Après que des lecteurs m’ait demandé ; Qui était Edyl ? Il a accepté de se présenter à nous en débutant par cette phrase : Seul Dieu m’est témoin !


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Seul Dieu m’est témoin !!

Édouard L. (pseudo Edyl), né en 1945 dans la maison où j’habite encore, en France, à proximité de la frontière du Grand Duché de Luxembourg. Célibataire et pratiquant la chasteté depuis toujours.

Autrefois : chef scout, passion en micro-macrophotographie et astrophotographie, passion pour la nature, passion pour le cross country et la marche athlétique de compétition (à ce jour au moins 12 fois le « tour de la terre » en équivalence, par le sport et pour assurer mes déplacements, toujours à pieds, n’ayant jamais été motorisé.

  • Formé en chimie/physique, j’avais pour rôle de mener à bien les travaux pratiques de ces deux disciplines au collège scientifique universitaire de Metz et plus tard chimie générale et opérateur aux laboratoires d’analyses spectrales en industrie.

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  • Ayant vite compris que la science n’était pas ma vocation première, je me suis orienté vers les enfants en extrascolaire, pour la plupart en difficulté familiale. Par ailleurs, directeur plusieurs années de suite, pendant  les grandes vacances, de la ruche garderie municipale de ma ville.
  • Ce fut les moments privilégiés les plus intenses et les plus beaux de toute ma vie, là où les enfants m’ont tout enseignés, depuis longtemps déjà et jusqu’à aujourd’hui.  J’ai ainsi compris que ceux qui avaient le plus besoins d’êtres éduqués, ce sont avant tous et surtout les adultes, de manière générale et je mâche bien mes mots en disant cela.

Entre temps, beaucoup de recherches et de prospections dans le milieu naturel, au-delà des sentiers battus, avec la bible pour compagnon, nous avons mis au point un procédé inédit, atypique, à base essentiellement de plantes (capture de leurs patrimoines génétiques), dispositif qui nous servait non seulement à neutraliser les pollutions délétères des fréquences électromagnétiques, mais aussi tout ce qui touche à la pathologie au niveau géobiologie, avec restauration de la qualité de l’eau, des sols et de l’ensemble du domaine du vivant.

Toutes ces recherches et découvertes laborieuses ont été le point de mire de perfides plagiats et spoliations tous azimuts. Notre procédé est anéanti, il n’est plus à nous. Voilà comment on peut ruiner toute une vie de travail, spécialement si cette vie et ce travail demeurent axés pour le bien commun. Rien de nouveau à l’horizon.

  •  En tout cas, une chose est certaine, c’est ce bonheur indicible que j’ai fini par ancrer indélébilement en mon for intérieur et que jamais qui que ce soit ou quoi que ce soit ne pourront m’enlever.

Stages en phyto-aromathérapie et naturopathie à mes temps perdus, avec beaucoup de pratiques envers mes semblables pour leurs venir en aide, autant que cela m’avait été possible, particulièrement par le dialogue et la revalorisation. A ces niveaux de compréhensions et à part l’urgence, plus besoin de remèdes béquilles, qu’ils soient chimiques ou non, mis à part la prière éminemment salvatrice, qui est le plus grand des médicaments.

……………………….

Ainsi, plus j’avançais dans ces domaines et plus je comprenais que l’être humains ne pourra jamais contrôler les nuisances qu’il a accumulé jusqu’à maintenant (nuisances arrivées à leurs paroxysmes) sans l’aide du Dieu Tout Puissant, le seul créateur de toutes choses et de tous êtres sur la terre comme dans l’univers… en passant  par Jésus, Marie, Joseph et tout le Ciel, … de tout mon cœur et avec toute mon affection illimitée.

Néanmoins, je cherchais sans arrêt, désespérément, ce Dieu Véritable d’Amour et d’Éternité. Bien que né de confession catholique, dans une famille chrétienne et unie (j’ai eu cette chance), baptisé, mais rebelle aussi, je ne me suis jamais fié à aucune institutions humaines quelles qu’elles soient, trop de mensonges et d’injustices pour que cela soit vrai et bénéfique pour tous.

  •  A part la Sainte Messe et ses très précieux sacrements qui m’émouvront toujours aux plus hauts niveaux. 

