
Je veux en tout premier lieu revenir sur le signe de l’arc-en-ciel. Ce signe possède en lui 7 couleurs et il demeure présent pour tous les âges : « Voici le signe de l’alliance que j’établis entre moi et vous, et avec tous les êtres vivants qui sont avec vous, pour les générations à jamais». (Gen 9, 8-9).
C’est le signe d’alliance que Dieu nous a donné et qu’il a rendu présent à nos yeux : «voici que j’établis mon alliance » : je rétablis et je restaure ce que vos péchés avaient ruinés et toutes les tristes conséquences qui en résultaient».
Par ce signe, ce n’est pas seulement Dieu qui a besoin de se souvenir, mais c’est aussi pour nous, pour qu’en voyant ce signe nous soyons rassurés des desseins de Dieu. Ne vous lassez jamais d’admirer la condescendance de Dieu, le soin qu’il prend envers la race humaine, son infatigable amour afin de faire éclater en toute chose sa bonté : «regarder ce signe : l’arc-en-ciel, il n’y aura plus de déluge d’eau par lequel toute chair sera exterminée.»
Dieu nous avertit par ce signe de la fermeté de sa promesse, si bien qu’en le voyant, nous nous souvenions que les engagements divins sont à jamais inviolables.
Par ce signe, le Seigneur nous indique : «c’est de moi que vous tenez ce signe du pacte d’alliance. Ne laisse donc plus le trouble entrer dans ton esprit, ni l’abattement s’emparer de ton cœur : lève les yeux vers ce signe, et sois plein d’espoir; que les générations futures y puisent la même confiance.»
Sachons donc nous montrer reconnaissants. Si Dieu nous traite avec toute sa bienveillance, alors que nous n’avons rien fait de bon, que nous avons même encouru sa juste colère ou de justes châtiments, quelle ne sera pas sa bonté et sa bienveillance pour nous quand nous lui témoignerons une sincère reconnaissance pour tous les bienfaits déjà reçus, du moment surtout où notre conduite attestera qu’un changement profond s’est opéré dans notre vie, par le chemin de : «faire retour vers Dieu».
C’est dans le but de nous amener à un tel changement, que Dieu nous procure ses faveurs et qu’il désire tant pardonner nos iniquités, qu’il n’exerce pas immédiatement sa vengeance : sa justice. Quand vous verrez l’arc-en-ciel, regarder bien. L’arc n’a pas de corde, pas de flèches, Dieu a serré les armes de la guerre envers l’humanité. Il l’exprime si bien quand il dit : «En ce jour-là, je briserai l’arc » (Osée 1, 5), « mon Cœur se retourne en moi, toute ma miséricorde bouillonne. Je n’agirai pas suivant l’ardeur de ma Colère… Je suis Dieu et non pas un homme». (Osée 11, 8-9).

Dieu se dit en lui-même : « Jamais plus je ne maudirai le sol à cause de l’homme : le cœur de l’homme est enclin au mal dès sa jeunesse, mais jamais plus je ne frapperai tous les vivants comme je l’ai fait.» Gen 8, 22).
Ainsi »le cœur de l’homme est enclin au mal dès sa jeunesse» et il ne change pas. Il écoute toujours en son cœur les paroles du serpent trompeur : « c’est vous qui direz qui est bien et mal » (Gen 3, 5). Le bien se rapporte à Dieu, le mal à tout ce qui lui est contraire et opposé. Le mal a donc servi de moyen pour éprouver les sentiments profonds du cœur de l’être humain.
Le Seigneur disait : «Le monde ne regardent plus vers le Ciel mais penchent vers l’abîme, alourdis par la parole que Satan a gravée sur eux» : « c’est vous qui direz qui est bien et mal » (Gen 3, 5).
Dans la Bible et pour les chrétiens, l’arc-en-ciel a toujours été le signe de l’alliance entre Dieu et les humains. Comme je l’ai dit au début ce signe comporte 7 couleurs.

