en horreur :
-les yeux altiers,
-la langue menteuse,
-les mains qui versent le sang innocent,
-le coeur qui médite des desseins iniques,
-les pieds empressés à courir au mal,
-le faux témoin qui profère des mensonges et
-celui qui sème la discorde parmi les frères…

La ruine s’approche du méchant pour les péchés de la langue…
-Celui qui ment est un témoin frauduleux.
Les lèvres véridiques ne changent jamais.
-Mais celui qui use d’un langage frauduleux, son témoignage est changeant.
-Les paroles du murmurateur semblent simples, mais elles pénètrent dans les viscères.

L’ennemi se reconnaît à sa façon de parler quand il couve la trahison.
-Quand il parle à voix basse, ne t’y fie pas car il porte en son coeur les sept méchancetés.
-Sous des dehors engageants il cache sa haine, mais sa malice sera mise au jour…
Celui qui creuse une fosse y tombera et la pierre tombera sur celui qui la fait rouler.

barreverte

Vieux comme le monde est le péché de mensonge.
Et la pensée du sage s’en tient à ce qu’il a décidé,
de même que le jugement de Dieu à l’égard du menteur.

 

Je vous dis : ayez toujours un seul langage.
Que
le « oui  » soit toujours « oui » et
-le « non » toujours « non »
même en face des puissants et des tyrans.

Et vous en aurez un grand mérite pour le Ciel.
Je vous dis: ayez la spontanéité de l’enfant
-qui va d’instinct vers celui dont il ressent la bonté,
-sans chercher autre chose que la bonté, et
-qui dit ce que sa bonté elle-même lui fait penser
-sans calculer s’il en dit de trop et il peut en avoir du blâme.

 

Allez en paix, et que la Vérité devienne votre amie. »

barreverte

Le petit Asraël qui est toujours resté assis aux pieds de Jésus,
la tête levée comme un petit oiseau qui écoute la voix de son père,
a un mouvement tout de douceur:
il frotte de son petit visage les genoux de Jésus, et il dit :
« Moi et Toi nous sommes amis parce que tu es bon et que je t’aime. Maintenant, je le dis moi aussi »
Et il force sa voix pour se faire entendre dans toute la vaste pièce et
il parle, en faisant des gestes comme il a vu faire à Jésus :

«  Écoutez tous. -Je sais où vont les personnes
-qui ne disent pas de mensonges et
-qui aiment bien Jésus de Nazareth.
Ils montent par l’échelle de Jacob et vont en haut, en haut, en haut…
en même temps que les anges,
ensuite là ils s’arrêtent quand ils trouvent le Seigneur »
Et il rit, heureux, en montrant toutes ses dents.

 

Jésus le caresse et descend parmi les gens. Il rapporte le petit à sa mère : « Merci, femme de m’avoir donné ton enfant. »
« Il t’a donné des ennuis… »
« Non, il m’a donné de l’amour. C’est un petit du Seigneur et que le Seigneur soit toujours avec lui et avec toi. Adieu. »

 

barreverte



 

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