Mis à part toutes ces tribulations, toujours la Bible bien en vue sur ma table de nuit, c’était il y a 23 ans, après une magistrale prise de conscience, je me suis mis à prier avec beaucoup plus d’intensité et de méthodes, m’immergeant littéralement dans cette émouvante invocation, toujours le chapelet en main, jusqu’à maintenant, continuant imperturbablement jusqu’à toujours dans cette voie Royale et incontournable, le remède le plus puissant de tous les temps pour rétablir l’Amour, la Justice, la Vérité et la Santé sur cette terre, le seul remède de l’Absolu, il n’y en a pas d’autres, il n’y en aura pas d’autres, il n’y en a jamais eu d’autres, Amen, Amen, Amen !

Edyl

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Une petite anecdote :

En fait, pour résumer toute « l’histoire de ma vie »,

Vers les 19 ans, je suis parti seul en vacances au Canada, pour Noël, afin de découvrir ce qu’est un véritable hiver. Mais par un hasard inconcevable, ce fut la première année depuis des décennies ou il n’y avait pas eu de neige pendant cette période de la Nativité et du nouvel an, avec une température positive anormalement élevée. C’était tout près de Montréal.

  •  Nous avons fait un jour jusqu’à 30 kilomètres à pieds pour aller visiter une réserve indienne. Nous y avons trouvés porte close, tous étaient partis, eux aussi, en vacances. Je me suis donc contenté d’acheter dans une petite boutique d’à côté, pour faire cadeau, un petit tomahawk dans un étui en écorce d’érable semble t-il. J’y ai découvert un peu plus tard, marqué dessus, « Made in Japan ».

A part cet épisode quelque peu comique, j’ai découvert des gens rudes à l’accueil facile, dans un Canada merveilleux : les monts Appalaches, les Laurentides, etc. En ces lieux j’ai vu de la neige, beaucoup de neige, même trop de neige, avec une température extérieure qui m’a fait littéralement collé les doigts sur mon appareil photographique.  Un froid intenable, peut-être -40° centigrade, mais j’avais enfin trouvé ce que je cherchais.

  • Dans les sous-sols de la maison où j’étais logé chez mes amis canadiens, était installée une petite école maternelle privée sous l’impulsion d’un couvent de sœurs qui se trouvait juste à proximité et où on enseignait les enfants selon les préceptes de Maria Montessori. Énorme et décisive découverte pour moi qui a assurément marqué indéfectiblement  « cette histoire de  toute ma vie ».

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Edyl



 

Article Edyl (Foi & Science)Petites Chroniques*Le Secret de la Terre a Preta, de l’Eldorado.*Partie (1/2) Dossier Survie*


Note Myriamir: *Si nous voulons pouvoir se nourrir lorsque la famine surgira dans tous les pays du monde, nous devons savoir ce que l’on doit faire, et comment fonctionne la Terre pour nous donner le meilleur d’elle-même..En temps de disette (crise alimentaire). Car comme vous le savez notre terre sera contaminée et inculte pour faire pousser quoi que ce soit sans parler du manque d’eau etc…Cette recherche est très sérieuse pour notre survie…Plantons des arbres tout de suite nous comprendrons pourquoi cet Urgence…

 




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TERRA PRETA.  Les peuples sud-américains ont trouvé le moyen de transformer une terre inculte, très peu fertile en terre hyper fertile.

On s’interroge néanmoins sur la durée de ce changement radical.

L’élément principal de cette terre merveilleuse serait indiscutablement le charbon de bois (élément tampon),  mais on pense qu’il y a un autre élément (facultatif) qui interviendrait

  • (voir plus bas à propos des poteries, marmites ou vases antiques, en dehors de leurs usages domestiques /culinaires… ondes émises par leur formes de sphères, de paraboles, d’hyperboles… des réceptacles de forces cosmiques ou flasques de dynamisation, des dispositifs primaires, purs et naturels à transmuter la matière et l’énergie).

En tout cas, ces peuples ajoutaient sûrement dans ces terres des amendements organiques en quantité appréciable. On pourrait apparenter ces sols avec les terres volcaniques (allophanes – mull andique), les sédiments des lacs disparus … ! 

