-Une jeune fille qui depuis plus d’un siècle continue à influencer des milliers de personnes dans le monde entier. – Une visite à Lisieux pour connaître l’histoire de l’une des saintes plus connues du monde..
Jésus : Ma fille, tout est Amour, et la vraie paix, la vraie joie, sont en Dieu.
Un souffle d’Amour, un vent d’Amour se préparent…
Déjà, tu en sens les prémices…
La tempête se lève, la folie du monde est à son comble…
N’aie pas peur ! Toi, à travers toute cette agitation, entends le doux sifflement du berger…
Il appelle ses brebis. Je suis le Bon Pasteur.
Qu’elles viennent toutes à mon Cœur, c’est là leur port d’attache !
Ayez une sainte crainte, mêlée au respect envers le Tout-Puissant, mais n’ayez pas peur de l’AMOUR. La parole que je te donne est un souffle d’Amour qui passe sur les âmes.
En certains, il apaise et réconforte.
En d’autres, il allume.
En d’autres encore, il éclaire et réjouit. Chacun y trouve ses délices, selon ses besoins.
Je te l’ai dit :le monde a besoin d’Amour, mais il est trompé, guidé par de mauvais esprits qui répandent de fausses doctrines. Alors il s’égare…
C’est alors qu’en ces temps, dans un dernier sursaut d’Amour, j’ouvre grand mon Cœur, afin que mon Esprit d’Amour se répande dans tous les cœurs. Regarde, mon enfant, la majesté de ton Dieu !…
Lucie :
Alors intérieurement, j’ai vu Jésus qui dans une grande majesté, ouvrant sa robe, comme la déchirant, comme si son Cœur l’oppressait et qu’il étouffait. Et j’ai compris que c’était charité que de lui prendre, de lui voler en quelque sorte, cet Amour qui le brûle et qu’il veut tant nous donner. Et je me disais : Dieu est grand, Dieu est beau, Dieu est Amour…
Et cet Amour était comme un torrent impétueux qui sortait de son Cœur.
C’était comme un fleuve de feu…
L’aimer avec l’Amour dont il nous aime !
Jésus : Dis aux âmes combien Je souffre de L’INDIFFÉRENCE… Qu’elles me donnent tout. Qu’elles me confient leur cœur et leur croix ! Nous nous aimerons, et Je leur apprendrai ce que c’est qu’aimer.
Je leur apprendrai le sens du mot AMOUR :
Aimer, c’est s’oublier
Aimer, c’est donner sa vie.
Aimer, c’est faire fleurir la joie à chaque instant.
Aimer, c’est cueillir une rose au milieu des épines.
Mon fils, c’est le moment où l’humanité voit deux personnes vêtues de blanc, à l’intérieur de mon Église.
L’un est Pierre et l’autre est Saul.
Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? …
Je suis Jésus que tu persécutes! (Ac 9: 4-5)
Mon fils, plie tes genoux au sol, car tu verras des choses terribles se passer dans mon Église.
Mais dans le temps fixé par moi, mes Anges, sur mon ordre, arracheront l’ivraie qui a pris naissance parmi le blé.
Ils vont l’arracher un par un et le jeter dans le feu pour être brûlé.
Priez et demandez à tous de prier pour qu’ils ne perdent pas la foi et ne désespèrent pas.
Prières, sacrifices et pénitences, je les demande à tous.
Qui veut m’entendre? J’appelle l’humanité depuis longtemps, mais elle ne m’entend pas. Elle ne veut pas entendre ma Sainte Mère, outragée, et elle dit que ma Mère ne se manifeste pas (n’apparaît pas) en ces temps, en ces jours.
Humanité ingrate! Tu vas tomber si profondément et sans personne pour te réconforter, parce que tu as ignoré les supplications et les larmes de ma Mère Immaculée.
Reviens pendant que tu le peux encore, car ce jour viendra où tu ne pourras plus rien faire et tu ne verras que la douleur et les lamentations tomber sur ta tête.
Je suis ici avec mon Cœur dans la main, vous appelant, alors écoutez la voix de votre Dieu qui aspire à votre conversion et à votre repentance.
Revenez, revenez, car vos jours sont suspendus par un fil, avant que la vie sur la surface de la terre ne soit purifiée et renouvelée.
Je suis ici pour vous bénir et vous réconforter. Acceptez mon amour, acceptez mon appel et vous trouverez la vie et la paix.
« Pourquoi je t’aime ô Marie » c’est la dernière poésie que Thérèse écrit en mai 1897. Thérèse dit qu’elle a quelque chose à faire avant de mourir, elle dit « Je voudrais écrire pour la Sainte Vierge tout ce que je pense d’elle ». C’est en contemplant la vie et le coeur de la Vierge Marie que Thérèse a pu écrire : « Aimer c’est tout donner et se donner soit même »
« Tu nous aimes, Marie, comme Jésus nous aime Et tu consens pour nous à t’éloigner de Lui. Aimer c’est tout donner et se donner soi-même Tu voulus le prouver en restant notre appui. Le Sauveur connaissait ton immense tendresse Il savait les secrets de ton coeur maternel, Refuge des pécheurs, c’est à toi qu’Il nous laisse Quand Il quitte la Croix pour nous attendre au Ciel. » (extrait du poème « Pourquoi je t’aime ô Marie », de Sainte Thérèse de Lisieux)
Pourquoi Je T’Aime Ô Marie -Poème de Sainte Thérèse de L’ENFANT-JÉSUS
-Chanté par Sylvie Buisset.
Durée: 3:03
Oh je voudrais chanter Marie Pourquoi je t’aime, pourquoi ton nom si doux Fais tressaillir mon cœur, Et pourquoi la pensée de ta grandeur suprême, Ne saurait à mon âme inspirer de frayeur.
1 –Si je te contemplais, dans ta divine gloire, Et surpassant l’éclat de tous les bienheureux, Que je suis ton enfant, je ne pourrais le croire, Ô Marie devant toi, je baisserais les yeux.
2 –Il faut pour qu’un enfant puisse chérir sa mère Qu’elle pleure avec lui, partage ses douleurs Ô ma mère chérie, sur la rive étrangère Pour m’attirer à toi, que tu versas des pleurs.
3 –En méditant ta vie dans le saint Évangile, J’ose te regarder et m’approcher de toi Me croire ton enfant ne m’est pas difficile Car je te vois mortelle et souffrant comme moi.