Premier ministre du Canada durant la parade gay et lesbienne à Montréal
En 1978, ce signe a été perverti pour devenir le symbole (le drapeau arc-en-ciel « gay » à 6 couleurs) d’un comportement et d’un mode de vie complètement à l’opposé de ce que Dieu prescrit.
L’homosexualité a pris les couleurs du signe de Dieu : l’arc-en-ciel pour en faire par ses couleurs son signe à lui : le drapeau.
Pourquoi l’homosexualité est-il un mal en soi aux yeux de Dieu ?
Parce que l’homosexualité va en dehors d’un autre signe, qui lui a été établi par Dieu.
Ce signe, c’est le mariage, c’est l’union que Dieu a créé et dans ce signe qu’est le mariage il possède 2 autres signes que Dieu à dévoilés. Par l’union de l’homme et de la femme, le premier signe est, « Soyez féconds, multipliez-vous» (Gen 1, 28), et le deuxième signe c’est quand Dieu leur a dit : qu’ils forment «une seule chair» (Gen 2, 24), (Mat 19,5), (Éphés 5, 31) etc…

L’homosexualité, par l’union de deux hommes ou deux femmes, il faut bien comprendre qu’il n’y a pas selon Dieu, d’union d’une seule chair comme il l’a prescrit et il n’y a pas présence du deuxième signe « Soyez féconds, multipliez-vous.
C’est pour cela que l’homosexualité aux yeux de Dieu est un mal en soi.
Quand nous voyons Noé et ses enfants sortir de l’arche après le déluge nous retrouvons ici les même paroles qu’au début de la création : Après le déluge, « Dieu bénit Noé et ses fils. Il leur dit : « Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre.» (Gen 9, 1).

Sr Lucie de Fatima écrivait dans une de ces lettres : «Il y a un affrontement final entre le Seigneur et le règne de Satan et qui portera sur la famille et sur le mariage. « N’ayez pas peur, car tous ceux qui travailleront pour le caractère sacré du mariage et de la famille seront toujours combattus et haïs, parce que c’est l’affaire décisive ».
C’est le point central, parce qu’on touche là la colonne qui soutient toute la Création, la vérité sur la relation entre l’homme et la femme, et entre les générations. Quand on touche à la colonne centrale, tout l’édifice s’écroule, et c’est cela que nous voyons, en ce moment, et nous le savons ».
Le Pape St Pie X disait : « Donnez-moi de saintes familles, et je renouvellerai le monde. »
Mais que faisons-nous? Nous sommes rendus loin comme société, comme humanité : la société s’est créé des lois pour légaliser le mariage entre personnes de mêmes sexes et comme si cela n’était pas assez, la société a formulé une nouvelle formule : «mariage pour tous».
Le Seigneur disait à Marie-Julie Jahenny : « Bientôt, terre de ma création, tu auras une parure frémissante : le sang des apôtres et des chrétiens restés dans la foi !
(…) J’ai assez attendu; J’ai assez invité; J’ai assez supplié. Les ingrats ont eu leur triomphe; il est temps que le juste entre dans la joie.
(…) N’attendez rien des hommes ici-bas -Je dis rien de bien- mais attendez tout en mal. Ils n’ont plus que cette force, que ce pouvoir. Les pécheurs de la terre n’ont plus qu’un désir : se repaître du mal, se nourrir de tous les sacrilèges. L’odeur de leur haleine est infecte… »
« C’est pendant cette période troublée, que seront promulguées des lois infâmes, visant entre autres à établir une mainmise du pouvoir sur la religion, asservissant le clergé au pouvoir révolutionnaire, persécutant toute opposition, coupant tout lien hiérarchique avec Rome.
Des pluies torrentielles entraînant de grands retards dans les cultures seront un des signes précurseurs de cette révolution. »
Mes enfants, Je vous demande de ne jamais fouler la Croix, de ne pas suivre l’exemple d’une foule immense qui va préférer apostasier et damner son âme pour sauver son corps.
« Lorsque mon peuple est tombé dans l’indifférence, J’ai commencé à le menacer.
Aujourd’hui, il mérite Ma justice. Je suis venu sur la terre ; ils veulent Me chasser, M’enlever Mon Saint Tabernacle, renverser Ma Croix et méconnaître Ma Puissance.
J’ai vu tout passer sur terre.
Jamais – Je vous le dis avec un cœur de mère – jamais Je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs : violations, sacrilèges, attentats (…)»
« Il faut que le règne du péché finisse. Jamais la terre et le monde n’auront été en semblable état. Il faut en finir, ou bien toute âme se perdra ! »

Le Seigneur a raison de dire : «Jamais Je n’ai eu sous les yeux l’attente de pareils crimes, de pareils malheurs».
Au retour du Fils de l’homme, Jésus indique que ce sera semblable comme au temps de Noé, ce sera semblable comme au temps de Loth, de Sodome et Gomorrhe (Luc 17, 26-30).