De toute façon le charbon de bois (ou charbon végétal actif) est comparable à l’argile, seulement dans le sens où ils fonctionnent tous deux comme des condensateurs (des éponges), c’est à dire qu’ils emmagasinent les éléments organiques et minéraux des sols forestiers ou agricoles et les restituent à la demande des végétaux.

         Toutefois, l’une des intentions capitales du charbon de bois est qu’il agit lorsque l’argile fait défaut du point de vue chimique (dans le stade précoce de l’évolution progressive des sols). C’est un élément qui permet de contrer l’acidification : par exemple les sols naturellement acides (roche mère acide) du bassin amazonien, ou acidification provoquée par une activité humaine irraisonnée.

-Le processus de lixiviation est enrayé par l’apport du charbon de bois, les cations alcalins et alcalinoterreux ne sont plus lessivés et entraînés ailleurs, spécialement dans les profondeurs de la terre. De ce fait, au niveau des nappes phréatiques aussi moins de pollution liée aux épandages de matières nitratées sur les sols. Les vers de terre quant à eux mélangent intimement tous ces éléments et activent l’aération et la vie microbienne.

Le but ultime est la structuration en véritable ciment de ces terres.

Donc des terres scellées, très peu sensibles au phénomène d’érosion.

Cela voudrait dire que beaucoup de terres qui ont été défrichées (déforestation) auraient pu être sauvées si les hommes avaient simplement contrôlé les feux de forêts : c’est à dire réduire les forêts en charbon de bois et non en cendres.

Ainsi la fertilité des sols de ces clairières aurait pu être durablement préservée.

La culture sur brûlis ne permet pas de préserver la fertilité des clairières récemment déboisées (fertilité à très court terme), contrairement à la culture sur carbonisation qui maintient cette fertilité dans le temps et évite ainsi les déforestations abusives et surtout inutiles.

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En prenant soin aussi de laisser dans ces clairières un arbre adulte à au plus tous les 200 mètres environ l’un de l’autre.

                                                               Règle primordiale, réalité incontournable.

Il faut cependant reconnaître que dans les régions tropicales, cultiver entre les arbres à l’intérieur d’une forêt clairsemée ne nuirait en rien au rendement des cultures, bien au contraire !

  • De cette manière (avec arbres – ou haies – adultes de proximité) les sols ne s’épuisent pas, même en cultures intensives, mais dans ce dernier cas le rendement pourrait devenir insuffisant, socialement parlant.

        Aussi, rien n’interdit d’augmenter le rendement des cultures, avec la pratique du compostage ou autres méthodes additives (de préférence naturelles), d’enrichissements des sols. Surtout s’il n’y a pas encore d’arbres (ou de haies) adultes à proximité selon les préceptes de François Garczynski*. Et en attendant que ceux-ci se mettent à pousser, l’amendement des sols resterait de rigueur, même sur une terre dite a preta.

De même, en ce qui concerne les engrais chimiques seuls, tout porterait à croire qu’il en faudrait beaucoup moins en présence de charbon végétal.

  • Avec arbres de proximité et charbon de bois, les engrais s’affermissent dans le sol et restent fonctionnels au lieu de se disperser là où il ne faut pas.

-C’est d’ailleurs, pour une grande part, la forêt qui a poussé sur la terre a preta (pour ainsi dire abandonnée des hommes) qui a permis à cette terre de vivre indéfiniment, mais qui continue à s’étendre miraculeusement encore de nos jours, collaborant peu à peu à la densification de la forêt d’Amazonie dont les sols ont pourtant toujours été réputés non fertiles !

        Cette terre – qui défrayait déjà la chronique avant les années 1900 grâce à des chercheurs scientifiques pionniers – est bien vivante et se reproduit comme n’importe quel  être vivant, avec le concours d’une myriade de micro-organismes (autoproduits par ce mode inédit d’agriculture) qu’elle renferme et qu’elle entretient, indépendamment de son précieux charbon de bois, immuable ingrédient que certains appellent aussi, le charbon philosophal.

Ce qui distingue le brûlis du charbon de bois stable et durable est que ce dernier est issu d’une combustion lente et incomplète.  

