Note Grace pour Myriamir :
Vous savez tous que nous serons confrontés bientôt à une période de ‘SURVIE OBLIGÉE’. Le Ciel ne nous a rien caché, Notre Mère Marie nous a donné plusieurs médicaments naturels pour contrer les épidémies, les maladies de peau, le manque de nourriture, les retombés nucléaire etc…
Voici donc un article d’Edyl sur l’Aubépine que notre Maman nous a vivement recommandé pour la survie en ces derniers temps, afin de se préparer adéquatement et aussi aider nos frères et sœurs qui ne savent pas.-
Je laisse parler Edyl…
L’Aubépine – Autrefois très utilisée en LORRAINE.
La synergie* (ou l’association pertinente) existe déjà en chaque plante elle-même. Ainsi, à elle seule, la fleur d’aubépine (la feuille également mais à moindres effets semble-t-il – en revanche, avec les feuilles, on n’est pas obligé d’attendre la floraison pour en faire une réserve) utilisée en extrait, teinture, infusion ou autres préparations, est sédative du système nerveux, particulièrement souveraine contre les insomnies rebelles, surtout chez les hyper-émotifs.
- Dénuée de toute toxicité,
- elle est tonicardiaque par excellence
- (précieuse pour ceux qui ne supportent pas, ou mal,
- la digitaline ou les cardiotoniques de synthèse).
- Elle désépaissit le sang s’il est trop épais et régularise la circulation.
- Elle fait baisser une tension trop forte,
- agit à l’inverse en cas de tension trop faible mais respecte une tension normale.
- Elle soulage les candidats à l’artériosclérose et
- les problèmes typiquement féminins comme la ménopause.
- Elle est expectorante,
- anti-angineuse,
- anti-spasmodique.
- Elle est encore anti-stress, anti-trac,
- active contre le surmenage,
- recommandée pour les sportifs, les étudiants, les comédiens,
- les femmes mamans au foyer etc…
- C’est en cure suivie un agent conciliateur.
- Rien d’étonnant puisque l’aubépine agit sur tous les dysfonctionnements d’origine nervo-sympathique.
………………………
Car rappelons-le une fois de plus…
« À SYSTÈME NERVEUX NORMAL, SANTÉ NORMALE «
Autrefois, en temps de pénurie, on faisait
- de la farine à pain avec les baies séchées,
- du succédané de café avec leurs noyaux grillés,
- du tabac avec les feuilles séchées et
- des pipes avec le bois très denses de l’aubépine, notamment les racines …
- on ne craint pas la foudre lorsque l’aubépine pousse dans notre jardin…
Selon la signature des plantes (l’observance empirique des formes, couleurs, lieux d’habitats, climats, etc.), on remarquera que la vigueur de l’aubépine qui pousse sous tous les climats :
- les déserts, les montagnes, les régions polaires…,
- est signe d’une adaptation à toutes épreuves (comme le ferait le bouleau),
- elle serait alors adaptogène, … ce qui en fait, appliquée à l’homme,
- un remède adaptogène non seulement réduit à sa plus grande simplicité,
- mais aussi un remède quasi-universel.
C’est pour toutes ces bonnes raisons et pour la beauté incomparable de ses fleurs que j’aime profondément cet arbuste si décoratif dans nos plaines, dans nos pâturages et nos champs, et à l’orée de nos bois et de nos forêts.
Fleur D’Aubépine
*Synergie ou effet de potentialisation :
Action coordonnée de plusieurs éléments (association) qui concourent à un effet commun mais amplifié, parfois jusque dans des proportions impensables. Si, par elle même, une plante a déjà des vertus synergiques incomparables, les propriétés d’une association de deux plantes ne s’ajouteront pas mais se multiplieront. C’est la règle. Que dire d’une association intelligente de trois, quatre ou même dix plantes…?
Tel l’élixir du petit suédois : plusieurs dizaines de composants dont 11 composants majeurs.
Lorsque nous parvenons à des niveaux de raisonnement et de modes préparatoires aussi élevés, est-il encore nécessaire dans la plupart des cas de se traiter avec les doses plus ou moins importantes comme généralement préconisées ?
- Ne vaudrait-il pas mieux se limiter à des doses négligeables, mais administrées de manière répétée et pénétrer ainsi dans l’un des plus étranges et des plus déroutants univers que sont les lois de la résonance biologique ?…
- Il serait donc difficile d’ignorer et de ne pas bien s’imprégner du principe que la nature fournit des créations toujours composées à partir de substances multiples jusqu’à des éléments en quantités infinitésimales et
- ceci selon le même schéma de programmation cellulaire relatif à l’ensemble des organismes vivants évolués (animal, végétal, humain ).
- Il y a donc compatibilité et équilibre, puisque ces substances multiples, plus ou moins présentes –
- en l’occurrence dans la plante -,
- mais en ayant chacune leur importance vitale, vont continuellement et harmonieusement « interférer » entre elles
- (aussi bien chimiquement parlant qu’au niveau de leurs rayonnements subtils,
- par exemple
- mise en mémoire des principes actifs ou
- informations dans l’eau transmettrice contenue dans notre corps)
- pour apporter en thérapie les compensations, corrections, transferts, transmutations et que sais-je encore !,
- utiles afin qu’il y ait un agissement dans toutes les directions,
- surtout là où il y a anomalie.
C’est ce qui fait toute la différence entre le chimisme isolé du remède synthétique (par ailleurs, si utile en urgence mais en urgence seulement) au remède très élaboré et très avancé par rapport à notre savoir, parce qu’inimitable, du végétal médicinal.
Chaque plante a son histoire. À chaque plante correspond une émotion, une merveille, un joyau thérapeutique en son genre. Ne s’y intéresser ou ne les utiliser qu’avec pudeur, prudence et passions bienveillantes.
Une fois de plus, nous entrons dans l’un des si nombreux domaines des secrets de la vie.
Si je puis me permettre un petit conseil:
Allez donc explorer en direction de la prêle, de l’ortie, du souci, du chiendent, de l’herbe à Robert, de la Reine des prés, du plantain, de la sauge… ne serait ce que pour rester avec nos plantes régionales dites, si injustement, « mauvaises, puantes ou ordinaires ». Il ne se passera pas longtemps avant que vous ne me rapportiez, émus, confus et peut- être honteux d’avoir tant critiqué, ou tant douté, des révélations et des splendeurs que vous décrirez à votre tour, et avec vos propres termes, mais si justement exprimées. J’en suis tellement convaincu.
(1979) Edyl (réalisé pour des lycées de ma région)
Photo Edyl
Le buisson d’Aubépine appelé encore « Épine de l’Aube » et surtout « Arbre du Bon Dieu ». On raconte que pendant la fuite en Égypte, Marie faisait sécher les langes de Jésus sur des Aubépiniers. D’où cette odeur de fleurs caractéristique de « pipi de chat ». Ce fut aussi « le buisson ardent » des 10 commandements du mont Sinaï.
Edyl