Notre temps vit en double dans le mal : comme au Temps de Noé, comme au Temps de Lot : Sodome et Gomorrhe : «Celui qui a planté l’oreille n’entendrait-il pas? Celui qui a formé l’oeil ne verrait-il pas?» (Ps 94, 9).
Au temps de Noé comme en notre temps : «Le Seigneur vit que la méchanceté de l’homme était grande sur la terre, et que toutes les pensées de son cœur se portaient uniquement vers le mal à longueur de journée.» (Gen 6, 5).
«La terre s’était corrompue devant la face de Dieu, la terre était remplie de violence.
Dieu regarda la terre, et voici qu’elle était corrompue car, sur la terre, tout être de chair avait une conduite corrompue.» (Gen 6, 11-12). (Corrompue : en hébreu, il s’agit d’un euphémisme pour dire : avoir corrompue sa voie sexuellement).

Au temps de Loth : «Les gens de Sodome se conduisaient mal, et ils péchaient gravement contre le Seigneur.» «« Comme elle est grande, la clameur au sujet de Sodome et de Gomorrhe ! Et leur faute, comme elle est lourde !» (Gen 13 ; 18, 20).
De tout cela ce qu’il faut bien comprendre, c’est la valeur et les intentions de Dieu. Tous ces écrits sont là pour une mission, celle de nous repositionner dans une relation à Dieu. A nous de savoir si nous voulons composer avec ou sans lui.
Cet arc nous redit sans cesse : « souviens–toi d’où tu viens et rappelle-toi que tu as été conçu par amour. »

Il ne faut jamais oublier qu’il n’y a pas jamais d’alliance sans signe
«Venez à Moi, vers Celle qui vous a enfantés au pied de la Croix de mon divin Fils Jésus-Christ, le Seigneur ; venez avant qu’il ne soit trop tard. Quand le Très-Haut donnera l’ordre de fermer la porte, nul ne pourra plus y entrer.
Ce sera comme au temps de Noé : quand le Seigneur a donné l’ordre à Noé de fermer la porte, tous les enfants ont péri, car personne n’a cru ; au contraire, ils se sont moqués de lui (Gn 7) ».
«Venez à moi, vous tous. La plus grande pauvreté n’est pas la pauvreté de la faim mais celle de l’absence de Dieu». Vous voyez le mal qui vous entoure et cela vous insécurise parce que le mal a pris la place du bien.»
«Quel malheur que nous ayons au milieu de nous un trésor immense et inépuisable, et que, faute de le connaître, nous vivions dans l’indigence ; que nous ayons en notre pouvoir un remède à toutes sortes de maux, un arbre de vie qui peut nous communiquer non seulement la santé, mais l’immortalité même et que cependant nous soyons accablés d’infirmités, que nous vivions d’une vie languissante, que nous mourions tous les jours de la plus funeste de toutes les morts. La messe est ce remède universel, cet arbre de vie, ce riche trésor.»
« J’ai soif de toi. Ne doute jamais de ma miséricorde, du fait que je t’accepte sans cesse, de mon désir de te pardonner, de ma soif ardente de te bénir, de vivre en toi ma propre vie. J’ai soif de toi ! Si tu te crois sans importance aux yeux du monde, cela ne m’importe pas du tout. Pour moi, il n’y a qu’une chose qui importe : il n’y a rien de plus important dans le monde entier que toi.

J’ai soif de toi !
Ouvre-toi à moi.
Viens à moi et aie soif de moi.
J’ai soif de toi !
Peu importent tes errements. Peu importe combien tu m’as oublié. Peu importent toutes les croix que tu as dû porter toute ta vie. Il n’y a qu’une seule chose dont je veux que tu te souviennes tout le temps, une seule chose qui ne changera jamais : J’ai soif de toi, tel que tu es. Tu n’as pas besoin de changer pour croire en mon amour, parce que c’est de croire en mon amour qui va te changer. Tu m’as oublié, et maintenant je te cherche à chaque instant de ta vie, me tenant debout, à la porte de ton cœur et frappant.
Tu penses que c’est dur à croire ? 
Alors regarde vers la Croix, regarde vers mon Cœur transpercé pour toi. 
Regarde vers mon Eucharistie. 
Tu n’as pas compris ma Croix ? 
Alors, écoute encore une fois ce que j’ai dit sur la Croix : J’ai soif ! 
Oui, j’ai soif de toi. 
J’ai soif de toi. 
J’ai cherché quelqu’un pour combler mon amour et je n’ai trouvé personne.
Sois celui-ci. J’ai soif de toi – de ton amour. »
Fraternellement Daniel Paradis, lundi 19 septembre 2016
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