  • D’autre part, n’oublions pas que la chimie de la vie est avant tout la chimie du carbone.

                                                                                                           barre feuille20                                  

Le problème majeur de la forêt sud américaine amazonienne, et autre, est que cette forêt est réduite en cendres très fertiles mais trop légères. Ces cendres n’ont pas le temps de se fixer au sol et à la moindre pluie les sols sont lessivés. Par ailleurs, en combinaison avec des sols très peu profonds, on imagine le désastre… des terres latéritiques incultivables, transformées en désert.

Le monde a les moyens de se sauver mais tout ce qui est utile est mis à l’écart car pour vendre, il faut détruire. Consommer vient de « consum » qui veut dire détruire.

Les multinationales doivent détruire le monde pour faire prospérer une partie de celui-ci. Tel est le paradoxe de notre économie.

 

Avec le charbon de bois, la richesse des sols et le rendement des cultures s’améliorent de façon spectaculaire.

  • En Amérique du Sud, dans les plaines de l’Amazonie,
  • surtout en Amazonie Centrale, chez les Incas aussi et même en Bolivie,
  • on trouve sur des milliers d’hectares éparpillés en zones,
  • parfois sur plusieurs mètres de profondeur,
  • une terre extrêmement active et vitale :

                     EL DORADO, autrement dit : TERRA PRETA  ou  LA TERRE A PRETA !

Cette terre où TOUTES les cultures prospèrent, existerait depuis des milliers d’années, initiée de génération en génération par une civilisation mystérieusement disparue voici près de quatre siècles déjà, s’affranchissant des couloirs du temps. Terre pratiquement abandonnée depuis, à part certains descendants (ou autochtones) qui, de nos jours, continuent encore et timidement à la cultiver. En témoignent aussi les quantités impressionnantes qu’on y trouve, de tessons de poteries et de morceaux de marmites antiques (voire sacrées), jouant un rôle peut-être aussi précieux, primordial et décisif que le charbon de bois.

-Pas seulement en surface de cette terre, dans toute sa profondeur aussi et surtout. Profondeur dans laquelle ces tessons sont omniprésents, preuve formelle d’une colossale activité humaine tout au long de ces siècles passés.

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-Vases et poteries, nutriments et arbres,

  •  argiles et charbon actif,
  • micro et macro organismes,
  • fer et oxygène, hydrogène etc… ; tous œuvrant dans une même espèce d’alchimie,
  • d’une soupe originelle aux échos révélateurs comme : 
  • champ et charge électrique variant/ajustant, résonance,
  • transmutation,
  • électrolyse, catalyse,
  • dynamisation, approvisionnement …

Après l’usage auquel on les destinait, ces marmites et  poteries devenues des morceaux que l’on enfouissait dans le sol au fur et à mesure, pouvaient fort bien servir de « liant » et d’aérateur du sol sous-jacent, de stabilisateur de pH, comme ils pouvaient être en même temps, selon leurs compositions, un apport précieux en minéraux et oligo-éléments.

Or, ces morceaux de céramiques, TOUJOURS ACTIFS, seraient une imitation compactée des terres volcaniques reproduites en atelier et où se mêlent colloïdes, éléments magnétiques et minéraux vitrifiés, silicium amorphe métamorphosé par du silicium organique et minéral portés à haute température, le tout instantanément et hautement bio disponible et auto recyclable. Une réserve illimitée qui libère à travers les âges, petit à petit, toutes les substances dont le sol pourrait puiser selon ses carences ou ses besoins.

Il est cependant très probable de découvrir une telle manne un peu partout sur la planète, un équivalent de cette même terre a preta.

Des gisements similaires ont été retrouvés en Afrique.

C’était grâce à des milliers de petits monticules recouverts aujourd’hui d’une forêt dense allant jusqu’à plus d’un kilomètre de diamètre appelés « Islas » ou îlots – tous reliés entre eux par des routes en forme de digues avec d’autres monticules érigés en lignes parallèles, le tout construit par cette civilisation d’autrefois – que leurs agricultures étaient exceptionnellement prospères. Même encore maintenant cette terre travaille en profondeur, s’étirant de plus en plus loin. La culture sur monticule dans ces régions tropicales permet à une terre médiocre de se former en  une terre aux normes nourricières, car ce genre de culture surélevée – qui a justement permis la création de la terre a preta – évite le lessivage des sols lié aux inondations fréquentes, permettant par ailleurs une imparable irrigation en temps de sécheresse.

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Cette terre est IMMORTELLE et pourrait avec des traces régénérer rapidement TOUTES les terres du monde, se montrant en exemple, comme le ferait un bon levain pour fabriquer le pain..

 

             Remarque : le milieu intestinal et stomacal animal (ou humain) n’est grosso modo qu’une réplique miniature  d’une terre forestière ou agricole en bon état ou pas. La matière organique (nourriture) ingérée est transformée par la flore intestinale et par d’autres substances digestives diverses pour élaborer une autre forme de terreau actif, les excréments.

                                De combien pourrions-nous améliorer la force digestive et son équilibre (métabolisme catabolisme) en consommant régulièrement et durablement du charbon de bois pulvérulent alimentaire ?! Les résultats pourraient largement dépasser toutes nos espérances !!!

 

La richesse immense de cet « Eldorado » ou « terre a Preta« serait uniquement stabilisée dans le temps et stimulée grâce au charbon de bois (non seulement anti-putride mais surtout anti-poison par excellence) que cette civilisation a ajouté continuellement dans les cultures. Cette civilisation fabriquait elle-même ce charbon de bois, à volonté.

Elle a réussi, DANS LA SIMPLICITÉ, là où notre technologie hyper sophistiquée a échoué !

Biotechnologie hyper sophistiquée qualifiée selon certains chercheurs par « le délire de la technique des vrais sauvages de la forêt ».

Les amérindiens disent que l’homme est un arbre qui marche. A d’autre chercheurs d’ajouter : « le plus grand des scientifiques est  notre mère nature ».

  Épilogue : des pépiniéristes ou cultivateurs, là-bas, vont régulièrement récupérer par camions entiers de cette terre a preta, afin de régénérer leurs sols. Un seul traitement avec seulement des traces de cet Eldorado (OU TERRE MÈRE porteuse de ferments hors du commun peut-être encore inconnus de notre science) suffirait pour toujours à enrichir et à stabiliser ces nouveaux sols.

  • Une fois ces nouveaux sols régénérés à partir de cette terre mère, comme un levain perpétuel, cette nouvelle terre régénérée peut à nouveau régénérer d’autres terres, à l’infini. Mais dans tous les cas, afin de garantir la pérennité de l’écosystème, la condition serait d’ajouter d’année en année ce fameux charbon de bois, toujours combiné à des suppléments nutritifs organiques,
  • surtout hors équateur et si la présence rapprochée d’arbres reste insuffisante, spécialement en l’absence de morceaux de poteries.

 

  • Insistons  encore sur la présence d’arbres ou de haies adultes de proximité, ainsi la boucle sera bouclée, le parfait équilibre est imperturbablement établi et maintenu, le secret de la terre a preta n’est déjà  plus un secret.

  • Secret désormais  dévoilé et étalé à la face du monde. Dès lors, personne maintenant ne pourrait plus dire …

  • je ne savais pas !

De toute façon toute civilisation quelle qu’elle soit ne POURRAIT PAS survivre sans une agriculture écologiquement respectueuse et intensivement durable !

                               




                                                                                  Un petit cadeau de survie pour ceux qui savent réfléchir par eux-mêmes et qui ne rejettent pas avant d’avoir expérimentés. C’est cela la vraie science !

                                                                                                             

Notre dernière expédition dans les Vosges du 16 juin 2003.

Petites chroniques.

HUMUS EDYL

L’humus de qualité est extraordinairement précieux, c’est un programme vital de base, le redémarrage à neuf du processus génétique universel, originel et primordial. Cet humus élaboré et actif pourrait être le remède le plus pur et le plus performant de tous les temps, il contiendrait tous les programmes vitaux ( microzymas ?) de tout l’univers, où qu’il se trouve, s’adaptant d’où qu’il vienne à toutes les situations géographiques, climatiques, écologiques, aussi bien sur la terre comme partout dans l’espace intergalactique, intersidéral (du grec « sideros », ce qui veut dire : FER ou astre.

Il y a aussi sidérite = aimant. Le fer est grandement impliqué dans la structuration de l’hémoglobine et de la chlorophylle. Vous allez comprendre pourquoi ce fer est si important pour les sols.

Pour information, l’humus serait un grand éleveur de microzymas, …

ET C’EST L’ARBRE QUI CRÉE L’HUMUS !

(Les géologues ont démontrés que tous les météorites recensés sur la planète contiennent des microzymas vivants en état d’hibernation, d’où la présence de ces acides aminés… On peut dire aussi que les éléments indispensables pour une bonne qualité d’un sol (d’un humus), pour sa fertilité, se trouvent … dans la poussière d’étoile !*)



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  (A)

   (A)  A droite de l’arbre, le pasteur Daniel Grosjean père de la micro kinésithérapie (qui fait école dans le monde entier) en pleine démonstration du micromouvement rythmique primaire des organismes vivants, ici l’arbre et détection manuelle de son micromouvement (ou respiration des tissus) ; François Toutain*, à gauche de l’arbre, directeur de recherche CNRS à Nancy, spécialiste international des sols ; Sylvain C., aujourd’hui ingénieur forestier, cartographe, géomaticien (en arrière plan), en train de « soutenir » l’un des gigantesques épicéas peuplant cette forêt exceptionnelle, incompréhensiblement riche en humus hyperactif, grande énigme de ce site forestier ; Matthias R., un autre ami spécialiste de l’information biologique.

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(B)

(B) Toujours les mêmes, dans le même ordre (ou presque, moi je photographie seulement), le même jour, toujours dans les Vosges, sur une ancienne concession Anabaptiste ayant conservée un humus de qualité depuis près de 200 ans, grâce aux arbres de proximité, mais surtout grâce aux amendements naturels des jardins apportés par ces merveilleuses communautés religieuses de l’extrême qui vivaient en totale autarcie et dont les arbres ont su entretenir, en héritage, cette richesse, ce trésor extraordinaire. Des orties (indicatrices de grande fertilité) à foison dans ce sous bois….PARTIE-2/2 À SUIVRE

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Edyl


 

Article Edyl (Foi & Science)Petites Chroniques*Le Secret de la Terre a Preta, de l’Eldorado.*Partie (2/2) Dossier survie!




HUMUS EDYL

Note Myriamir: Puisque nous ne sommes pas tous des scientifiques. Ce que nous aurons retenu dans cet article, ce sera ça d’acquis…Nul besoin de tout comprendre ces mots qui nous sont étranges, Retenons une chose ‘Il est temps de mettre en application ces précieux enseignements…L’Esprit-Saint nous rappellera au moment opportun ce que nous n’avions pas compris ‘CROYEZ-LE’….Gloire à Dieu !

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* François Toutain ,  Centre de Pédologie Biologique. Enseignant – Chercheur  ENGREF. À ce jour, une incroyable  dynamique d’enseignement sur les humus et les sols en général, avec de très nombreuses publications à l’appui, ont été réalisées par ses soins.

Humus = Humanité = Humilité, c’est la même racineEt c’est ce que François Toutain répète inlassablement et sans faillir.

Mais tout vient de l’élément hydrogène, rayonnement de base de l’univers, la longueur d’onde qui entretient les forces de la vie.

C’est le meilleur des supraconducteurs à l’état solide. L’hydrogène est un métal gazéifié. Et c’est à partir de lui que vont se créer tous les autres éléments du tableau périodique. Par ailleurs, le « vide » intersidéral révèle partout le spectre de l’ADN, toujours associé à celui de la molécule d’eau, avides l’un de l’autre.

  •  Sans eau, pas de transmission de l’information, car l’ADN resterait inopérant. A elle seule, l’eau mériterait de faire l’objet de plusieurs encyclopédies tellement elle défie les règles établies par la science, rendant fous ou dépressifs les plus téméraires des chercheurs.

E= MC2 est la formule définissant la matière manifestée en énergie.

  •  Il ne serait pas faux d’évoquer sur notre planète une matérialisation d’éléments spécifiques formés par le feu des étoiles qui viendraient constamment ravitailler notre terre nourricière.

Dans un sol qui a une excellente qualité biologique (humus), on note quatre éléments essentiels, indépendamment de la qualité de la roche mère : 

  • A – l’argile (et son silicium).
  • B – l’oxygène, indispensable pour la qualité d’un humus par sa fonction sur la vie du sol et de la plante.
  • C – le fer; on peut aussi, comme le souligne François Toutain, se passer d’une quantité suffisante de fer si le milieu est exceptionnellement aéré, il reste indispensable pour une bonne qualité de l’humus, lorsque l’aération n’est pas exceptionnelle.
  • D – il ne faut pas cependant oublier une condition essentielle du maintien de la richesse d’un sol : la respiration racinaire des arbres, libérant ainsi le premier élément chimique de la création qu’est l’hydrogène sous forme de proton H+, comme le dit avec insistance François Garczynski*.

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  • C’est ainsi qu’un sol cultivé et enrichi il y a plusieurs siècles maintient, grâce aux arbres, sa fertilité. C’est un sol qui, dans le temps, ne peut pas s’épuiser.
  • Incroyable mais vrai ! Seulement, pour que ce miracle perdure, à défaut de forêts et de haies, il faut impérativement la présence d’un arbre champêtre adulte à au-moins environ 200 mètres les uns des autres. C’est pour cette raison, que dans un souci de croissance économique, on encourage la destruction des haies et de l’arbre rural (entre-autres) afin de déstructurer et de dévitaliser les sols et de vendre des engrais, des pesticides, des insecticides… Car sur un sol qui n’est pas dans une bonne activité biologique, les maladies vont apparaître. Selon Garczynski, l’épuration microbienne ne peut avoir lieu sans ce fameux proton H+ et donc sans arbres. On constate en effet qu’il faut mettre l’accent sur les éléments principaux :

1 Le rayonnement hydrogène  la matière porteuse, l’information hydrogène, qui est la source d’énergie principale du vivant… Naturellement cet élément est capté, produit et apporté principalement par l’arbre. 

2– L’oxygène, pour la respiration du sol et pour la stimulation de la faune et micro faune et de la flore et micro-flore du sol. Avec l’oxygène, élément tellement important, nous pouvons nous passer de fer et d’autres éléments chimiques. Maintenant si nous analysons un fragment de la plupart des météorites, nous constaterons que les éléments les plus abondants sont : le fer, l’oxygène, et le principal élément constituant de l’argile qui est le silicium.

*François Garczynski : voir l’œuvre de toute sa vie. Il est ingénieur du Génie Rural des Eaux et des Forêts à Grenoble. Il a travaillé sur la relation entre l’arbre, l’agriculture, l’environnement, la santé, le tiers monde. Notamment sur le télé-rôle de l’arbre, pour assurer la fertilité des sols, sans qu’ils s’épuisent et sans apport d’engrais. Un rôle directement associé au proton hydrogène racinaire, etc…

C’est un chercheur qui a révolutionné le monde de l’agriculture et de l’environnement en général.

Les applications de ses recherches devraient êtres prises aujourd’hui très au sérieux et enseignées avec la plus grande urgence, partout dans le monde :

 mfgarski@free.fr 

http ://mfgarski.free.fr/   



EDYL GRAPHIQUE 

*Graphiques d’après l’article de Hélène Reyss , « A l’écoute des Météorites N° 8 », Bulletin de la S.A.F.  (Société Astronomique de France)  « L’ASTRONOMIE »  ,  Vol. 116,  décembre 2002.

Pour conclure : d’après  Sylvain C.   (17.01.2003)                    

« Au bord du désert du Bengale, la seule exploitation agricole qui peut survivre est celle située à proximité d’arbres ; les autres disparaissent, gagnées inexorablement par le désert.

La destruction de l’arbre rural est synonyme de désertification dans tous ses aspects.

–  Pourtant selon les sciences reconnues, l’arbre vole l’eau à la plante et aux cultures (par le phénomène d’évapotranspiration, pense t’on), modèle reproduit en laboratoire et totalement isolé de son environnement naturel.

–  Voilà comment est née une immense imposture scientifique qui sera à l’origine de toutes les sciences agronomiques actuelles et de la destruction des haies, des arbres ruraux, des coupes a blanc en forêt.

  •  Comment l’exemple de l’exploitation agricole qui survit au bord d’un désert, parce qu’il y a des arbres, ne peut il pas sauter aux yeux des scientifiques et de l’opinion publique ?

L’arbre est essentiel à l’agriculture car, contrairement aux idées reçues, il permet de sous irriguer les cultures et de maintenir la fertilité des terres.

On a également constaté dans des forêts victimes de problèmes sanitaires que des îlots n’étaient pas atteints.

  •  Après étude, il s’est révélé que ces îlots étaient situées sur d’anciennes terres agricoles cultivées du temps des Gaulois (plus près de nous il y a par exemple les anabaptistes qui, eux aussi, vivaient en parfaite autarcie).

Et chose étrange cette terre conserve une fertilité excellente. Comment expliquer une telle fertilité alors que les derniers amendements dataient du temps des Gaulois ?

  •  Une réponse peut être envisagée : L’arbre 

Grâce aux arbres, la fertilité d’une terre se maintien : « rien ne se perd, rien ne se crée », tout se conserve grâce a l’arbre.

Alors plantons des arbres dans les champs, dans les pâtures, au bord des cours d’eau pour une gestion durable des milieux, (expression très à la mode mais dénuée de tout sens sans arbre).

Jean Giono, apôtre du retour à la terre a tenté notamment dans son livre, « l’homme qui plantait des arbres », de nous montrer le rôle prépondérant de l’arbre sur la terre. En vain ?  … « 

EDYL TERRE

Quelque part au Maroc. Cette image illustre parfaitement la technique, valable aussi chez nous aux climats tempérés, à adopter pour cultiver sainement, durablement et rentablement, sans spolier personne et encore moins les sols :

  • un arbre à environ 200 mètres maximum les uns des autres,
  • soit à 100 mètres environ maximum de chaque arbre
  • au point cultivé le plus éloigné.
  • 100 mètres représente une moyenne pour un arbre adulte
  • (ou un bosquet ou une haie ou un arbre champêtre) de 10 mètres de hauteur.
  • La hauteur est multipliée par environ 10 pour connaître la portée racinaire active (ou télé-rôle) tout autour… d’un seul arbre.
  • Par ailleurs, la superficie visible sur cette photo où sont implantés ces arbres pourrait remplacer par défaut (non en quantité, mais en qualité) l’ambiance fonctionnelle d’une vraie forêt en attendant au besoin qu’elle se densifie.
  • En tout cas, la pratique ancestralement transmise par ces implantations d’arbres champêtres serait sans doute le meilleur moyen, dans ces contrées et
  • toujours selon François Garczynski, … d’infiltrer l’eau dans les sols, de retenir l’humus et de favoriser la sous irrigation des cultures, de faire reculer le désert et de faire avancer la forêt.   


prier-dans-le-secret

 –  Déjà à l’époque, quand j’écrivais ces articles, profitant du rosaire  que je méditais chaque jours (parfois plusieurs par jour) pour être inspiré du mieux possible par l’Esprit Saint.

  • Où toutes les forêts du monde entier sont en train de brûler, ou décimées par les maladies, ainsi que les animaux et nos productions agricoles, ainsi que les humains dont l’ADN et le comportement peuvent-être modifiés à volonté par toutes ces manipulations chimiques et électromagnétiques  non conformes à l’existence, comme si nous ne méritions plus cette magnifique nature –
  • que Dieu nous a donné gratuitement.

Bien que de solide formation scientifique, nous sommes avant tout des avant-gardistes aux recherches difficilement conceptualisables et

  •  nous en prenons le risque.
  •  Mais c’est aussi au-delà du dogme officiel scientifiquement correct, toujours en train de changer de théories, ne faisant pas avancer la qualité de vie, bien au contraire, à voir ce qui arrive aujourd’hui, n’en déplaise à certains.

Dans les Cœurs de Jésus et de Marie.♥ ♥

Jésus, Marie, Joseph et tout le Ciel de miséricorde, guidez nous, protégez nous. Mais tout ira bien avec la prière qui nous protègera de tous ces fléaux.  C’est une certitude, Amen !

EDY PHOTO

Edyl



 

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